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Posté : 19 sept. 2008, 14:21
par Hellion

Dernier message de la page précédente :

Complètement énorme ! J'adore ! le groupe le plus fidele a lui même du monde !
comment j'ai pu passer a coté pendant toutes ces années ! :/
et j'aime vraiment bien cette chanson moi !

Posté : 19 sept. 2008, 15:47
par demodefontenay
Hellion a écrit :Complètement énorme ! J'adore ! le groupe le plus fidele a lui même du monde !
hé hé la grande classe, même leurs fringues ils les changent pas !! :cheers:

Posté : 19 sept. 2008, 18:18
par NicoGan
C'est une vraie parodie d'ACDC ce clip :D

Posté : 19 sept. 2008, 18:22
par demodefontenay
WAR MACHINE ici : http://www.myspace.com/acdc

Posté : 19 sept. 2008, 19:26
par houyoux hervé
Un nouveau titre en écoute sur leur Myspace
War Machine
http://www.myspace.com/acdc
le vidéoclip "Rock 'n' Roll Train sur :
http://www.acdc.com/acdc101/
:bang: :bang: :bang: :bang: :bang:

Posté : 19 sept. 2008, 20:42
par féfé
Mouais, autant j'aime bien "rock'n roll train", autant celle là m'emballe pas plus que ça...

Posté : 19 sept. 2008, 21:06
par houyoux hervé
t es difficille!! :diable: :putain:

Posté : 25 sept. 2008, 11:03
par Oliber
j'ai demande chez Gibert pour me faire mettre de cote le AC-DC des sa sortie et franchement c'est un joli fouttage de gueule, 4 pochettes pour la version de base avec juste une diff de couleur , c'est honteux !
au final , j'aurais l'édition "collector" et ça va me suffir !

Olivier

Posté : 25 sept. 2008, 12:00
par Ad Metal Eternam
RoO... Faut pas exagérer quand même :lol:
Tu prends l'album avec la couleur du logo qui te plait le plus et basta.
Après, si y en a qui sont assez zinzins pour se payer les quatre versions à cause d'une couleur différente, c'est leur problème :D

Posté : 25 sept. 2008, 15:25
par Oliber
Ad Metal Eternam a écrit :RoO... Faut pas exagérer quand même :lol:
Tu prends l'album avec la couleur du logo qui te plait le plus et basta.
Après, si y en a qui sont assez zinzins pour se payer les quatre versions à cause d'une couleur différente, c'est leur problème :D
je trouve que juste le proposer c déjà se foutre de la gueule du monde - après le fan hardcore a aussi la un moyen de se faire plaisir !

Olivier

Posté : 25 sept. 2008, 17:20
par Ad Metal Eternam
Y aurait eu foutage de gueule si chaque version comprenait un titre différent, ouais. Mais là, franchement... Bon, après, je vais pas débattre 107 ans là-dessus non plus ;)

Posté : 25 sept. 2008, 17:36
par Noxos
L'essentiel c'est que le Cd à l'intérieur soit excellent, Non ? :oui:

Posté : 25 sept. 2008, 17:40
par Le G@SP
Certes, mais c'est mieux si la pochette est rose :tata:

Posté : 25 sept. 2008, 17:48
par Ad Metal Eternam
Pour toi, Le G@SP:

Image

Posté : 26 sept. 2008, 01:25
par Everflow
AC/DC boycottent iTunes :
According to NME.com, AC/DC have slammed the iTunes music download service.

AC/DC guitarist Angus Young, whose band refuse to make their songs available on iTunes, said the boycott was because they didn't want fans simply downloading a few tracks of theirs.

"We don't make singles, we make albums," he told the Telegraph.

"We believe the songs on any of our albums belong together. If we were on iTunes, we know a certain percentage of people would only download two or three songs from the album. We don't think that represents us musically."

Young added that despite pressure from industry figures to make AC/DC's songs available on iTunes, he didn't believe that being part of the site was crucial to success.

