JUDAS PRIEST - Tournée d'Adieu Mondiale

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mandylion
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Message par mandylion »

Dernier message de la page précédente :

J'étais a graspop hier soir. Judas priest a été énorme, gigantesque, fabuleux, colossal, titanesque, Kollossaaaaaaaaaaaaal. L'un des concerts de la décennie pour moi. Rob a chanté comme un metal god, et le remplacant de kk a assuré grave.

PRIEST IS BACK !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Gandalf
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Message par Gandalf »

BACK and gone, puisque c'est la (premiere) tournée d'adieu ! :lol: :D
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It's empty and cold without you here, too many people to ache over"
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the fab
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Message par the fab »

mercenaire47 a écrit : 01 - Battle Hymn / Rapid Fire
02 - Metal Gods
03 - Heading Out to the Highway
04 - Judas Rising
05 - Starbreaker
06 - Victim of Changes
07 - Never Satisfied
08 - Diamonds & Rust
09 - Dawn of Creation / Prophecy
10 - Night Crawler
11 - Turbo Lover
12 - Beyond the Realms of Death
13 - The Sentinel
14 - Blood Red Skies
15 - The Green Manalishi (With the Two-Pronged Crown)
16 - Breaking the Law
17 - Painkiller
18 - The Hellion / Electric Eye
19 - Hell Bent for Leather
20 - You've Got Another Thing Comin'
21 - Living After Midnight

http://www.megaupload.com/?d=4MUB1DWG
A Bâle, au Sonisphere, on a eu , si je ne me trompe pas, la même set list amputé de Never Satisfied et Prophecy ( pas sûr pour celui là). Par contre on a eu Nostradamus. A noter que Breaking the Law a été joué sans qu'Halford ne chante un seul mot. Il a posé le micro (tourné vers le public) et a laissé la foule chanter le morceau en intégralité pendant que lui, se baladait sur la scène. Excellent!!!! Les 4 derniers titres ont été 4 rappels d'1 morceau. Le concert était magnifique mais le KK bis fut moins démostratif qu'au Hellfest. Halford s'aidait d'une canne sur les 3 ou 4 premiers morceaux mais par la suite, j'ai pas eu l'impression qu'il souffrait de quoi que ce soit.
Olivier64: " Y a pas un groupe plus surestimé que Motley Crue. Les Ramones, c'est du rock progressif à coté !!!!!!"
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Cardinal-Sin
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Message par Cardinal-Sin »

sisi à Bâle ils ont fait Never Satisfied et Prophecy...
:metallian: :papy: :metallian: BY STEEL WE RULE - http://www.metalofsteel.ch// :metallian: :papy: :metallian:
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the fab
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Message par the fab »

Pourtant y avait pas la queue aux pissotières. ;)
J'ai raté les 2 épisodes alors. :diable:
Olivier64: " Y a pas un groupe plus surestimé que Motley Crue. Les Ramones, c'est du rock progressif à coté !!!!!!"
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Message par Mr. Gig »

Avec un peu de retard, mon C.R. de la perf' de Lundi dernier au Zénith, en vrac :


Conformément à ce que je craignais, la salle, qui s'est pourtant remplie au fur et à mesure, aussi bien en fosse qu'en gradins, ne trouva pas, de fait, de quoi rentabiliser sa capacité totale ce soir-là.

Le Zénith de Paris -dont le volume maximal, à raison de 6000 places, grosso modo, est tout de même l'un des plus réduits parmi tous ceux de France !- n'était certes pas en configuration maximale (d'une contenance d'alors approximativement 3500 places), affiche moins colossale que celle du PRIEST FEAST de ‘09 oblige ; le public Français a néanmoins su répondre présent, d'autant plus qu’une partie non négligeable de l’auditoire était constituée de ceux qui, en dépit d'une fatigue certaine, et des étoiles encore plein les yeux et les oreilles de la prestation du groupe la veille, revenant outre-mesure tout juste du millésime 2011 de notre Hell Fest national, se résolurent en nombre à venir, quitte à risquer une indigestion d’acier britannique.
Visiblement, la promotion lancée précisément pour les détenteurs du bracelet du festival de Clisson (un billet acheté pour une place en fosse, à 60€, jusqu'au soir même, un billet offert) n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd : les préposés aux guichets semblaient avoir les mains pleines, de ticksons à refourguer, donc, à des multitudes de mains avides de satisfaire leur décision de dernière minute, à l’ouverture des grilles du Zénith, vers 19h.


C'est précisément la forte densité du peuple en fosse qui a valu à l'assistance un tel soulèvement de bout en bout, et 2 slammers de manquer de peu de s'écraser sur ma gueule.
Autant n'ai-je absolument rien contre le slam : je conçois tout à fait le plaisir qu'on puisse éprouver, dans une sorte d'état de pseudo-transe que ne renieraient pas les cérémonies tribales dansées, à se laisser balader allongé, 2 mètres au-delà des ennuis quotidiens du plancher des planches, véhiculé par les mains (parfois baladeuses) d'une foule en délire, au rythme et à l'exécution jubilatoire de ses morceaux préférés, et d'autant plus quand des nanas super canons participent ; autant, au risque de passer pour un vieux con, y a vraiment rien à faire, mon sentiment est constant : je ne supporte pas ces conneries insensées que sont ces foutus pogos à la con !

