Vos anecdotes de bus Voyages 4A et autres

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metal militia
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Message par metal militia »

Dernier message de la page précédente :

C'est le genre de conneries qui ne me faisait pas marrer il y a 10 ans, et qui maintenant me font mourir de rire.
Déjà à St Pancras l'an dernier, les pov' personnes qui essayaient de dormir les bancs de la gare n'ont pas du réussir... :lol:
Faudrait qu'on se fasse un voyage en bus spécial défenders juste pour la déconne un jour. :D
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Larry
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Message par Larry »

Moi le seul voyage avec Everflow en 2001 m'a engagé à ne plus jamais prendre ce type de transport, pourtant c'était pas de grosses galères comparativement, mais en fait je supporte pas d'être dépendant des autres, encore moins quand la compagnie ou le chauffeur est une endive.
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GuldenDraak91
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Message par GuldenDraak91 »

Ca doit être bien marrant tout ça quand même...jusqu'à un certain point évidemment. Quand tu arrives avec 8h de retard au fest, il y a de quoi être vénère. Pareil pour le retour, le bus qui se casse sans toi, pas cool...

Perso, ayant le permis, j'ai toujours pris la bagnole. Cette année va être la première où je vais faire avion + train pour aller à l'Obscene Extreme.
BLCKME

Message par BLCKME »

ben disons que c'est kvlt et a faire une fois le bus mais c'est tout :D
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Le G@SP
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Message par Le G@SP »

Et encore dans le bordel sans nom de Milan en 2001 j'étais avec des gens insupportables mais sympas que je fréquente encore (dont Yacine le vomito aux k7 vidéos improbables) mais si j'avais été seul avec des gros lourds que je connais pas je crois que j'aurais pas gardé un bon souvenir au final :D
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Yathin Lizzy
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Message par Yathin Lizzy »

Milan ça reste juste inégalable.... du moins dans cette vie-là.
(Ou alors tu fais partie de Sticky Boys :D :D :D :D )
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Mr. Gig
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Message par Mr. Gig »

Comme mentionné dans le sujet du Wacken, c'est avec une sincère désolation que je me vois dans l'obligation de vous signaler ne pas avoir de récits rocambolesques à vous narrer vis-à-vis de mon périple début Août.

Incroyable mais vrai, la compagnie de bus semble avoir un tant soit peu (je nuance tout de même le propos car j'ai malgré tout quelques conneries à déballer, Voyages 4A ne sont pas non plus devenus irréprochables du jour au lendemain, faut pas rêver) appris de ses erreurs passées, et d'avoir fait un minimum d'efforts pour corriger certains tirs.

Explication de texte :

Ainsi donc Novo Travel, le consortium responsable de l'organisation dudit voyage, se révèle être la fusion de rien moins que Voyagenbus, PartyTrip et Voyages 4A, soient LES 3 grosses pointures dans le domaine en ce qui concerne le niveau 0 de la renommée qualitative de trajets groupés.

Ayant pris connaissance de la réputation en question des organismes a posteriori seulement, et la transaction financière ayant déjà été clôturée, il m'était trop tard pour faire machine arrière.

"Never mind the bollocks, here's Rock'n'Roll" pensais-je sur le coup par défaut, quand bien même la lecture des pléthoriques "anecdotes" tristement célèbres ici présentes accroissait peu à peu une appréhension latente du trajet, pour ne pas dire une angoisse de ne pas arriver en temps et en heure pour le festival, ou du moins a minima sain et sauf...

Le 1er Août arrivé, le rencard est fixé à 13h, pour un départ prévu 30 minutes plus tard, au niveau des Colonnes du Trône de la Place de la Nation, point de repère visible au loin et du reste classé parmi les monuments historiques, quoique suffisamment dégradé par les ravages du temps en l'état actuel des choses pour coller un minimum au contexte Thrash de l'attroupement exigé par les circonstances.

Car attroupement il y a bien le long de ce qui ressemble plus ou moins à une file de gare routière, au pied d'une fameuse chaîne de restauration rapide qui pourra remercier la foule de chevelus affamés de lui fournir partie de ses recettes de la journée.
Ayant anticipé le coup du casse-dalle, j'observe ces allées et venues depuis le trottoir.

