[CD] NAPALM DEATH : Inside The Torn Apart (1997)
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- Metal Invader
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Napalm Death débordait de créativité depuis sa mutation opérée sur le très heavy Fear, emptiness, despair en 1994. Mutation qui n'était d'ailleurs pas tellement du goût du chanteur Barney Greenway puisqu'il avait quitté le groupe après la sortie de Diatribes en 96, un bijou de metal extrême novateur. Mais heureusement, il est revenu peu de temps après. Que Napalm Death ne soit plus aussi bourrin qu'avant n'a rien entraver dans toute sa puissance, bien au contraire. Celle-ci s'en trouve décuplée, d'une part grâce à une efficacité absolue, une rythmique toujours aussi entraînante (Napalm Death sont des pros à ce niveau là contrairement à bon nombre de groupes extrêmes qui n'ont aucun sens du rythme) et des guitares à la fois tranchantes et mélodiques.
N'y allons pas par quatre chemins, Inside the torn apart est le meilleur album de Napalm Death, c'est un chef-d'oeuvre et tous les morceaux font preuve d'une grande inspiration. Les plus marquants sont les mid-tempos terriblement puissants et avec des riffs superbes (Breed to breathe, Birth in regress) ainsi que les morçeaux plus rapides qui contiennent des parties extrêmement mélodiques (Reflect on conflict, Indispose).
En plus de ça, la production de Colin Richardson est parfaite en tout point. Napalm Death possède même des sonorités modernes pas si éloignées d'un Machine Head ou Fear Factory, ce qui est normal puisqu'il a influencé ces 2 groupes (si si !). A la différence prêt que Napalm Death les surpasse largement en terme de musicalité. Oubliez tous vos préjugés concernant Napalm Death (notamment au niveau du chant de Barney) et comparez la richesse de cet Inside the torn apart avec les gros riffs thrash sans âme de Dino Cazares ou les power-guitares à la mort moi le noeud de Machine Head et vous verrez la différence. Seulement voilà, Napalm Death aurait pu exploser au niveau des ventes si le groupe avait fait appel à un chanteur plus humain. Mais Barney grogne toujours comme un ours et permet ainsi à Napalm Death de conserver sa place dans le metal extreme.
Note : 5/5
N'y allons pas par quatre chemins, Inside the torn apart est le meilleur album de Napalm Death, c'est un chef-d'oeuvre et tous les morceaux font preuve d'une grande inspiration. Les plus marquants sont les mid-tempos terriblement puissants et avec des riffs superbes (Breed to breathe, Birth in regress) ainsi que les morçeaux plus rapides qui contiennent des parties extrêmement mélodiques (Reflect on conflict, Indispose).
En plus de ça, la production de Colin Richardson est parfaite en tout point. Napalm Death possède même des sonorités modernes pas si éloignées d'un Machine Head ou Fear Factory, ce qui est normal puisqu'il a influencé ces 2 groupes (si si !). A la différence prêt que Napalm Death les surpasse largement en terme de musicalité. Oubliez tous vos préjugés concernant Napalm Death (notamment au niveau du chant de Barney) et comparez la richesse de cet Inside the torn apart avec les gros riffs thrash sans âme de Dino Cazares ou les power-guitares à la mort moi le noeud de Machine Head et vous verrez la différence. Seulement voilà, Napalm Death aurait pu exploser au niveau des ventes si le groupe avait fait appel à un chanteur plus humain. Mais Barney grogne toujours comme un ours et permet ainsi à Napalm Death de conserver sa place dans le metal extreme.
Note : 5/5
- Gaëtan
- Defender of the Faith
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Un des albums de Napalm Death les moins connus. Un excellent album. Et comme c'est Napalm, le 5/5 s'impose en ce qui me concerne.
Plus heavy et mid tempo que les autres albums, t'as bien raison d'insister là-dessus. Du coup, ça joue pas mal sur les ambiances, et il y a un petit côté indus pas dégueux.
Par-contre, t'as oublié le sondage.

Plus heavy et mid tempo que les autres albums, t'as bien raison d'insister là-dessus. Du coup, ça joue pas mal sur les ambiances, et il y a un petit côté indus pas dégueux.
Par-contre, t'as oublié le sondage.

La vie est une pute, mais l'alcool c'est bien.


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- Metal Invader
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Bof, vu qu'on va être 3 à voter, c'est pas très grave
Bon sinon, effectivement, il n'est pas si connu que ça alors que c'est le Napalm le plus accessible je trouve, bizarre.
Enfin Napalm est plus réputé pour ses albums plus speeds et bourrins.

Bon sinon, effectivement, il n'est pas si connu que ça alors que c'est le Napalm le plus accessible je trouve, bizarre.
Enfin Napalm est plus réputé pour ses albums plus speeds et bourrins.
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- Stormbringer
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Mérite un 5 rien que pour le morceau Lowpoint! Napalm Death, un gage de qualité...
pounding inferno-pure steel inside black veins!!!
- Mout Mout
- Le mouton trop gentil
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Tous les albums de Napalm (mis a part Order of the Leech qui est un peu lourd sur la longueur) meritent un 5/5...ça me fait penser que c'est un groupe que j'aurais pu mettre dans ceux qui ne m'ont jamais déçu.





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- Metal Invader
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Ben justement, moi Napalm Death me font le même effet que Cannibal Corpse, je trouve que ça tourne méchamment en rond maintenant. Le dernier disque qui m'ait vraiment plu, c'est Enemy of the music business. Les suivants, sans être mauvais, c'est plus de la routine qu'autre chose.
Et quand ils veulent refaire du bourrin, ça vaut pas un bon vieux Utopia Banished.
Je précise aussi que la période Lee Dorian me laisse indifférent... disons que je préfère avec Barney, largement.
Et quand ils veulent refaire du bourrin, ça vaut pas un bon vieux Utopia Banished.
Je précise aussi que la période Lee Dorian me laisse indifférent... disons que je préfère avec Barney, largement.
- Gaëtan
- Defender of the Faith
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En fait, la zic de Napalm Death a jamais été aussi intense, complexe et construite qu'actuellement (depuis Enemy Of The Music Business en gros). Du coup, c'est pas toujours facile de rentrer dans les albums, ça demande un effort pour bien faire la part entre les morceaux (souvent très courts et enchaînés rapidement), et pour différencier les albums. Car effectivement, les albums des années 2000 sont tous dans le même veine, avec des prod et des thèmes assez similaires.Fishbowlman a écrit : je trouve que ça tourne méchamment en rond maintenant. Le dernier disque qui m'ait vraiment plu, c'est Enemy of the music business. Les suivants, sans être mauvais, c'est plus de la routine qu'autre chose.
Moi je considère pas que ça tourne en rond... plus ça va, et plus c'est intense, dense, à la limite du bordélique. Moi j'adore ce trip du groupe, comme j'adore leur période plus indus et plus calme ('fin tout est relatif

Finalement, si on analyse un peu, le trip musical actuel du groupe est une espèce de mix entre ces différentes périodes.

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- Metal Invader
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C'est vrai que sur Enemy of the music business, le trip c'est : on réaccélère les tempos à fond à fond à fond, tout en gardant les acquis mélodiques des albums précédents... ce qui donne un disque très dense, intense, brutal, complexe, difficile à digérer d'une traite. Mais quand même très bon.
Harmony Corruption, j'en suis vraiment pas fan, ça reste mélangé à toute la masse de production Scott Burns death metal début 90's... pas vraiment personnel quoi !
Harmony Corruption, j'en suis vraiment pas fan, ça reste mélangé à toute la masse de production Scott Burns death metal début 90's... pas vraiment personnel quoi !