
Satan Jokers - dates
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Pour une tournée, SVP postez toutes les dates européennes disponibles dans le topic + la période ou quelques dates dans le titre du topic.
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- Defender of the Olympia
- Messages : 5837
- Enregistré le : 29 nov. 2009, 02:11
- Localisation : Out There Beyond the Wall
Les seules dates supplémentaires que j'ai trouvées :

Certainement présent au Pacific Rock pour le Satan's Fest IV.

Certainement présent au Pacific Rock pour le Satan's Fest IV.
When you're this gig, they call you...
...But you can't find the time
...But you can't find the time

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- Defender of the Olympia
- Messages : 5837
- Enregistré le : 29 nov. 2009, 02:11
- Localisation : Out There Beyond the Wall
Quelques infos émanant de l'orga pour le Satan's Fest IV à Cergy le 5 Janvier :
Même si c'est encore loin, les horaires dans un premier temps :
Même si c'est encore loin, les horaires dans un premier temps :
Et dans un second, les modalités de réservation :- 17h30 : IRMINSUL (60 Compiègne)
- 18h10 : ARIANROD (13 Marseille)
- 18h50 : JC JESS (74 Bonneville)
- 19h40 : BIG BEN (75 Paris)
- 20h35 : ZEP SET (69 Lyon)
- 21h35 : MYSTERY BLUE (67 Strasbourg)
- 22h40 : SATAN JOKERS (75 Paris)
Festival sans aucun sponsors, vous pouvez déjà réserver vos billets (attention : nombre de places limité !) TROIS POSSIBILITES POUR être CERTAIN D'ASSISTER AU SHOW :
- VIA PAYPAL (10€) dans la rubrique boutique sur http://www.hantson.com
- PAR CHEQUE (10€) après avoir rempli le bon de réservation (disponible dans quelques jours) avec le nombre de places en envoyant dès maintenant votre règlement à l’ordre d’ HANTSONG à : HANTSONG boîte 69, 69 rue Curial 75019 Paris.
- EN ESPECES (12€) le jour même après avoir rempli le bon de réservation (disponible dans quelques jours) avec le nombre de places. Merci de prévoir la monnaie à l’entrée.
Comme chaque année les billets seront délivrés le soir du concert au guichet sur indication de votre mode de paiement, de votre nom et du nombre de places réservées.
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...But you can't find the time
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- metal militia
- Defender of the Faith
- Messages : 7036
- Enregistré le : 04 juil. 2005, 16:02
- Localisation : chatenay malabry 92
ah non ils ont toujours fait gaffe à ce que ça ne tombe pas le même jour.Dave a écrit :je rève ou ça tombe à la même date que le Pmff ? chaque année il refont le coup...
- Kiss of Death
- Metal Heart
- Messages : 1403
- Enregistré le : 29 oct. 2005, 16:54
Bon ben je vais encore y aller moi, j'ai bien envie de revoir Mystery Blue, ça fait un bail depuis le Headbangers open air de 2005
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- Defender of the Olympia
- Messages : 5837
- Enregistré le : 29 nov. 2009, 02:11
- Localisation : Out There Beyond the Wall
Pas certain que le bon de réservation mentionné plus haut soit déjà accessible sur la page de Renaud Hantson pour ceux qui préfèrent payer par chèque au tarif de prévente ou sur place le soir-même, mais je rappelle qu'il est d'ores et déjà possible de payer son billet via Paypal ou ledit chèque en se fiant à la marche à suivre.


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- Defender of the Olympia
- Messages : 5837
- Enregistré le : 29 nov. 2009, 02:11
- Localisation : Out There Beyond the Wall
Je viens de prendre mon billet, n'oubliez pas que la capacité du Pacific Rock est de 250 places et que ça a lieu dans 3 semaines, traînez pas trop si ça vous intéresse.
