ROCK FEST BCN, 4 et 5 juillet 2014

[Pierre]

Un nouveau festival qui se monte à côté de Barcelone, dont Twisted Sister et Lacuna Coil sont les deux premiers groupes annoncés ! A suivre de près, donc, mais c'est pile le week-end de la sortie des classes et pile entre le Hellfest et le Bang Your Head donc ça ne tombe pas très bien niveau calendrier...


BARCELONA, 8 (EUROPA PRESS)El grupo americano Twisted Sister y el italiano Lacuna Coil actuarán en la primera edición del Rock Fest BCN, que tendrá lugar en el parque Can Zam de Santa Coloma de Gramenet (Barcelona) el 4 y 5 de julio.Según ha informado la organización en un comunicado, Twisted Sister no ha pisado Barcelona en diez años, y ofrecerá hits de hard rock de los años 80 como 'We're not Gonna Take it', 'I Wanna Rock', 'Stay Hungry' y 'You Can't Stop Rock and Roll'.Por su parte, la banda de metal gótico Lacuna Coil acaba de sacar al mercado su séptimo álbum, 'Broken Crown Halo', el último que contará con la presencia del batería Cristiano 'Criz' Mozzati y del guitarrista Cristiano 'Pizza' Migliore, que se retiraron del grupo en febrero.

[Guix]

Bordel de merde.... pas possible pour moi

[Talasquin]

Twisted. Barcelone. Un samedi.

Vendu.

[Thrashos]

Toi tu aimes le Hard Rock.

[Talasquin]

VOUI

Et j'aime Le G@sp aussi

[Jeff Von Dijon]

NON MAIS OH!!! C'est MON G@sp!

[Talasquin]

Mais le G@sp est une source d'utilité publique.

Community property.

[Pierre]

Il y a une grosse mise à jour :bave :

+ MANOWAR
+ SABATON
+ STRATOVARIUS
+ EPICA
+ LOS SUAVES
+ OBUS
+ KTULU
+ NAPALM DEATH
+ BARON ROJO
+ ANGELUS APATRIDA
+ H.E.A.T.
+ MEDINA AZAHARA
+ plein de tribute bands espagnols

Putain d'affiche mais la date ne me va pas du tout

[Gandalf]

Pareil, impossible au niveau dates

[Lily]

Manowar? rohhhhhh
Et a priori ce serait 45 € donc raisonnable, reste à connaître l'ordre de passage des groupes ...

[Lily]

la date ne me va pas du tout

On peut leur demander de déplacer la date tu crois?

[Pierre]

C'est 60€ plus frais de résa donc a priori autour de 65€
Les 2000 premières entrées étaient à 25€ et sont parties en une journée

[Psyko Killer]

[Pierre]

Apparemment il n'y a pas de camping prévu. Par contre le parc dans lequel le festival aura lieu a l'air bien sympa...

[Lily]

Il y avait une autre promo à 45€ mais... C'est trop tard

[nailtomb]

+ gamma ray et kreator suis bien tenté par un week end a Barcelone et le dimanche within temptation et paradise lost au metalfest.

[Pierre]

[Mr. Sandman]

La répartition par jour :

Vendredi (30€) :
KREATOR - MOJINOS ESCOZIOS - BARON ROJO - MEDINA AZAHARA - STRATOVARIUS - LACUNA COIL - KAPICHE CLU - KISS OF DEATH - BOUNCE - NAPALM DEATH - KTULU - CRETINS - CASINO MONTREUX

Samedi (50€) :
MANOWAR - TWISTED SISTER - GAMMA RAY - LOS SUAVES - SABATON - EPICA - OBUS - HEAT - ANGELUS APATRIDA - RAT-ZINGER - MOTÖRHITS - SEEK'EM ALL - MEAN MACHINE - ALYANZA - DR. CRÜE - FAST SHARKS

[Talasquin]

Et donc mon CR annuel

De retour de Barcelone, crevés mais contents.
Virée catalane avec ma sœur, son homme, Lily, le beau Laex et le jeune Houguerr, au départ matinal le samedi pour rejoindre l’auberge de jeunesse habituelle. Avec biensûr, le traditionnel pèlerinage au Burger King de La Selva.
Arrivée sereine et dépose d’affaires en début d’après-midi.