"Since iTunes came into existence, we've actually increased our back catalogue sales without being on the site," he said. "We were sternly warned by our management team and our record label that the complete opposite would be the case."

AC/DC are set to release a new album, Black Ice, on October 20. It won't be available on iTunes.

Posté : 26 sept. 2008, 10:47
par Bib
Yeah !!! Bien joué messieurs ! :rock: :rock: :rock: :D

Mais non, je n'ai rien contre itunes et ipod... :beurk: :D

Posté : 01 oct. 2008, 07:00
par houyoux hervé
Selon Francis Zegut, la mise en vente des locations pour les concerts d'AC/DC des 25 et 27 février 2009 à Bercy commence à partir de ce vendredi 3 octobre. Tenez-vous prêts pour la bataille !

Posté : 01 oct. 2008, 07:05
par Holy Cross
je prends ma place pour le 27 :cheers:

(si je monte a Londres le 21 fevrier voir Priest, Megadeth et Testament ça va être chargé cette semaine la! :bang: )

Posté : 01 oct. 2008, 10:08
par Le G@SP
d'après le blog de Zegut, suite à un problème technique, la vente des billets est repoussée mais pas de date précisée

Posté : 01 oct. 2008, 10:11
par KYLEN
Est ce que d'autres dates de la tournée europeene sont annoncées ? l'italie ?

Posté : 01 oct. 2008, 10:52
par Hellion
j'attends aussi impatiemment des annonces en suisse et en italie. Histoire d'eventuellement joindre l'utile a l'agréable et de faire un tour dans les alpes en cette période ! :bang:

Posté : 01 oct. 2008, 18:02
par demodefontenay
Rien sur le site officiel du groupe !!?? Connaissant les stratégies du management du groupe, faut peut être se méfier car ils ne laissent en general pas filtrer grand chose, et puis Zégut nous avait déjà annoncé AC/DC à l'Olympia :lol:

Posté : 01 oct. 2008, 19:10
par houyoux hervé
Pour ceux qui voudrait savoir ce que l'album vaut une chronique de l'écoute promo est dispo sur Highway To ACDC.


Il y a certaines invitations qui ne se refusent pas. Surtout lorsqu’elles émanent, de près ou de (pas trop) loin, d’AC/DC.

Lundi 1er septembre, Columbia Records nous convie à l’écoute de l’album Black Ice pour le jeudi qui suit. Trois petits jours pour nous organiser afin de partir à la découverte de ce que les rares privilégiés ayant pré-écouté des extraits, nous décrivent déjà comme un « Nectar» du rock.



Jeudi 4 septembre, 12h15. Nous voici devant l’immense bâtisse en verre de la maison de disque à deux pas de Paris. L’attente touche à sa fin et la tension mêlée d’excitation est palpable parmi les représentants des médias qui patientent devant la porte. On reconnaît Phil Lageat, rédacteur en Chef de Rock Hard qui est là, également…ou plutôt évidemment ! L’homme grille presque nerveusement une dernière clope, juste le temps d’échanger avec nous quelques impressions sur les évènements à venir. La première écoute d’un album d’AC/DC semble intimider même les plus endurcis. Il y a des minutes qui durent des heures.

On nous appelle pour entrer et le groupe se déplace vers l’auditorium, sans se faire prier. Nous découvrons une immense et profonde salle, bordée de canapés et de fauteuils cossus. Un buffet copieux est à notre disposition, le tout dans un décor très seventies et coloré ! Nous sommes gâtés, nous n’en demandions pas tant !



Trois écoutes successives entrecoupées d’un break d’un quart d’heure sont prévues cet après-midi. La bonne nouvelle, c’est que nous pouvons rester et les enchaîner toutes, afin de nous familiariser avec l’album car il est dur, voire impossible, de se faire un avis tranché sur une seule écoute. Les responsables de Columbia sont là, répondant avec gentillesse à toutes nos questions et sollicitations.