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- Kiss of Death
- Metal Heart
- Messages : 1403
- Enregistré le : 29 oct. 2005, 16:54
oui merci pour le rappel, je crois que je vais la prendre assez rapidement du coup
- Kiss of Death
- Metal Heart
- Messages : 1403
- Enregistré le : 29 oct. 2005, 16:54
Je viens d'essayer de prendre 2 places sur le site de Hantson, ça marche pas je leur ai fait un email. Quelqu'un connait un autre moyen pour réserver ?
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- Defender of the Olympia
- Messages : 5837
- Enregistré le : 29 nov. 2009, 02:11
- Localisation : Out There Beyond the Wall
J'ai effectué le paiement via Paypal perso.
Il parlait de mettre en ligne un formulaire de résa sous peu, mais je crois que ça ait été fait encore.
Sinon envoie lui directement un chèque, c'est le plus simple je pense.
Il parlait de mettre en ligne un formulaire de résa sous peu, mais je crois que ça ait été fait encore.
Sinon envoie lui directement un chèque, c'est le plus simple je pense.
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- Kiss of Death
- Metal Heart
- Messages : 1403
- Enregistré le : 29 oct. 2005, 16:54
tout son site est gelé, il n'y a aucune fiche contact, ni possibilité d'acheter la place ,aucune adresse.. la loose, c'est vraiment mal foutu à 10 jours du fest.... je crois que je vais appeler directement le pacific rock demain.
- Kiss of Death
- Metal Heart
- Messages : 1403
- Enregistré le : 29 oct. 2005, 16:54
bon finalement fallait ouvrir le site de Hantson depuis Google chrome et j'ai pu réserver mes places
- citrouille
- Eurofan de metal
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J'espère qu'il sera performant, ce soir, il n'arrête pas dire sur facebook qu'il est malade et aux portes de la mort !
- kingdavid of steel
- Defender of the Faith
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quel cinema pour une gastro...
THEY TRIED TO MAKE GO TO HELLFEST BUT I SAID : NO,NO,NO !
- Graptemiss
- Guardian of the Flame
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Tu connais les hommes, probablement un rhume...citrouille a écrit :J'espère qu'il sera performant, ce soir, il n'arrête pas dire sur facebook qu'il est malade et aux portes de la mort !

- citrouille
- Eurofan de metal
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- Enregistré le : 08 janv. 2008, 11:05
- Localisation : le Tarneuhhhhh
une chochotte , ouais 

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- Defender of the Olympia
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- Enregistré le : 29 nov. 2009, 02:11
- Localisation : Out There Beyond the Wall
Hantson ?
Si c'est le cas, ça s'est pas fait ressentir.
D'un autre côté ça m'étonne pas de lui, il en faisait vraiment des caisses ce soir.
Après ça me dérange pas, ses laïus me faisaient marrer, mais pour le coup le concert a joué les prolongations, et rentrer chez soi à 3h passées quand on sort de la salle à moins de minuit et demie, je pourrai pas le refaire tous les jours.
En tout cas les zicos sont impressionnants de maîtrise technique.
La touche néoclassique de Zurita d'un côté et le jeu très funky tout en slap et à doigts de Mulot de l'autre apportent une fondation solide et complice qui ne détonne pas avec la frappe précise d'Ouzoulias.
Comme je disais, le père Renaud en fait des tonnes, mais la sincérité est palpable, et on sent vraiment qu'il aime bien déconner avec son public.
On regrettera simplement que les sempiternels passages obligés des soli successifs de guitare, de basse et de batterie, aient aussi sensiblement rallongé le tout, comme souligné au-dessus.
En soi en revanche, les variations et l'effervescence d'effets ajoutés aux deux grattes ont rendu les exercices autrement plus intéressants que d'habitude, je dois avouer avoir même été franchement captivé par les deux en fait, ce qui est suffisamment rare pour être signalé dans mon cas.
Et pour couronner le tout, une refonte métallisée de très bonne facture du classique "Get It On" de T. REX s'est glissée dans le set, histoire de porter à température de fusion le public déjà conquis.
Prestation très carrée et efficace, je regrette pas le déplacement (ni le retour).