Tout à notre flemme l'ami Laex et moi nous poserons pour une sieste préparatoire, vu les heures de passage toutes catalanes des groupes (la tête d’affiche est prévue à 0h45). Le reste de la troupe rejoint le site pour assister aux prestations d’Epica et Sabaton. Manque de pot, le trajet en métro étant démesurément long, les quatre rateront la prestation de Simone et ses copains. Ca craint ?

L’arrivée pour l’ami Laex et ma pomme se fera juste après la prestation de Sabaton. Les présents furent contents de la séance. Pour notre part, le seul fait d’entendre le groupe jouer son dernier morceau le temps de rallier l’entrée du site nous brisera les noisettes. Je ne m’explique pas le succès de ce groupe. Pourquoi eux ?

Arrivée sur un site très sympa, vaste, aéré et bien agencé, avec devant la grande scène, de la bâche tendue et fixée au sol pour éviter les soulèvements de poussière. 'Bière' - enfin, San Miguel - vendue dans des verres d'un litre et des stands de bouffe aux serveurs les plus mous du monde ! Où l’on remarque que ManowaR a son stand de merch dédié, aux tarifs dissuasifs.

On passera sous silence (ils auraient du en faire autant) la prestation de Los Suaves, entendue depuis les tables jouxtant les stands merch-bouffe-boisson. Les espagnols sont très supporters de leur scène locale, et vu la position sur l’affiche et le nombre de t-shirts dans le public on ne sera pas surpris de l’engouement environnant avant la montée sur scène de ces vétérans.
Bon très objectivement, c’est pas bon. Riffs et mélodies hyper convenus, entendus mille fois, rien de dérangeant, rien de neuf. Vocaux entre le furet enrouée et le canard de bain troué, très punk dans son approche du placement de la voix et des techniques de non-chant.

L’heure se passe et nous apprécions la demi-heure allouée à l’entracte entre chaque groupe sur la grande scène. Scène qui s’apparente à une mainstage du Hellfest en réduction. Aussi haute mais plus étroite, et à la structure très ressemblante.

Après un bon quart d’heure à se demander si Dan Zimermann n’est pas revenu dans le groupe en tant que roadie, Gamma Ray déboule ponctuel sur la traditionnelle intro Welcome. S’ensuivra Heaven can wait histoire de se mettre d’entrée dans la poche, un public déjà tout acquis. Set list prévisible mais agréable dont on retiendra un Rebellion in Dreamland tronqué, et malheureusement pas repris en fin de set.
Des classiques (Man on a Mission, le dispensable I want out) alternés avec des pièces récentes (Master of Confiture, To the Metal Gods…) et un assez jouissif passage reggae qui me vaudra l’illumination du double jeu de mot du weekend (détails sur simple demande et remboursement du timbre au tarif lent).
Mais force et de constater que malgré la bonne humeur affichée, Kai Hansen est définitivement cramé. Et nous laisse une franche impression de laisser aller. Un bide de 7 mois de grossesse, des ‘‘‘‘cheveux’’’’ improbables, et le chant… Dirk Schlächter le relaie voire le remplace sur nombre de screamings, et les effets de delay ne cachent pas grand-chose de la perdition vocale.
Il est grand temps que Gamma Ray embauche un chanteur.
Une heure de show dans la bonne humeur qui nous laissera un souvenir plus que sympa malgré les errances vocales de son leader. Maintenant, on passe une annonce pour recruter SVP.

La pause suivante durera bien plus longtemps que prévu.

