Posté : 15 oct. 2014, 20:04
				
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 Frank c'est un peu le Malcom Young du groupe. Même si parfois on se demande s'il se fait chier ou pasweik a écrit :Les seconds gratteux dans ACCEPT n'ont jamais quasiment servis à rien (si ce n'est en live pour apporter des rythmiques pendant les solos de Wolf).olivier64 a écrit : Et d'accord sur Hermann FRANK qui est le maillon faible du groupe (enfin, pas vraiment maillon faible mais le seul qui n'apporte absolument rien : même pendant ses choeurs où au mieux il murmure dans le micro).
 
 
Je me suis fait la même remarque. Et Wolf, frontman... Je dirais ok, s'il prenait un peu la parole... Menfin bon... avec moins de blabla, ça fait quand même un set de 20 titres.Pierre a écrit :Je pense que Tornillo fait surtout ce que Wolf et Peter lui disent de faire. Parce qu'il est quand même plus mobile qu'Udo et il ne manque pas de charisme, mais il restait toujours en retrait par rapport aux deux patrons. C'est en fait la première fois que je vois un chanteur qui n''a pas un rôle de frontman
 
   
   
   
   

Pantoufle a écrit : et puis moi, le duo Bruce Willis / Valérie Mairesse , je m' en lasse pas.
 
   
  
Mais en même temps ACCEPT sans deuxième guitariste c'est pas ça non plus... (C.f. période 90's du groupe)weik a écrit : Les seconds gratteux dans ACCEPT n'ont jamais quasiment servis à rien (si ce n'est en live pour apporter des rythmiques pendant les solos de Wolf).
Au plaisir l'amiPantoufle a écrit :de partager des bières à l' abris d'un coffre avec le sympathique Guix (et ses compagnons)

Il y en avait même un venu de Corse exprès!!citrouille a écrit : Tous les chemins menaient à Toulouse, hier soir , c'était super sympa de croiser plein de copinous de Perpi de l'Aveyrongg ou de Mazamet!

Et sans cagoule noire , ni mitraillettesMadnad a écrit :
Il y en avait même un venu de Corse exprès!!