« Alors comme ça, ils sont arrivés avec un CD et ils l’ont mis dans le lecteur pour vous faire entendre le nouvel album ? »

Non, non, l’enregistrement lui-même est protégé dans un ordinateur, propriété d’un impressionnant colosse écossais. Cet homme là parcourt le monde entier depuis plusieurs mois déjà avec le précieux objet sur lui, pour diverses écoutes confidentielles dans toutes les grandes capitales. Il est aussi le responsable de tout ce qui touche de près ou de loin à la sortie mondiale de l'album. Rien que ça !
Le temps de quelques réglages sur le materiel HiFi haut de gamme, et l’écoute peut enfin débuter, tous calés au chaud dans nos fauteuils douillets, nous sommes prêts à affronter ce fameux « Black Ice ».

L’impression générale qui se dégage de l'album qui est à la fois excessivement positive et surprenante. L’album ne se résume pas à l’ambiance du single et mêle une richesse, une diversité et une densité qui ne laisseront personne indifférent. La voix de Brian est d'une profondeur jusqu'alors inexplorée; la basse et la batterie se complètent et sonnent jusqu'à rendre vibrant tous les c(h)oeurs; et les guitares des frères Young réservent bien des surprises...

Huit ans d’absence, d’attente et d’espérances avant d’entendre sonner et résonner les premiers accords de Rock’n’roll train. Beaucoup de choses ont déjà été dites ou écrites sur ce single ; retenons l’essentiel : AC/DC est bien vivant, et je me replonge avec délice dans ce son unique et reconnaissable entre tous. Et déjà, une première surprise : au milieu des riffs toujours mordants et entraînants, la voix de Brian Johnson est admirablement posée et mixée. Puis, c’est le tour de Skies on fire : la batterie est puissante et le tempo est lent. Un impressionnant mélange se fait entre la voix et les instruments. Puis, l’atmosphère commence imperceptiblement à changer avec Big Jack : les guitares, la batterie et la voix entrent en scène immédiatement et mettent en place une mélodie à la fois classique, scintillante et très rock’n’roll. Le son des guitares donne l’impression d’enfler tout au long du morceau aux tonalités très joyeuses. Le solo est limpide et raconte sa propre histoire ; histoire qui s’achève ici comme souvent par un coup de batterie. L’erreur serait pourtant de croire que les choses vont continuer ainsi : les frères Young sont inspirés et ont décidé de nous le faire savoir.

L’ouverture d’Anything goes est prodigieuse et réjouissante. Tous les ingrédients sont là pour faire un hit. Les riffs et le rythme tournent de façon implacable et donnent l’impression de chevaucher un cheval au galop. Après un solo très mélodieux, le silence se fait pour laisser place à un break aux teintes écossaises qui nous renvoient directement aux cornemuses de It’s a long way to the top. A peine le temps de se laisser aller à un sentiment d’admiration et d’heureuse nostalgie que la basse et la batterie de War machine me colle à mon siège. Le son des guitares est tour à tour étouffé puis comme aboyé. La voix et les chœurs prennent une teinte et une amplitude insoupçonnées. A nouveau, le silence s’installe au sein même du morceau ; la voix de Brian réapparaît avec des couleurs inconnues sorties d’outre-tombe ; puis les instruments reviennent et délivrent un rythme d’une puissance et d’une évidence incroyable qui laissent imaginer et espérer la dimension hors norme que prendrait un tel morceau de bravoure en live. Et la profonde joie que j’éprouve à l’écoute de War machine est d’autant plus grande que je n’espérais plus cela possible ; ici tout se mêle : l’incroyable son, le plaisir de la nouveauté, la force du morceau et l’immense soulagement et bonheur de constater que l’attente n’aura pas été vaine. Pourtant nous n’en sommes qu’au cinquième morceau… Il convient alors de constater que les frères Young nous font un cadeau inespéré en délivrant un album de quinze titres, alors que pour mémoire Let there be rock en contenait huit et High Voltage seulement neuf.