Twisted Sister est plus qu’attendu et on ne saura trop pourquoi, ils finiront par investir la scène avec 25 minutes de retard. Ce qui, sur un temps de jeu de 75 minutes est quand même bien regrettable. Ce retard quasi-inexpliqué (problèmes de sonorisation évoqués) et dont on ne nous annoncera à aucun moment la durée avant le début finira par m’empêcher de rentrer complètement dans le show et l’apprécier comme il se doit. D’autant qu’on aura droit en guise d’intro à ‘It’s a long way to the top’ d’AC/DC sur bandes, ce dont on se serait passé pour récupérer le temps de jeu d’une chanson supplémentaire.
Ca finit par débouler sur Stay Hungry enchaîné à You can’t stop Rock n’Roll et ça fait le job.
Dee Snider est toujours aussi intenable, en voix, plein d’humour, enthousiaste.
Les autres ? Je sauve Mendoza qui bouge (autant que son gabarit le lui permet) et semble concerné et AJ Pero qui est bien le meilleur instrumentiste de ce groupe. Les deux gratteux ? Y’en a un qui est sous perfusion et a des doigts en phase de rigidité cadavérique, et l’autre qui s’en brosse comme s’il était en train de rédiger sa liste de courses. Comment Ojeda qui joue ces morceaux depuis 30 ans arrive encore à se trouer sur des solos de 6 notes ? Comment French pourrait-il faire pour donner un peu plus l’impression de s’en foutre ? A part jouer depuis les coulisses, je vois pas. Connard.
Dee Snider vaut heureusement un groupe entier à lui seul. Chaque intervention de sa part suscitera les rires et l’approbation du public (ses tentatives d’intervention en espagnol sont tordantes). Et de nous expliquer que pour les trente ans de Stay Hungry il nous ressort un morceau rare (le dyptique Horror Terria… supeeeeeer… Le seul morceau faible de cet album mythique) et que ce sont les 5 membres d’origine toujours ensemble sur scène.
A ce propos, quelqu’un sait-il s’il y une obligation contractuelle quelque part pour expliquer ce line-up ? Franchement avoir deux guitaristes aussi peu doués, et concernés comme moi à la messe, j’aimerais des précisions.
Heureusement un bien beau moment viendra ponctuer la fin du show, Snider visiblement sincère déplore l’absence de Motörhead sur la route des fests cet été, souhaite le meilleur pour Lemmy, et de reprendre Born to Raise Hell en hommage à son pote. Beau moment.
Pour rattraper une partie du retard pris, Snider s’assure des permissions sur le temps de jeu restant et nous enchaine vitos Burn in Hell et I wanna Rock, et voilà que la prestation est sauvée à mes yeux. Et le bougre de nous débarquer torse nu pour ces deux morceaux . A 59 ans, c’est vraiment un bel enfoiré !

Prestation donc largement en deça du Hellfest l’an dernier. Toute la motivation, la pêche et l’enthousiasme de son charismatique frontman étant écornés par l’attitude des deux invertébrés à sa droite.