 
   Donc oui, j'adore "Stalingrad", aussi bien la chanson que l'album. Un morceau épique à souhait avec des choeurs énormes et un refrain facilement mémorisable, et un album qui a une forte longévité chez moi... Bref, tous mes problèmes personnels sont éclipsés d'un coup et ça fait une belle entrée en matière
 Donc oui, j'adore "Stalingrad", aussi bien la chanson que l'album. Un morceau épique à souhait avec des choeurs énormes et un refrain facilement mémorisable, et un album qui a une forte longévité chez moi... Bref, tous mes problèmes personnels sont éclipsés d'un coup et ça fait une belle entrée en matière  Et pendant deux heures, ça va être ça : des enchaînements de tubes les uns après les autres, sans le moindre temps mort. Sur la playlist, on peut toujours râler du fait que le groupe accorde la part belle à ses albums post-reformation (avec trois titres de "Blood of the nations" et de "Stalingrad" et six de "Blind rage", sur vingt-et-un morceau) alors qu'ils comptent une pléthore de classiques à leur palmarès. Habituellement, ça ne me plait pas. Mais Accept est l'exception qui confirme la règle. Parce que leurs trois derniers albums sont des tueries. Parce que c'est l'un des rares grands groupes reformés qui ait encore quelque chose d'intéressant à proposer sur disque, alors que la plupart des autres dinosaures ne sortent des albums que pour montrer qu'ils existent encore et comme prétexte pour faire des tournées. Dans ces conditions, le nouveau matériel mérite effectivement d'être défendu comme il se doit sur scène. Et dans cet enchaînement de tubes avec la précision d'un métronome, ces nouveaux titres font plus que bonne figure aux côtés des hymnes intemporels des années 80 bien connus de tous. Des "Stalingrad", "Teutonic terror" (jouée quand même en avant-dernier rappel), "200 years", "Dying breed" ou encore la superbe "Shadow soldiers" qui me donne des frissons dans l'échine, ça ne jure absolument pas aux côtés des "Balls to the wall", "Starlight" (et son riff toujours imparable), "Metal heart" et autres "Princess of the dawn". Dans les vieux titres, on a quand même eu droit à deux surprises avec "Ahead of the pack" et surtout "London leatherboys". C'est sûr qu'ils auraient pu en exhumer d'autres. Je regrette par exemple qu'on n'ai rien eu de "Breaker" (mon album préféré du groupe) hormis "Starlight". Mais vu que les nouveaux morceaux qui ont été privilégiés sont très bons, je ne leur en tiendrai pas rigueur.
 Et pendant deux heures, ça va être ça : des enchaînements de tubes les uns après les autres, sans le moindre temps mort. Sur la playlist, on peut toujours râler du fait que le groupe accorde la part belle à ses albums post-reformation (avec trois titres de "Blood of the nations" et de "Stalingrad" et six de "Blind rage", sur vingt-et-un morceau) alors qu'ils comptent une pléthore de classiques à leur palmarès. Habituellement, ça ne me plait pas. Mais Accept est l'exception qui confirme la règle. Parce que leurs trois derniers albums sont des tueries. Parce que c'est l'un des rares grands groupes reformés qui ait encore quelque chose d'intéressant à proposer sur disque, alors que la plupart des autres dinosaures ne sortent des albums que pour montrer qu'ils existent encore et comme prétexte pour faire des tournées. Dans ces conditions, le nouveau matériel mérite effectivement d'être défendu comme il se doit sur scène. Et dans cet enchaînement de tubes avec la précision d'un métronome, ces nouveaux titres font plus que bonne figure aux côtés des hymnes intemporels des années 80 bien connus de tous. Des "Stalingrad", "Teutonic terror" (jouée quand même en avant-dernier rappel), "200 years", "Dying breed" ou encore la superbe "Shadow soldiers" qui me donne des frissons dans l'échine, ça ne jure absolument pas aux côtés des "Balls to the wall", "Starlight" (et son riff toujours imparable), "Metal heart" et autres "Princess of the dawn". Dans les vieux titres, on a quand même eu droit à deux surprises avec "Ahead of the pack" et surtout "London leatherboys". C'est sûr qu'ils auraient pu en exhumer d'autres. Je regrette par exemple qu'on n'ai rien eu de "Breaker" (mon album préféré du groupe) hormis "Starlight". Mais vu que les nouveaux morceaux qui ont été privilégiés sont très bons, je ne leur en tiendrai pas rigueur.  C'est lui qui se met le plus en avant, tous les projecteurs sont braqués sur lui. Il n'y a aucun doute sur la réponse à la question de savoir qui est le patron dans Accept. Une telle mise en avant est une forme de mégalomanie poussée un peu loin, quand même
 C'est lui qui se met le plus en avant, tous les projecteurs sont braqués sur lui. Il n'y a aucun doute sur la réponse à la question de savoir qui est le patron dans Accept. Une telle mise en avant est une forme de mégalomanie poussée un peu loin, quand même  Après, Accept, c'est lui. Il n'y a qu'à voir la différence avec Udo en solo. J'aime bien, mais il leur manque un guitariste qui a la même classe et la même personnalité. Et il manque aussi un truc aux compos d'Udo pour être au niveau. Et le compositeur principal d'Accept est et a toujours été Wolf Hoffmann. N'empêche que c'est la première fois que je vois un groupe dont le chanteur n'a pas un rôle de frontman ! J'aime bien Mark Tornillo. Il a une bonne tête, il possède un certain charisme, il a une bonne voix et tient la comparaison avec son illustre prédécesseur, sans aller jusqu'à le faire complètement oublier. Mais c'est un employé, et il laisse ses patrons se mettre en avant
 Après, Accept, c'est lui. Il n'y a qu'à voir la différence avec Udo en solo. J'aime bien, mais il leur manque un guitariste qui a la même classe et la même personnalité. Et il manque aussi un truc aux compos d'Udo pour être au niveau. Et le compositeur principal d'Accept est et a toujours été Wolf Hoffmann. N'empêche que c'est la première fois que je vois un groupe dont le chanteur n'a pas un rôle de frontman ! J'aime bien Mark Tornillo. Il a une bonne tête, il possède un certain charisme, il a une bonne voix et tient la comparaison avec son illustre prédécesseur, sans aller jusqu'à le faire complètement oublier. Mais c'est un employé, et il laisse ses patrons se mettre en avant  Il n'a jamais dû s'avancer sur la scène au delà de la ligne Baltes / Hoffmann. Il chante très bien, mais il ne communique pas trop (alors qu'on sent qu'il pourrait et qu'il le voudrait, même). Peter Baltes et Wolf Hoffmann haranguent le public à sa place. Du reste, ça n'a pas l'air de trop le déranger. Seul Hermann Frank semble en retrait et quelque peu blasé et n'affiche pas la même bonne humeur que le reste du groupe.
 Il n'a jamais dû s'avancer sur la scène au delà de la ligne Baltes / Hoffmann. Il chante très bien, mais il ne communique pas trop (alors qu'on sent qu'il pourrait et qu'il le voudrait, même). Peter Baltes et Wolf Hoffmann haranguent le public à sa place. Du reste, ça n'a pas l'air de trop le déranger. Seul Hermann Frank semble en retrait et quelque peu blasé et n'affiche pas la même bonne humeur que le reste du groupe. 
 
   Quand on pense à tous ces groupes récents dont les membres sont bien plus jeunes que ceux d'Accept et qui ne sont pas foutus de faire des concerts de plus d'une heure et quart quand ils jouent en tête d'affiche...
 Quand on pense à tous ces groupes récents dont les membres sont bien plus jeunes que ceux d'Accept et qui ne sont pas foutus de faire des concerts de plus d'une heure et quart quand ils jouent en tête d'affiche...

 
  
 
 Pour d'autres, ça va être MAIDEN, JUDAS, VEKTOR ou GHOST.
 Pour d'autres, ça va être MAIDEN, JUDAS, VEKTOR ou GHOST. Excellent comme à ton habitude ! Effectivement c'était vraiment une énorme soirée ! Moi je m'attendais a un petit Breaker quand même
 Excellent comme à ton habitude ! Effectivement c'était vraiment une énorme soirée ! Moi je m'attendais a un petit Breaker quand même  