Posté : 01 oct. 2016, 12:33
Dernier message de la page précédente :
Malgré le fait que ce soit pas une tuerie, je le trouve bien agréable à écouter ce morceau, peut être même plus que Hardwired pour le coup.Defenders Of The Faith, le forum Metal
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Metallica - Hardwired...To Self-Destruct
Page 5 sur 7
Posté : 01 oct. 2016, 18:14
Un version "live".
Posté : 01 oct. 2016, 21:35
Jouée comme ça elle déboite !
Posté : 02 oct. 2016, 09:28
C'est vrai qu'en live elle rend bien, c'est sans doute ce qu'ils ont sorti de mieux depuis le black album mais je ne la trouve pas exceptionnelle non plus. J'dois être devenu un vieux con 
Posté : 02 oct. 2016, 15:05
Nouvelle gratte pour James sinon c est correct mais sans plus
Posté : 05 oct. 2016, 20:59
je trouve leur 2 nouveaux titres pas si mal que cela, c'est pas du grand metallica epoque "ride..." mais je n'avais plus rien ecouté d'eux depuis le black album.
putain la pochette !!! au secours, c'est quoi cette bouse ? "Mais c'est de l'art Mr", "ah ouf j'ai cru qu'un merdeux de 3 ans avait vomi sur votre tableau"
putain la pochette !!! au secours, c'est quoi cette bouse ? "Mais c'est de l'art Mr", "ah ouf j'ai cru qu'un merdeux de 3 ans avait vomi sur votre tableau"
Posté : 05 oct. 2016, 21:25
Je ne suis pas particulièrement nostalgique quand il s'agit de Metallica mais ce morceau ne me procure absolument aucune émotion. 
Posté : 10 oct. 2016, 16:07
Au final je trouve ces 2 titres plutôt reussi dans la mesure ou je ne les ecoute pas en me disant que ca pourrait être mieux s'ils remplacaient tels riff par tel riff, que telle partie est trop longue ....un habitude que j'avais vite pris en ecoutant Death Magnetic.
Apres c'est sur, si on compare a la grande epoque, la comparaison fait effectivement tres mal mais je n'en vois pas trop l'intérêt. Comme d'autres l'ont dit, c'est sûrement ce qu'ils ont sorti de plus honete depuis un moment et pour un groupe dont la moyenne d'age tourne autour des 55 ans, ca tabasse pas mal.
Sinon pour la version live, elle est bien jouee sauf Lars qui ne joue jamais ses parties de double pedale.
Apres c'est sur, si on compare a la grande epoque, la comparaison fait effectivement tres mal mais je n'en vois pas trop l'intérêt. Comme d'autres l'ont dit, c'est sûrement ce qu'ils ont sorti de plus honete depuis un moment et pour un groupe dont la moyenne d'age tourne autour des 55 ans, ca tabasse pas mal.
Sinon pour la version live, elle est bien jouee sauf Lars qui ne joue jamais ses parties de double pedale.
Posté : 14 oct. 2016, 09:22
Tout pareil jusqu'icimike-polar a écrit :Au final je trouve ces 2 titres plutôt reussi dans la mesure ou je ne les ecoute pas
Posté : 01 nov. 2016, 10:21
le 3ème extrait
Posté : 01 nov. 2016, 10:29
Clairement le moins bon des 3 pour le moment.
Posté : 01 nov. 2016, 10:34
Moi, je trouve ça... honnête. Même assez sympa... Par contre le son est trop aseptisé.
Posté : 01 nov. 2016, 16:05
Voici la listening session de l'album par Paris Match. Bon ok ce n'est pas un magazine metal mais bon.
Huit ans après «Death Magnetic», le groupe de hard rock américain publiera le 18 novembre «Hardwired… to self-destruct». Nous avons écouté en avant-première cet album très attendu. Et ça dépote!
Pas question de laisser fuiter quoi que ce soit avant le 1er novembre, ni à ses enfants ni même en confidence sur l’oreiller à sa fan légitime, pour la vingtaine de journalistes conviés à découvrir le nouvel opus de Metallica, «Hardwired… to self destruct» [«Programmé… pour s’auto-détruire»], dans les locaux d’Universal France. Et comme ici, on se méfie des enregistrements sauvages, chose compréhensible au pays de Patrick Buisson, les téléphones portables doivent donc être laissés au vestiaire.