Mais le reste du festival valait le détour aussi :
ARIANROD c'est un quartette maquillé façon Black, mais interprétant du Heavy mâtiné de chant guttural typé Death, doublé de synthés aux sonorités sirupeuses du Power mélodique, et ça passe très bien.
Pour J.C. JESS on passe à du Hard U.S. très dynamique porté par des médiums évoquant fortement un Michael Kiske, pas désagréable du tout, et qui conclue par une reprise de "Paradise City" de G'n'R.
Avec BIG BEN on enclenche la vitesse supérieure avec le Hard Rock pur et dur, bien burné, chanté en Français, habitué du Pacific Rock, aux textes engagés, et doté d'un chant écorché et vindicatif approchant celui de Mark Tornillo chez T.T. QUICK ou l'actuel ACCEPT.
On note un passage par la reprise de "My Generation" de THE WHO avant de jouer le dernier titre.
Comme son nom et son logo l'indique, ZEP SET rendait hommage au dirigeable.
En dehors d'un ou deux pains par-ci par-là, c'est fidèle et bien ficelé, d'ailleurs le chanteur partageait une ressemblance troublante avec Plant.
Et ça coûte toujours moins cher que d'aller voir les excellents LETZ ZEP à l'Olympia la veille du Metal Assault.
En vrac, on a eu le droit à un échantillon de chaque disque hormis "In Through The Out Door", soit de mémoire (l'ordre n'est pas certain) :
Good Times, Bad Times
Whole Lotta Love
The Song Remains The Same
Four Sticks
Immigrant Song
Achille's Last Stand
Kashmir
The Ocean
Avec MYSTERY BLUE, on embraye sur du Thrash brut de fonderie marqué par une forte disto sur la basse et des déferlantes de cavalcades frénétiques.
Même s'il m'a fallu passer le cap de deux titres avant de bien m'immerger de leur musique, l'efficacité était au rendez-vous.
Le rythme est retombé le temps d'une brève avarie technique du côté du gratteux, mais rien de grave.
Si c'est le cas, ça s'est pas fait ressentir.
D'un autre côté ça m'étonne pas de lui, il en faisait vraiment des caisses ce soir.
Après ça me dérange pas, ses laïus me faisaient marrer, mais pour le coup le concert a joué les prolongations, et rentrer chez soi à 3h passées quand on sort de la salle à moins de minuit et demie, je pourrai pas le refaire tous les jours.
En tout cas les zicos sont impressionnants de maîtrise technique.
La touche néoclassique de Zurita d'un côté et le jeu très funky tout en slap et à doigts de Mulot de l'autre apportent une fondation solide et complice qui ne détonne pas avec la frappe précise d'Ouzoulias.
Comme je disais, le père Renaud en fait des tonnes, mais la sincérité est palpable, et on sent vraiment qu'il aime bien déconner avec son public.
On regrettera simplement que les sempiternels passages obligés des soli successifs de guitare, de basse et de batterie, aient aussi sensiblement rallongé le tout, comme souligné au-dessus.
En soi en revanche, les variations et l'effervescence d'effets ajoutés aux deux grattes ont rendu les exercices autrement plus intéressants que d'habitude, je dois avouer avoir même été franchement captivé par les deux en fait, ce qui est suffisamment rare pour être signalé dans mon cas.
Et pour couronner le tout, une refonte métallisée de très bonne facture du classique "Get It On" de T. REX s'est glissée dans le set, histoire de porter à température de fusion le public déjà conquis.
Prestation très carrée et efficace, je regrette pas le déplacement (ni le retour).
Mais le reste du festival valait le détour aussi :
ARIANROD c'est un quartette maquillé façon Black, mais interprétant du Heavy mâtiné de chant guttural typé Death, doublé de synthés aux sonorités sirupeuses du Power mélodique, et ça passe très bien.
Pour J.C. JESS on passe à du Hard U.S. très dynamique porté par des médiums évoquant fortement un Michael Kiske, pas désagréable du tout, et qui conclue par une reprise de "Paradise City" de G'n'R.