Jusqu'ici, tout va bien...

L'accompagnateur, un certain Julien, ne tarde pas à débouler, barbe hirsute, tignasse attachée en catogan et veste à patches à l'appui.
Aussi semblerait-il qu'on n'ait pas affaire à un type assigné au pif sans corrélation avec nos intérêts communs, et que l'on navigue donc tous dans la même galère, c'est déjà un bon signe.

L'appel commence laborieusement, les noms ayant vaguement été griffonnés à la va-vite sur un bloc-note, néanmoins le remplissage du car se fait progressivement ; et puisque que je figure bien sur la liste, c'est dans un soulagement extrême que je charge mon barda dans les soutes.

Notez d'ailleurs que l'agence avait pris le soin d'envoyer au préalable un message de confirmation aux participants quelques jours avant le départ stipulant les modalités relatives au trajet, et notamment la nécessité d'imprimer sa convocation tout en se munissant de ses papiers, ce qui est une très bonne chose en soi, même si l'appel est fait à la légère sans véritable vérification, une mesure de sécurité auxiliaire j'imagine.

Mais tandis que le gros des troupes est à bord, un contentieux semble préoccuper la quinzaine de personnes restée à l'extérieur :
On comprend rapidement que les intéressés avaient passé leur réservation assez tôt l'année précédente auprès de Voyages 4A, à l'époque où l'entité existait encore de son propre chef, c'est-à-dire avant qu'elle ne soit assimilée comme les 2 autres par ce que est ainsi devenu Novo Travel.

Or c'est précisément la précaution d'avoir voulu anticiper le plus tôt possible l'épuisement des billets pour le Wacken qui leur porte préjudice, puisque la transmission de leurs dossiers n'a pas été faite par Voyages 4A à la nouvelle administration après fusion ; et ceux-ci ne figurant pas sur la liste, on leur refuse l'accès à bord, faute de place impartie.

Or pas de car, pas de Wacken.
Et pour eux qui ont pré-payé leur commande comme tout le monde, on comprend facilement que la note salée soit rude à ingérer.

Les protagonistes échangent donc de vive voix -mais sans que ça vire à la foire d'empoigne virulente pour autant, loin de là- pendant une bonne demi-heure, pour finalement parvenir à joindre l'agence et trouver une solution sans heurts : on leur envoie un autre car.

Le notre quitte ainsi la Place de la Nation sous le regard penaud et sceptique des laissés-pour-compte qui peuvent naturellement se sentir lésés.

La suite de l'histoire nous apprendra pourtant que ledit car de substitution aura bien rempli son office, mais on y reviendra.

Un bref coup d’œil alentours permet de constater que le nombre de places libres restantes aurait pourtant été largement suffisant pour accueillir tout le monde, mais pas de panique : des étapes sont prévues à Lille puis Bruxelles pour récupérer des passagers supplémentaires.

À partir de là, je peux me permettre de vous la faire en accéléré, puisqu'en dehors du fait que l'autocar ne dispose pas de toilettes, inconvénient de taille qui nuira principalement aux 2 Niçois de la marine assis derrière moi qui n'iront pas de main morte avec le lever de coude pendant tout le trajet, et qui, malgré des requêtes répétées pour une halte vidange au bout de quelques heures de route, devront franchement hausser le ton pour parvenir à leurs fins (ou plutôt celles de leurs vessies respectives) ; et le fait que suite au changement de chauffeur à Bruxelles, la patiente Patricia (fallait entendre les conneries balancées à bord pour le croire, même si ça restait globalement bon enfant, un très récurrent "Allez PatoOoOou !" venant régulièrement réveiller les quelques assoupis) se paumant littéralement à la sortie de la capitale Belge, et nous faisant de fait tourner pendant une bonne plombe avant de rallier le sésame nous menant in fine vers Hamburg, le voyage se déroulera sans encombre.