Jusqu’à présent, seuls trois titres ont été livrés en pâture, dont le furieux «Hardwired», qui ouvre les hostilités, soit trois minutes de furie, un croisement de «Metal Militia» et de «Hit the Lights», les morceaux les plus dingues du premier album, le survitaminé «Kill’em All». Mais le naturel –qui veut que depuis «...And Justice For All» (1988), le groupe étire les morceaux jusqu’à plus soif– revient au triple galop avec «Atlas, Rise!», dévoilé lundi, puis «Now that we’re dead» qui regorgent d’idées, parfois biscornues ou jetées pêle-mêle. Les riffs s’enchaînent à une cadence digne de Michael Schumacher… au point aussi de laisser aussi une impression globale de fouillis.
Le chant de James Hetfield est ultra-agressif, comme le prouve l’implacable «Moth Into Flame», autre titre déjà écoutable en ligne, un papillon de nuit à des années lumières de celui de France Gall. «Dream no more» modère enfin le rythme effréné mené jusqu’alors, avec un couplet langoureux. Il y aurait presqu’une invitation à se lancer sur la piste de danse au bras de sa belle, avant de l’envoyer bouler soudainement pour pogoter sur le refrain martial (si si, elle comprendra, je vous assure, Metallica pardonne bien des écarts). Un contraste très efficace avant le morceau le plus réussi de la première salve, «Halo on fire». Un titre qui sonne déjà comme un futur classique, où l’on se rappelle enfin que James Hetfield, a un registre vocal vraiment sensible et nuancé. Et que lorsqu’il ose en faire usage, il assure, sans jamais tomber dans la guimauve ou le slow métalleux dégoulinant. Mieux, on entend à nouveau un Kirk Hammett inspiré comme rarement, qui multiplie les solos ébouriffants. A la rythmique, Lars Ulrich et Robert Trujillo mènent pour leur part un train d’enfer. Pas de doute, alors que sonne la mi-temps, on comprend que nos quinquas nerveux ne sont toujours pas près au compromis commercial, n’en déplaise à André Rieu. Il est temps pour tous de prendre une bière, des chips, de laisser reposer les oreilles après 40 minutes électriques…
Les cardiaques peuvent sortir de la salle, au risque de l’accident fatal s’ils enchaînent illico sur la deuxième volée de six titres survoltés. Déboule alors le bien nommé «Confusion», avec sa batterie en ordre de marche militaire, du pur Metallica, un titre fait pour le live. On entrevoit déjà les light shows qui s’affolent et un public plongé dans une transe stroboscopique. Surgit alors la deuxième pépite d’«Hardwired… to self destruct», «ManUnkind» : intro harmonieuse, basse qui s’affirme et prend son indépendance (seul titre où d’ailleurs, l’excellent Robert Trujillo est crédité), un solo quatre étoiles de Kirk Hammett qui marque cet album de son empreinte, sauvant même les morceaux moyens. Rien à dire, l’humanité a beau n’être pas très sympa et Metallica prophétiser la IIIe guerre mondiale, on se réjouit du clash final comme un hédoniste savourant une piña collada sur un volcan en éruption.
«Here comes the Revenge» déclenche les sirènes annonçant le prochain bombardement sonore. Mais l’intro longue, mais alors vraiment très très très longue, nuit à l’efficacité du morceau, qui redécolle heureusement quand James Hetfield entonne, en digne héritier de Caïn, sa chanson douce -«Sweeeet reveeenge !»- suivie d’un solo assassin de maître Hammett. Et là, Metallica nous pose enfin la question à 1000 euros : «Am I Savage ?» «Bah oui. Ça c’est vrai ça !» répond illico la mère Denis du fond de son tombeau. Pour ceux qui en douteraient encore, après une intro délicate, James hurle comme un loup garou. Et ce n’est pas «Murder one» qui va calmer la bête, plus sauvage que jamais après s’être échappée de sa cage moelleuse, une intro à la «Welcome home (Sanitarium»). Et de scander «Born to lose, live to win», dicton approuvé par Lemmy comme par Kennedy, qui dit grosso modo que dans la vie, mieux vaut ne pas se laisser abattre. Le headbanger commence à avoir mal au cou lorsque Metallica crache son ultime morceau, «Spit out the bone» : d’emblée, un batterie épileptique claque comme un coup de fouet encore plus cinglant que celui de «Whiplash», avant que lorsque le morceau s’énerve définitivement dans des envolées à la «One».