Avec BIG BEN on enclenche la vitesse supérieure avec le Hard Rock pur et dur, bien burné, chanté en Français, habitué du Pacific Rock, aux textes engagés, et doté d'un chant écorché et vindicatif approchant celui de Mark Tornillo chez T.T. QUICK ou l'actuel ACCEPT.
On note un passage par la reprise de "My Generation" de THE WHO avant de jouer le dernier titre.
Comme son nom et son logo l'indique, ZEP SET rendait hommage au dirigeable.
En dehors d'un ou deux pains par-ci par-là, c'est fidèle et bien ficelé, d'ailleurs le chanteur partageait une ressemblance troublante avec Plant.
Et ça coûte toujours moins cher que d'aller voir les excellents LETZ ZEP à l'Olympia la veille du Metal Assault.
En vrac, on a eu le droit à un échantillon de chaque disque hormis "In Through The Out Door", soit de mémoire (l'ordre n'est pas certain) :
Good Times, Bad Times
Whole Lotta Love
The Song Remains The Same
Four Sticks
Immigrant Song
Achille's Last Stand
Kashmir
The Ocean
Avec MYSTERY BLUE, on embraye sur du Thrash brut de fonderie marqué par une forte disto sur la basse et des déferlantes de cavalcades frénétiques.
Même s'il m'a fallu passer le cap de deux titres avant de bien m'immerger de leur musique, l'efficacité était au rendez-vous.
Le rythme est retombé le temps d'une brève avarie technique du côté du gratteux, mais rien de grave.
Modifié en dernier par Mr. Gig le 06 janv. 2013, 14:53, modifié 1 fois.
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- citrouille
- Eurofan de metal
- Messages : 2980
- Enregistré le : 08 janv. 2008, 11:05
- Localisation : le Tarneuhhhhh
A Toulouse,sur certains morceaux, j'ai trouvé que le jeu de Mulot bouffait carrément celui de Zurita ! Cela m'a énormément gêné !Mr. Gig a écrit : En tout cas les zicos sont impressionnants de maîtrise technique.
La touche néoclassique de Zurita d'un côté et le jeu très funky tout en slap et à doigts de Mulot de l'autre apportent une fondation solide et complice qui ne détonne pas avec la frappe précise d'Ouzoulias.
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- Defender of the Olympia
- Messages : 5837
- Enregistré le : 29 nov. 2009, 02:11
- Localisation : Out There Beyond the Wall
Il y avait bien IRMINSUL, mais je suis arrivé après, faudra demander à Kiss of Death.
Par "bouffait", tu veux dire qu'il laissait peu de place à Zurita ?
Je suis d'accord qu'il accapare beaucoup d'espace scénique à lui seul, mais dans la globalité je les ai trouvés tout à fait complémentaires.
Après c'est sûr, sa débauche de notes peut clairement donner l'impression de remplissage par moments, mais ça confère un regain structurel de la basse dans un style où elle n'est généralement contentée que de donner la cadence, sans apporter de valeur ajoutée du point de vue mélodique.
C'est une observation qui n'engage que moi bien sûr, mais à mon sens, même s'il peut donner l'air d'en faire un peu trop sur certains phrasés, il a bien sa place, sans compter que Zurita est lui-même très présent, à commencer par l'importance soulignée de ses soli.
Par "bouffait", tu veux dire qu'il laissait peu de place à Zurita ?
Je suis d'accord qu'il accapare beaucoup d'espace scénique à lui seul, mais dans la globalité je les ai trouvés tout à fait complémentaires.
Après c'est sûr, sa débauche de notes peut clairement donner l'impression de remplissage par moments, mais ça confère un regain structurel de la basse dans un style où elle n'est généralement contentée que de donner la cadence, sans apporter de valeur ajoutée du point de vue mélodique.
C'est une observation qui n'engage que moi bien sûr, mais à mon sens, même s'il peut donner l'air d'en faire un peu trop sur certains phrasés, il a bien sa place, sans compter que Zurita est lui-même très présent, à commencer par l'importance soulignée de ses soli.
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