C'est d'ailleurs à Bruxelles que l'on retrouvera le second car, bel et bien occupé par les malheureux restés sur la touche au départ, pour un peu et tout irait presque pour le mieux dans le seul des mondes qui nous sont connus.

Et très honnêtement je vais pas revenir sur ce petit écart, puisqu'à une petite heure près, personnellement ça me fait plus marrer qu'autre chose en y repensant, sans compter que ça nous permis d'avoir un bel aperçu de la ville, alors encore ensoleillée sous les derniers coups de 18h et des capsules.

...Lesquelles me permettent à merveille de faire la transition (si c'est pas beau ça) avec un détail tout à fait dérisoire mais que tous les soiffards noteront avec intérêt : le Julien avait prévu le coup, et même si la caisse réfrigérée ne s'avère contenir que de très génériques Heineken, les bouteilles sont proposées à 1€ pièce, ce qui permet à l'ensemble des occupants de picoler gentiment dans la joie et la bonne humeur.

Le sommeil aide à digérer les 15h de route qu'on ne verra pas réellement passer, l'arrivée à Wacken se faisant vers 5h, et le temps de distribuer leurs billets à ceux qui, comme moi, avaient pris l'ensemble aller-retour / entrée / camping, sans aucune erreur cette fois-ci, et de rappeler clairement les modalités du rendez-vous pour le retour Dimanche matin, et l'on pénètre finalement sur le site du festival.
Les guichets étant quasiment déserts à cette heure de la nuit, les tentes sont plantées autour de 6h, nous laissant ainsi un bon créneau pour finir la nuit.

Plutôt bien goupillé, mine de rien.

À vrai dire, l'unique vrai problème dans cette organisation viendrait plutôt du voyage retour lui-même, dans la mesure où le rencard est donné à 3h pile, ce qui force à faire l'impasse sur le concert de clôture -en l'occurrence les omniprésents Edguy (que finalement je n'aurai pas réussi à voir une seule fois sur tous mes festivals estivaux, faute de planification conciliante)-, mais surtout à replier son matériel et sa tente en catastrophe pour ensuite cavaler, barda à bout de bras, vers la zone routière indiquée.

Pour une raison que je n'ai pas saisie, c'était soit ça, soit fixer le départ à 6h, ce qui aurait trop différé l'arrivée à Paris pour rendre le car en temps et en heure, les éternels bouchons étant d'autant plus complexes à esquiver en fin de soirée ; ou du moins c'est ce l'interprétation que j'en ai tirée d'après les renseignements que j'ai pu glaner.

Manifestement, et quoiqu'il en soit, ça a toujours été le fonctionnement adopté, à en croire les habitués du voyage des années précédentes.

Circulez, y a rien à comprendre.



L'un dans l'autre, je peux pas dire regretter le voyage, expérience amusante à vivre une fois s'il en est, dans la mesure où elle s'est correctement déroulée dans sa globalité -fût-il utile de le rappeler- ; mais il est certain qu'au vu de la durée cumulée sur l'ensemble du trajet, et l'urgence qu'il implique pour le départ, si le choix s'offrait à moi pour les prochaines opportunités, j'opterai pour le train sans hésiter, dont, quoiqu'on en dise, la meilleure garantie d'amener à bon port a fortiori demeure un atout non négligeable.

En regrettant que ma contribution n'atteigne pas les sommets d'ineptie évoqués plus haut, j'espère vous avoir été utile. :fist:
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L'Ostrogauxe
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Message par L'Ostrogauxe »

Le coup des réservations faites à l'époque de voyage4A pas transferées, ça reste quand même une bonne preuve de branlerie
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Everflow
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Message par Everflow »

Merci Lax pour ce CR hyper détaillé (comme d'habitude serais-je tenté de dire), finalement tant mieux que tu n'aies pas de galère à raconter, c'était pas gagné d'avance. ;)
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Achille
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Message par Achille »

Alors ! Ca existe toujours ces voyages en bus ? :D

L’histoire du voyages pour le Gods de 2001 est toujours aussi poilante ! :lol:

Comme un con j’allais relater mes anecdotes mais je m'aperçois que cela fut déjà fait il y a quelques années.