«Bon alors, le verdict?» «Comment? Ai-je croisé Bénédicte? Diantre non ! En revanche, je peux vous dire qu’avec «Hardwired… to self destruct», vous en aurez vraiment pour vos sourds. L’album s’inscrit dans la droite lignée de «Death Magnetic», et possède déjà au moins deux classiques qui alimenteront les futurs best-of. Pour atteindre le statut des albums cultes du groupe –les cinq premiers, dans l’ordre ou dans le désordre, selon vos goûts– il aurait cependant mérité d’être plus concis. Le thrash metal progressif, cet oxymore musical qui marie furia de Motorhead et dilatement du temps à la Pink Floyd, est un genre assez casse-gueule qui implique d’être au top tout le temps, ici 80 minutes d’affilée. Mission quasi-impossible mais sommets que le groupe a tutoyés pourtant à plusieurs reprises. Moralité, «Hardwired…» ne s’autodétruira pas dans votre discothèque, mais mettra joyeusement le feu à vos esgourdes!
Huit ans après «Death Magnetic», le groupe de hard rock américain publiera le 18 novembre «Hardwired… to self-destruct». Nous avons écouté en avant-première cet album très attendu. Et ça dépote!
Pas question de laisser fuiter quoi que ce soit avant le 1er novembre, ni à ses enfants ni même en confidence sur l’oreiller à sa fan légitime, pour la vingtaine de journalistes conviés à découvrir le nouvel opus de Metallica, «Hardwired… to self destruct» [«Programmé… pour s’auto-détruire»], dans les locaux d’Universal France. Et comme ici, on se méfie des enregistrements sauvages, chose compréhensible au pays de Patrick Buisson, les téléphones portables doivent donc être laissés au vestiaire.
Jusqu’à présent, seuls trois titres ont été livrés en pâture, dont le furieux «Hardwired», qui ouvre les hostilités, soit trois minutes de furie, un croisement de «Metal Militia» et de «Hit the Lights», les morceaux les plus dingues du premier album, le survitaminé «Kill’em All». Mais le naturel –qui veut que depuis «...And Justice For All» (1988), le groupe étire les morceaux jusqu’à plus soif– revient au triple galop avec «Atlas, Rise!», dévoilé lundi, puis «Now that we’re dead» qui regorgent d’idées, parfois biscornues ou jetées pêle-mêle. Les riffs s’enchaînent à une cadence digne de Michael Schumacher… au point aussi de laisser aussi une impression globale de fouillis.
Le chant de James Hetfield est ultra-agressif, comme le prouve l’implacable «Moth Into Flame», autre titre déjà écoutable en ligne, un papillon de nuit à des années lumières de celui de France Gall. «Dream no more» modère enfin le rythme effréné mené jusqu’alors, avec un couplet langoureux. Il y aurait presqu’une invitation à se lancer sur la piste de danse au bras de sa belle, avant de l’envoyer bouler soudainement pour pogoter sur le refrain martial (si si, elle comprendra, je vous assure, Metallica pardonne bien des écarts). Un contraste très efficace avant le morceau le plus réussi de la première salve, «Halo on fire». Un titre qui sonne déjà comme un futur classique, où l’on se rappelle enfin que James Hetfield, a un registre vocal vraiment sensible et nuancé. Et que lorsqu’il ose en faire usage, il assure, sans jamais tomber dans la guimauve ou le slow métalleux dégoulinant. Mieux, on entend à nouveau un Kirk Hammett inspiré comme rarement, qui multiplie les solos ébouriffants. A la rythmique, Lars Ulrich et Robert Trujillo mènent pour leur part un train d’enfer. Pas de doute, alors que sonne la mi-temps, on comprend que nos quinquas nerveux ne sont toujours pas près au compromis commercial, n’en déplaise à André Rieu. Il est temps pour tous de prendre une bière, des chips, de laisser reposer les oreilles après 40 minutes électriques…
Les cardiaques peuvent sortir de la salle, au risque de l’accident fatal s’ils enchaînent illico sur la deuxième volée de six titres survoltés. Déboule alors le bien nommé «Confusion», avec sa batterie en ordre de marche militaire, du pur Metallica, un titre fait pour le live. On entrevoit déjà les light shows qui s’affolent et un public plongé dans une transe stroboscopique. Surgit alors la deuxième pépite d’«Hardwired… to self destruct», «ManUnkind» : intro harmonieuse, basse qui s’affirme et prend son indépendance (seul titre où d’ailleurs, l’excellent Robert Trujillo est crédité), un solo quatre étoiles de Kirk Hammett qui marque cet album de son empreinte, sauvant même les morceaux moyens. Rien à dire, l’humanité a beau n’être pas très sympa et Metallica prophétiser la IIIe guerre mondiale, on se réjouit du clash final comme un hédoniste savourant une piña collada sur un volcan en éruption.
