[CD] JUDAS PRIEST - Sad Wings of Destiny (1976)
Posté : 04 sept. 2010, 09:16
Ma note: 14/20
Tracklist: 1. Victim of Changes/ 2. The Ripper/ 3. Dreamer Deceiver/ 4. Deceiver/ 5. Prelude/ 6. Tyrant/ 7. Genocide/ 8. Epitaph/ 9. Island of Domination
Après un Rocka Rolla plus qu’hésitant sur l’orientation musicale de la bande des Midlands, ce Sad Wings of Destiny marque une réelle évolution dans le son made in Judas Priest.
Le premier titre, « Victim of Changes », qui sera plus tard un morceau phare de la set-list du groupe, démarre sur un rythme assez lent et un son bien lourd, qui me rappelle le bon son heavy de Black Sabbath. Le son de Birmingham? Arrivé vers la moitié du morceau, le premier solo, qui montre clairement que les deux guitaristes ne sont pas manchots! Suivi d’une accalmie et d’un final monstrueux, j’adore! C’est ma chanson préferée de l’album…
On enchaîne ensuite avec « The Ripper », l’autre perle de ce disque! Avec une mélodie béton et accrocheuse, le titre est cependant assez court (moins de 3 minutes), ce qui contraste avec la première chanson qui atteint presque les 8 minutes.
Troisième titre, « Dreamer Deceiver », qui démarre comme une ballade, casse la montée en puissance du rythme après les deux premiers titres. Elle reste de très bonne facture néanmoins, avec un joli solo final très harmonieux.
Avec « Deceiver », les choses sérieuses commencent! Le rythme est rapide, la basse est présente et donne le ton, Halford se lâche, avant une fin acoustique… Bref c’est une des chansons qui laisse le plus présager de la future orientation du groupe.
Passons le « Prélude » anodin pour arriver à la deuxième partie de l’album, avec « Tyrant » qui malgré une mélodie accrocheuse et de bons soli, pêche un peu par son refrain qui manque de punch et par le chant d’Halford pas très inspiré. S’en suit un « Genocide » un peu trop classique à mon goût et un « Epitaph » curieux (qui tend vers du Queen!) servant d’ouverture à « Island of Domination » assez sympathique, avec un rythme enlevé à la Thin Lizzy.
Bref , pour résumer, c’est un essai plutôt réussi pour les Judas Priest, qui laisse augurer du meilleur pour la suite de leur carrière, notamment avec Sin After Sin, qui sortira un an plus tard.
Mention spéciale pour la pochette, tout simplement magnifique!
Visitez http://the-brotherhood.zxq.net/
Tracklist: 1. Victim of Changes/ 2. The Ripper/ 3. Dreamer Deceiver/ 4. Deceiver/ 5. Prelude/ 6. Tyrant/ 7. Genocide/ 8. Epitaph/ 9. Island of Domination
Après un Rocka Rolla plus qu’hésitant sur l’orientation musicale de la bande des Midlands, ce Sad Wings of Destiny marque une réelle évolution dans le son made in Judas Priest.
Le premier titre, « Victim of Changes », qui sera plus tard un morceau phare de la set-list du groupe, démarre sur un rythme assez lent et un son bien lourd, qui me rappelle le bon son heavy de Black Sabbath. Le son de Birmingham? Arrivé vers la moitié du morceau, le premier solo, qui montre clairement que les deux guitaristes ne sont pas manchots! Suivi d’une accalmie et d’un final monstrueux, j’adore! C’est ma chanson préferée de l’album…
On enchaîne ensuite avec « The Ripper », l’autre perle de ce disque! Avec une mélodie béton et accrocheuse, le titre est cependant assez court (moins de 3 minutes), ce qui contraste avec la première chanson qui atteint presque les 8 minutes.
Troisième titre, « Dreamer Deceiver », qui démarre comme une ballade, casse la montée en puissance du rythme après les deux premiers titres. Elle reste de très bonne facture néanmoins, avec un joli solo final très harmonieux.
Avec « Deceiver », les choses sérieuses commencent! Le rythme est rapide, la basse est présente et donne le ton, Halford se lâche, avant une fin acoustique… Bref c’est une des chansons qui laisse le plus présager de la future orientation du groupe.
Passons le « Prélude » anodin pour arriver à la deuxième partie de l’album, avec « Tyrant » qui malgré une mélodie accrocheuse et de bons soli, pêche un peu par son refrain qui manque de punch et par le chant d’Halford pas très inspiré. S’en suit un « Genocide » un peu trop classique à mon goût et un « Epitaph » curieux (qui tend vers du Queen!) servant d’ouverture à « Island of Domination » assez sympathique, avec un rythme enlevé à la Thin Lizzy.
Bref , pour résumer, c’est un essai plutôt réussi pour les Judas Priest, qui laisse augurer du meilleur pour la suite de leur carrière, notamment avec Sin After Sin, qui sortira un an plus tard.
Mention spéciale pour la pochette, tout simplement magnifique!
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