Je peux quand même préciser le changement d’horaires que nous avions eu en 2007 pour aller au Hellfest. Au lieu de partir vers 1h00 du matin nous allions quitter Toulouse vers 5h00. Et comme des cons, avec les potos, nous avions décidé de passer la nuit à la gare de Matabiau ce qui est toujours une très bonne idée… :hum:
Au programme :
Des fous bien lourds qui postillonnaient des litres de salive et qui avaient plein de choses à nous raconter en double voire en triple.
Une paire de gars de 50 ans bien costauds, enivrés, énervés et belliqueux aux avant-bras nous laissant croire qu’ils sont maçons depuis qu’ils ont 5 ans qui passent plusieurs fois devant la gare en gueulant et qui finissent par malmener les fous puisque l’un d’eux finit par leur lancer un “KeSsiYA ? Tu veux TEBATtre.!?...”
Une horde de punks et de clochards défoncés qui s'embrouillent et manquent de se foutre sur la gueule à un des leur qui s’en sortira avec le nez en sang du à un coup de poing et avec un chien lancé sur la tronche. Je vais paraphraser cette partie parce que c’est quand même d'un sacré surréalisme… Un mec a lancé son clébard - une sorte de bulldog bien massif et qui grognait et aboyait comme un dément - sur la gueule d’un autre mec..!!
Putain il s’est fait désirer ce con de bus !