«Here comes the Revenge» déclenche les sirènes annonçant le prochain bombardement sonore. Mais l’intro longue, mais alors vraiment très très très longue, nuit à l’efficacité du morceau, qui redécolle heureusement quand James Hetfield entonne, en digne héritier de Caïn, sa chanson douce -«Sweeeet reveeenge !»- suivie d’un solo assassin de maître Hammett. Et là, Metallica nous pose enfin la question à 1000 euros : «Am I Savage ?» «Bah oui. Ça c’est vrai ça !» répond illico la mère Denis du fond de son tombeau. Pour ceux qui en douteraient encore, après une intro délicate, James hurle comme un loup garou. Et ce n’est pas «Murder one» qui va calmer la bête, plus sauvage que jamais après s’être échappée de sa cage moelleuse, une intro à la «Welcome home (Sanitarium»). Et de scander «Born to lose, live to win», dicton approuvé par Lemmy comme par Kennedy, qui dit grosso modo que dans la vie, mieux vaut ne pas se laisser abattre. Le headbanger commence à avoir mal au cou lorsque Metallica crache son ultime morceau, «Spit out the bone» : d’emblée, un batterie épileptique claque comme un coup de fouet encore plus cinglant que celui de «Whiplash», avant que lorsque le morceau s’énerve définitivement dans des envolées à la «One».
«Bon alors, le verdict?» «Comment? Ai-je croisé Bénédicte? Diantre non ! En revanche, je peux vous dire qu’avec «Hardwired… to self destruct», vous en aurez vraiment pour vos sourds. L’album s’inscrit dans la droite lignée de «Death Magnetic», et possède déjà au moins deux classiques qui alimenteront les futurs best-of. Pour atteindre le statut des albums cultes du groupe –les cinq premiers, dans l’ordre ou dans le désordre, selon vos goûts– il aurait cependant mérité d’être plus concis. Le thrash metal progressif, cet oxymore musical qui marie furia de Motorhead et dilatement du temps à la Pink Floyd, est un genre assez casse-gueule qui implique d’être au top tout le temps, ici 80 minutes d’affilée. Mission quasi-impossible mais sommets que le groupe a tutoyés pourtant à plusieurs reprises. Moralité, «Hardwired…» ne s’autodétruira pas dans votre discothèque, mais mettra joyeusement le feu à vos esgourdes!
Posté : 01 nov. 2016, 16:10
A partir de ce que j'ai lu au 2 eme paragraphe je n accorde aucun crédit à cet article.
Hardwired un mélange de hit the light et metal militia ? Ils sont sérieux là ?
Hardwired un mélange de hit the light et metal militia ? Ils sont sérieux là ?
Posté : 01 nov. 2016, 20:06
J'ai aussi tiqué sur ce passageArnold et Willy a écrit :A partir de ce que j'ai lu au 2 eme paragraphe je n accorde aucun crédit à cet article.
Hardwired un mélange de hit the light et metal militia ? Ils sont sérieux là ?
Sinon ce troisième titre est sympa mais toujours pas "bandant".
Posté : 02 nov. 2016, 21:42
Ils seront au Grand Journal le 15/11.
Les membres du fan club peuvent gagner des places.