ManOwaR est très, très populaire en Espagne et la fosse est très remplie durant le court entracte. Le public en place reste devant la scène et attend l’heure de la messe. Le temps d’une pause vessie vite faite, et on remercie les potes qui eux n’ont pas bougé, idéalement placés au 4 ou 5è rang, au milieu.
Car ManOwaR monte sur scène à l’heure messieurs dames, et c’est donc 20 minutes à peine après la fin du set de TS que retentit la traditionnelle intro suivie du non moins traditionnel morceau éponyme, systématisme qui commence à fatiguer.
Bon, le son est pas bon, batterie surmixée et très résonnante, la basse s’en va, revient, sature. Il en sera ainsi jusqu’à la fin.
Mais tout ça est accessoire. A mes yeux, la réussite d’un concert de ManOwaR tient à 50% à la setlist, et 50% à l’état de forme vocale d’Eric Adams. Et ce soir, force est de reconnaître qu’on a été vraiment gâtés.
Passé le titre d’intro, pas le temps de souffler qu’on enchaine avec Blood of my Enemies. BORDEL. Ayant refusé de voir la setlist avant, c’est une divine surprise. Et le public ne s’y trompe pas. ManOwaR joue en terre conquise et nous régale, le public donne de la voix, headbangue, kiffe.
Et là-dessus, sans plus de temps mort, ça déroule sur un Sign of the Hammer définitif, qui rendra toute la fosse extatique.
3 morceaux à peine et c’est déjà dans la poche. Et Adams est putain de plus qu’en voix, à l’aise dans les screamings qu’il fait durer plus qu’à l’habitude.
Une première et rapide respiration pour le groupe et s’enchainent deux morceaux récents ou la tension retombe un poil, avant que le chanteur nous rappelle l’objet de la tournée actuelle. 25 ans et un réenregistrement inutile de Kings of Metal plus tard, le vaste écran en fond de scène diffuse une vidéo de la narration The Warrior’s Prayer réenregistrée pour l’occase. C’est l’occasion de voir des images du Seigneur des Anneaux mais sans seigneur et sans anneau (budget du tournage 23,75€) et Joey faire du poney à la télé. Quelques changements dans le texte passent sans trop de dommage, mais - Oh, Sacrilège - la dernière ligne a été changée. Où l’on entend non plus ‘They, were the Metal Kings’ mais ‘They, were the Kings of Metal’. Quand le public, qui est à fond, reprend les paroles à tue-tête, ce changement final fait tâche et déçoit un poil… mais ce qu’annonce cet interlude règle toute velléité de discussion.
Blood of the Kings ouais.
Et avec les screams au début ouais.
Adams impressionne de plus en plus et le groupe nous pose une version allongée du morceau, rendant hommage à plein de pays absents des lyrics originaux. Ceci appuyé par l’apparition des drapeaux de toutes les nations citées sur l’écran (effet Coupe du Monde ?). On vous laisse imaginer la bronca quand le drapeau hispanique apparait.
S’ensuivra une enfilade jouissive de morceaux de Kings of Metal, dont un Kingdom Come exceptionnel, tout porté par le chant et ses envolées lyriques finales… larme à l’œil.
Le groupe recourra beaucoup à l’immense écran en fond de scène pour des épisodes filmés, l’affichage de pochettes d’albums (tain l’effet quand retentit la ligne de basse d’intro de Sign of the Hammer et apparait la pochette de l’album), des extraits de clips et de vidéos… et une séquence hommage assez poignante : Les influences du groupe, les amis et musiciens disparus ont droit à leur photo et des séquences filmées. Emotion et approbation bruyante de la foule sur les chapitres consacrés à Dio et Scott Colombus. Rires par contre à la vue la photo de Wolfgang Wagner (qui ça ?) sorte de croisement entre le Doc Emmet Brown et une tomate marmandaise. Et que dire quand Joey chef d’orchestre fait entonner à une énorme chorale de 11 moustachus bavarois en costard RATP et chaussettes blanches ‘Death to false metal’ en chœur ?
L’écran retransmettra aussi le filmage du concert, de gros moyens mis sur la prod ce soir. Cela ne rend pas hommage à Eric Adams dont la voix ne faiblira à aucun moment (quelle leçon les amis) mais son visage commence à sévèrement trahir son âge et l’état assez dégradé de sa toison. En voilà un qui ne triche pas sous une perruque. Age qui n’entame pas la bonne humeur du chanteur, toujours souriant, parfois hilare, au point même de rater une paire de couplets sur Wheels of Fire pour cause de fou rire !
La suite est toute aussi bonnarde. Les interludes vidéos seront fréquents mais assez courts et au final pas gênants. Certainement utiles pour permettre à Eric Adams de souffler, entre des morceaux exigeants vocalement.
Puis vient l’heure du rappel. Ma déception à moi c’est qu’en 8 concerts de ManOwaR je n’ai jamais eu Battle Hymn. Et ça ne sera à nouveau pas pour ce soir. Et bien tant pis. Quand s’affiche la pénultième vidéo, The Crown and the Ring après les au-revoir du groupe, un feu d’artifice éclate derrière la scène. Malheureusement nous ne le verrons que par une ‘fenêtre’ entre le haut de l’écran et le toit de la scène, mais le final sera riche et bien calé sur la fin du morceau. Magique initiative pour clore la soirée.