Finalement j’ai pas trop de boulot a faire en ce vendredi après-midi, et qu’en plus j’ai plus envie comme je suis en pleine digestion :oops: je vais expliquer un peu mon voyage au Wacken 2010 qui fut assez chiant sur le moment. Bien sur, avec le recul, on en rit.
Je crois qu’on devait décoller de Lyon en fin d'après-midi. Le bus partait du sud de la France et un pote avait embarqué à Toulon (ou Marseille) et avait la noble mission de nous garder les sièges du fond. La place des cancres. Contre toute attente ce foutriquet réussit. Le bus arriva tout doucement et à l’heure dans Lyon et cela nous laissa le temps de descendre des bières et parler avec quelques métalleux. Je n’oublierai jamais le “Eh les mecs le Metal c’est une grande famille” d’un festivalier :lol: Tu vas un peu la grande famille...
Donc le bus arriva alors qu’on était déjà un peu pinté et en sueur vu la chaleur. Bus blindé. Je me dis : “c’est génial !” mais comme j’étais avec les copains, qu’on était tous ensemble au fond et qu’on avait de quoi picoler (avec la possibilité d’aller aux toilettes !) je me dis: “c’est cool en fait !” Surtout qu’on va au Wacken bordel.
Premier hic, le bus se perdit dans Lyon. On passa entre une et deux heures à galérer dans la ville. On mettra 20 heures pour arriver au Wacken, au lieu d’une quinzaine d’heures.
Sur le moment on s’en faisait pas trop parce qu’on descendait des bières, et il y avait avec nous au fond du bus un second groupe de margoulins qui avaient encore plus envie de foutre le bordel que nous. On s’est très bien entendu et on est tous devenu copains comme cochons. On avait pas foutu un pied en Alsace qu’on était déjà tous ivres morts au grand désarroi de certaines de nos petites amies présentes qui savaient déjà que le trajet allait être très très trop long. Le programme fut similaire à ceux évoqués dans ce sujet : des cris, des chants absurdes, du vomi et des mecs qui se baladent à poil. Je me marre encore en pensant à ce mec qui devait avoisiner les 100 kg de muscles en train de se pavaner dans le plus simple appareil, demandant aux couples de métalleux sages si tout se passait bien, allant ensuite s’asseoir entre le chauffeur et l’accompagnatrice pour parler du beau temps. “Mais enfin tu veux pas te rhabiller ?” qu’elle lui disait. “Non.” :lol: :lol: :lol:
On arriva à Colmar pour ramasser un élément déclencheur d’inversement matriciel. Mon pote de Toulon m’avait dit : “Eh beh je connais deux mecs qui Colmar et qui ont le même délire que nous. Apparemment ils sont comme nous bons métalleux, ils aiment rire, je peux les convier au voyage ?” Ma foi s’ils sont comme nous, merci internet, comme on dit plus on est de fous… Arrivent donc les deux zigotos… Deux putain de skinheads ! :grr: Fallait voir les affreux, le premier était un cosplay de Derek dans American History X mais avec une cicatrice dans le coup puisque quelqu’un avait un jour tenté de l’égorger (“c’est génial !”). Et le second… Je crois qu’avec un tel visage le mec aurait pu tourner dans le remake de La Guerre du Feu tranquille… Je veux pas être méchant (quoique si un peu quand même…) mais quand on regardait ce type dans les yeux on pouvait voir derrière ses globes oculaires un aquarium contenant un poisson rouge consanguin trisomique qui faisait des cercles sans vraiment comprendre pourquoi (“c’est génial !!!”). Nous voilà avec ces deux prix Nobel de la Paix. On est repartit. 40 minutes plus tard la Cicatrice manque de sauter à la gorge du mec qui se balade à poil sur un malentendu, une petite pique incluant la maman qu’il ne fallait apparemment surtout pas mentionner. Finalement les deux firent la paix mais on avait compris que les deux “comme nous” ils étaient pas là pour rigoler. D’ailleurs je les ai jamais vus sourire. Cet épisode avait jeté un froid et avec ma copine on avait décidé de faire le schisme et de dormir autant qu’on pouvait. Cela ne nous intéressait plus de faire la fête avec ces gens :non:
Je fus réveillé par des vieux chants Allemands et c’était vraiment pas parce qu’on venait de rentrer chez Merkel et que les locaux nous accueillaient avec des chansons… Putain ca paraît tellement surréaliste raconté comme ça ! Ma copine me demandait si ces enculés étaient sérieux d’écouter ces trucs en Allemagne et juste après une bagarre générale éclata. Ca a pas duré longtemps, on a recalé les tendancieux au fond en leur ordonnant de plus foutre leur musique à la con et de se taire mais clairement l’ambiance n’était plus la même. On a été trop con je trouve. On aurait dû les assommer bien avant, sur une aire d’autoroute Belge, puis les balancer dans un fossé et se barrer sans eux…
A partir de là le trajet devint vraiment pénible. :( Ambiance tendue, décuve, chaleur, des heures de retard… Si pénible que cela me ruina un peu mon dimanche après-midi du Wacken parce que j’appréhendais le trajet retour. On ne fut pas mécontent de poser les pieds dans le festival et on a pas cherché à expliquer comment ca allait se passer : les skinheads iraient d’un coté et nous de l’autre et on ne se reverrait que lors du retour. Le plus fou c’est que ces cons on les a croisés une à deux fois par jours… Putain on était 80000, je devais voir plein de monde dont Alex de Metal Nemesis, et je tombais tous les jours sur une paire de skinheads aux visages amochés ! C’est dingue !! :scratch:
Fort heureusement le retour fut plus rapide et sans encombre. Tout le monde était calme ou endormi.
Mais cet épisode me fit définitivement faire une croix sur les voyages en bus malgré l’excellent épisode pour aller au Graspop en 2008. :yeah:
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Everflow
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Message par Everflow »

^ pas toujours fun mais épique en tout cas! :bow:
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demes
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Message par demes »

La voiture c'est bien. :D
ChaNoir a écrit :Merde on n´est pas venus pour voir Chantal Goya en perfecto!
Metalrunner a écrit :Je sais je suis un thrasheur romantique et fragile :D
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Achille
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Re: Vos anecdotes de bus Voyages 4A et autres

Message par Achille »

demes a écrit :
27 mai 2019, 17:41
La voiture c'est bien. :D
Tu as raison !
Mais j'avoue que le voyage en bus, quand on est jeunes et insouciants, c'est sûrement un truc à tenter tant l'expérience peut s'avérer euh... Disons "marquante", quoique vous compreniez avec ce mot :lol:
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