Smash N Grab, Spoiling for a fight, Wheels, défilent et nous laissent à la fois réjouis et en territoire plus connus par rapport à ce que nous pensions entendre et attendre de la part du groupe. Ces morceaux apparaissent pourtant comme plus rythmés et les refrains plus fédérateurs que ceux de Stiff Upper Lip. La voix et la batterie sont mixées bien plus en avant qu’auparavant.

Decibel, Stormy may day, She likes rock’n’roll et Rock’n’roll dream dévoilent des facettes que nous n’avions vu jamais encore vu briller avec une telle intensité chez AC/DC. Ici, nous entrons dans une zone d’une densité et d’une richesse qui rappellent et manifestent à quel point AC/DC est et fait l’histoire du rock. Alors que les Beatles ou Led Zeppelin se sont tus, nous avons la chance de pouvoir écouter des légendes bien vivantes et en pleine activité. Il faut profiter du son des solos de Decibel qui retrouve la grâce de certaines guitares entendues à Woodstock. Il faut savourer la longue introduction de Stormy may day, ou Angus, en Elmore James des temps modernes, tranforme sa SG en slide guitar. Et cette voix, cette voix tour à tour puissante et pour la première fois plaintive qui inlassablement répète « May day, stormy may day » m’habite longtemps, bien longtemps après la fin du morceau. Enfin, Il faut prévenir les Red Hot Chili Peppers que She likes rock’n’roll, où la basse de Cliff Williams est omniprésente, les poussera à essayer de faire mieux encore. Et puis que dire de Rock’n’roll dream ? Il est d’ores et déjà évident que ce morceau va faire couler beaucoup d’encre. Pour vous en donner une idée ou un aperçu, imaginez, comme dans un songe, qu’en écoutant Ride on, Night prowler, Jumping Jack Flash et Angie, AC/DC et les Stones se soient vus en cachette pour parler du morceau de leur rêve en se donnant pour consigne que le premier qui le trouverait l’appellerait évidemment Rock’n’roll dream. Et le rêve devient justement réalité à l’écoute de ces notes qui, s’échappant de la guitare d’Angus, dévoilent une sensibilité intime et une sensualité nouvelle qui me laissent à la fois comblé et reconnaissant.

Money Made, Rocking all the way et Black ice sont des boogies ou des rocks puissants réservant eux aussi quelques surprises, et quelques réminiscences, où la voix de Brian délivre une puissance incroyable s’apparentant presque parfois à une percussion. Et quand le titre éponyme prend fin, il nous laisse heureux et sans voix avec l’irrésistible envie de tout réécouter depuis le début.

Black Ice est donc un album d’une densité et d’une richesse impressionnante et rare. La plupart des morceaux contiennent en eux-mêmes plusieurs autres morceaux. La production est admirablement soignée. Force est de constater, alors que cela semblait à beaucoup impossible ou impensable, qu’AC/DC prend une nouvelle et plus grande dimension encore. La légende continue… Il ne reste plus qu’à croiser sa route.



Trois heures plus tard, après deux écoutes successives, la largeur de nos sourires béats en dit long sur nos sentiments. Il est temps de quitter à regrets les locaux pour attraper nos trains et avions respectifs, non sans avoir auparavant remercié Delphine, Christophe de leur accueil chaleureux et notre nouvel ami écossais de leur invitation !

Non vraiment, il y a certaines invitations qui ne se refusent pas !

Posté : 15 oct. 2008, 16:43
par guardianofsteel
L'album est en écoute intégrale ici :

http://www.vh1.com/music/the_leak

Posté : 15 oct. 2008, 22:06
par Holy Cross
J'arrive pas a faire marcher ton bazard guardian!

Posté : 16 oct. 2008, 11:23
par féfé
Moi non plus mais on peut les trouver sur youtube.