Set-list ManOwaR

Spoiler

1.Manowar
2.Blood of My Enemies
3.Sign of the Hammer
4.The Lord of Steel
5.The Dawn of Battle
The Warrior's Prayer
(With making off video)
6.Blood of the Kings
7.Kingdom Come
8.Heart of Steel
Encore:
9.Bass Solo / Sting of the Bumblebee
10.Wheels of Fire
11.Hail and Kill
12.Kings of Metal
13.Warriors of the World United
14.Black Wind, Fire and Steel
The Crown And The Ring
(With Fireworks and video)

On regroupe patiemment la troupe avant de rejoindre notre point de chute. Notre chauffeur qui aura fait plusieurs aller-retour entre la scène principale et le chapiteau – où jouent des groupes de reprises - en profite pour une dernière incursion. Une ballroom est prévue jusqu’à 5h du matin, mais faute de taxi dans cette calme banlieue de Barcelone nous optons pour le retour en métro… lequel nous prendra une bonne heure et demie.
Au final une soirée catalane une fois de plus réussie. Une bonne initiative que ce fest sur un site bien approprié et bien agencé, entouré de verdure et au pied du terminus du métro.
Rompus à l’ habitude ibérique du fest à usage unique, on ne sait si celui-ci se pérennisera, mais une chose est sûre, celui-ci ou un autre, l’an prochain on y sera.
Et le prochain passage de ManOwaR à portée de toulousains sera avec nous ou ne sera pas.

[Pierre]

Ca avait l'air bien

[Gandalf]

Excellent le cr de Manowar

[Lily]

"L’arrivée pour l’ami Laex et ma pomme se fera juste après la prestation de Sabaton. Les présents furent contents de la séance. Pour notre part, le seul fait d’entendre le groupe jouer son dernier morceau le temps de rallier l’entrée du site nous brisera les noisettes. Je ne m’explique pas le succès de ce groupe. Pourquoi eux ?"
Le guitariste c'était un peu Pat McManus au Rock Night en 2012 : un bienheureux qui était ravi d'être là, ils l'étaient tous ça fait plaisir de voir ça ... Ils communiquent beaucoup avec le public qui le leur rend bien

"Des classiques (Man on a Mission, le dispensable I want out) alternés avec des pièces récentes (Master of Confiture, To the Metal Gods…) et un assez jouissif passage reggae qui me vaudra l’illumination du double jeu de mot du weekend (détails sur simple demande et remboursement du timbre au tarif lent)"
Tu peux sortir tout de suite...

Pour Twisted Dee Snider est génial mais au Hellfest ça avait plus de gueule

Et Manowar c'était une belle claque... Heart of Steel m'a tuée
(Mais pourquoi jouent-ils aussi forts? Ils sont sourds? )

[Talasquin]

Excellent le cr de Manowar

ET LE RESTE ça sent LE GASOIL ?

Eh eh oui, beaucoup plus à dire sur eux que sur les deux autres pour le coup. Franchement ce groupe a une relation assez étroite avec l'Espagne (et il paraît que c'est la même chose en Grèce) et quand on voit ce dont il sont capables, on se demande comment on en arrive à des prestations du genre de celle du Trabendo il y a deux ans.
En tout cas, Eric Adams a été exceptionnel, et s'il a laissé tomber les couleurs qui devaient lui bousiller les cheveux, je pense qu'il a repris quelques cours de chant. Il module comme un enfoiré dans les aigus et tient ses notes plus longtemps que sur la dernière tournée. D'ailleurs on remarque que la set-list n'est pas vraiment longue, et les pauses entre les morceaux doivent aider.
Mais putain quel panard

à me relire, je vois de suite l'intérêt de mettre une set-list sous balise alors que j'en crame plus de la moitié dans le texte au-dessus

[Talasquin]

Mais pourquoi jouent-ils aussi forts? Ils sont sourds?

T'en fais pas pour eux, ils se protègent comme il faut !

Et franchement tu les aurais vus il y a une quinzaine d'année, sans bouchons c'étauit juste pas tenable. Je me rappelle avoir voulu faire le puriste le temps de deux morceaux en 98, et j'ai du sortir le temps de mettre les boucons comme il faut, ça en devenait douloureux.
Depuis quelques années ils ont franchement baissé le niveau sonore. le problème samedi, c'est que le son était franchement pas bon et mal mixé. Etonnant de leur part, car pour déraisonnablement fort qu'ils aient joué, je les ai toujours vu avec un vraiment bon son. Même dans l'ancien Bikini, c'est dire !

[olivier64]

Même dans l'ancien Bikini, c'est dire !

ah, le concert du bikini en 98 !