"As we circle the globe spreading the Hardwired vibe, we’re super excited to announce that we’ll be making a very quick visit to our European friends in mid-November. While we’re there you can look for more of the same mix of activities we did in New York . . . some television appearances, maybe a live show (no hints yet!), connecting with a few old friends to chat about the new album and more. We’re honored that during our visit we've been asked to play on Le Grand Journal on Canal Plus TV in France on November 15th and we would like YOU to be our guest in the audience.
Fifth Members should click here to see how you can win tickets to not only see the television taping but will also see an additional live performance in the studio. Le Grand Journal will broadcast that same night, November 15th, with the additional songs airing the evening of November 18th."
Les membres du fan club peuvent gagner des places.
"As we circle the globe spreading the Hardwired vibe, we’re super excited to announce that we’ll be making a very quick visit to our European friends in mid-November. While we’re there you can look for more of the same mix of activities we did in New York . . . some television appearances, maybe a live show (no hints yet!), connecting with a few old friends to chat about the new album and more. We’re honored that during our visit we've been asked to play on Le Grand Journal on Canal Plus TV in France on November 15th and we would like YOU to be our guest in the audience.
Fifth Members should click here to see how you can win tickets to not only see the television taping but will also see an additional live performance in the studio. Le Grand Journal will broadcast that same night, November 15th, with the additional songs airing the evening of November 18th."
Posté : 03 nov. 2016, 11:10
Le reste est crédible pourtant : "on entend à nouveau un Kirk Hammett inspiré comme rarement, qui multiplie les solos ébouriffants"Arnold et Willy a écrit :A partir de ce que j'ai lu au 2 eme paragraphe je n accorde aucun crédit à cet article.
Hardwired un mélange de hit the light et metal militia ? Ils sont sérieux là ?
Posté : 08 nov. 2016, 08:50
J'y serai, je viens de gagner une invitation par le Metclub !Gandalf a écrit :Ils seront au Grand Journal le 15/11.
Les membres du fan club peuvent gagner des places.
"As we circle the globe spreading the Hardwired vibe, we’re super excited to announce that we’ll be making a very quick visit to our European friends in mid-November. While we’re there you can look for more of the same mix of activities we did in New York . . . some television appearances, maybe a live show (no hints yet!), connecting with a few old friends to chat about the new album and more. We’re honored that during our visit we've been asked to play on Le Grand Journal on Canal Plus TV in France on November 15th and we would like YOU to be our guest in the audience.
Fifth Members should click here to see how you can win tickets to not only see the television taping but will also see an additional live performance in the studio. Le Grand Journal will broadcast that same night, November 15th, with the additional songs airing the evening of November 18th."
Posté : 08 nov. 2016, 20:51
Excellent ! Tu raconteras 
Posté : 08 nov. 2016, 22:21
J étais allé à Nulle part ailleurs pour la sortie de Reload.
Posté : 09 nov. 2016, 13:47
Les trois titres disponibles me plaisent vraiment beaucoup, j'ai hâte que l'album sorte. Cela ne m'est pas arrivé concernant Metallica depuis 1988 à la sortie de "and justice for all". Je n'attendais plus grand chose de ce groupe mais là, je suis curieux d'entendre l'album en entier.
Posté : 13 nov. 2016, 12:29
Excellent album ! Un condensé de tout ce qu'ils ont pu faire !
Posté : 13 nov. 2016, 14:33
Premières écoutes, pour l'instant ç'est pas mal du tout. Le dernier titre, spit out the bone, déchire un max, comme au bon vieux temps!
Posté : 13 nov. 2016, 14:40
Le CD 1 est nettement au dessus du CD2. Pas mal dans l'ensemble, mais pas au dessus de Death Magnetic, j'en attendais plus à vrai dire.
Posté : 13 nov. 2016, 16:48
Je n'ai jamais accroché à death magnetic, je ne saurais l'expliquer. Celui-ci a l'air de mieux me convenir mais il va me falloir plusieurs écoutes avant de le juger définitivement.
Posté : 14 nov. 2016, 18:38
Hardwired est dans la droite lignée de DM, en moins varié (pas l'ombre d'une ballade) mais avec un bien meilleur son. Dommage qu'il y a des titres mauvais comme "Am I Savage" et "Murder One" qui gâchent totalement le CD2.