Quand on vient en concert, c'est pour profiter de la musique, bordel !
On s'agite, on s'excite, mais une fois l’ineptie lancée, on s'évite et les gens se frittent.
Non seulement se génère dans la fosse un monstre boxon, mais on se prend des gnons, les corps s'entrechoquent, et au bas mot, qui est tout sauf à prendre dans son sens mélioratif ; mais, surtout, on perd en spectacle considérablement, dépensant, la durée de ces sottises, partie de sa concentration et de son énergie à amortir et repousser les quidams qui dégringoleraient trop près, aux dépens de son implication dans l'entonnement des couplets et la nécessité foncière de savourer les prouesses sonores et visuelles qui prennent corps droit devant soi.
Absurde !
Désolé pour le coup de gueule, mais ça va mieux en le disant !





La première partie, loin de faire des étincelles, comme je le redoutais, s'est néanmoins révélée finalement d'une platitude moins horripilamment désespérante que ce que à quoi je m'attendais :

Loaded, la fierté de l'ex-bassiste de Guns'n'Roses, puis de Velvet Revolver, officie dans le même registre que ceux-ci, à la différence près que Duff McKagan a ici troqué sa 4 contre une 6-cordes (d'abord une Les Paul au coloris personnalisé à une sauce tout ce qu'il y a de plus hideuse, avec patches et stickers informes et inadaptés éparpillés sur la pick guard, en veux-tu, en voilà ; puis une Telecaster Artist Series, signée Jim Root, aux clés et cabestans ébènes faisant horriblement tâche sur l'élégance des subtils reflets de l'érable d'une tête si délicate).

Mis à part le jeune batteur qui a assuré ses partitions comme un chef, les autres musiciens m'ont paru plus approximatifs dans leur jeu, assurant le strict minimum dans leur section respective.

On ne peut pas dire que le Duff, qui, au passage, m’a justement, et à plusieurs reprises, paru chargé, soit parfaitement maître de son instrument, ou, si c'est le cas, ce ne sont certainement pas ses simplistes successions de power chords qui me donneront tort ; bien qu’encore une fois, il ne s'agit pas de faire montre d’une virtuosité démonstrative à la Vai, Satriani et consorts m'as-tu-vu (l'autoritaire exemple du Sieur Gilmour me suffit à étayer ce point de vue), mais bel et bien d’assurer le tracé des mélodies et des phrasés.
Il en va de même pour ses collègues préposés aux sections guitaristiques rythmique et lead.

Quelques refrains se sont tout de même révélés accrocheurs et certains riffs sympathiques, mais sans plus : résolument rien d'innovant, on s'emmerde souvent, et McKagan ne vaut pas grand chose au chant.

Autre doléance : je ne sais pas ce qui prend à de plus en plus de chanteurs de s'adonner, grimaçant, à ce gimmick agaçant consistant à apostropher intempestivement le public toutes les 30 secondes en ponctuant leurs phrases de 50 000 vulgarités pour lui demander des débilités du genre "Are You Ready for Some Pure Fuckin' Rock'n'Roll?!", "Lemme See These Fuckin' Hands!", ou d'applaudir en rythme, ou de jouer à la fille de l’air en rebondissant sur place et autres joyeusetés et plus si affinités, ou que sais-je encore, mais personnellement, ça a tendance à me devenir graduellement insupportable, surtout si c’est pour nous balancer de la soupe fadasse juste après !

Le groupe aura finalement conclu son set sur les reprises d'Attitude des Misfits, puis d'It's So Easy pour rehausser le niveau, tentant sans doute de nous quitter en nous imprégnant d'une impression finale moins sujette à controverse, ou de sauver les meubles, à défaut de pouvoir rafler la mise, parce que c'était certes plaisant par moments, mais vraiment globalement pas singulièrement brillant !

Un heureux choix en définitive, ou qui du moins m'en avait tout l'air, à en juger par l'enthousiasme général communicatif des nombreux fans du couplage des flingues de L.A. au tristement célèbre chanteur n’ayant rien jugé plus intelligent que de choisir pour nom de scène l’anagramme d'« Oral Sex » (connard notoire au demeurant, eussé-je besoin de le souligner).



1) Executioner's Song (McKagan; Reading; Rouse; Squires)
2) We Win (Carpenter; McKagan; Rouse; Squires)
3) Dead Skin (Carpenter; McKagan; Rouse; Squires)
4) Sleaze Factory (McKagan; Reading; Rouse; Squires)
5) Dark Days (McKagan)
6) Seattlehead (McKagan)
7) Sick (McKagan; Reading; Rouse; Squires)
8) Follow Me To Hell (Carpenter; McKagan; Rouse; Squires)
9) Your Name (Carpenter; McKagan; Rouse; Squires)
10) Lords Of Abbadon (Carpenter; McKagan; Rouse; Squires)
11) Attitude (Danzig)
12) It's So Easy (Arkeen ; McKagan)

Formation :
• Isaac Carpenter : Batterie (de ‘09 à nos jours)
• Duff McKagan : Chant et Guitare Rythmique (en ’99, de ’00 à ‘02, puis de ’08 à nos jours)
• Jeff Rouse : Guitare Basse et Chœurs (de ‘01 à ‘02, puis de ‘08 à nos jours)
• Mike Squires : Guitare Lead et Chœurs (de ‘01 à ‘02, puis de ‘08 à nos jours)

Place aux choses sérieuses, après approximativement 40 minutes de mise en bouche d'un goût déplacé, compte tenu du fait que les organisateurs auraient facilement pu trouver plus approprié à la tête d'affiche, on remballe les amplis de fortune et le modeste kit de batterie, et voilà qu'un immense rideau noir arborant fièrement le logo de la tournée, et à l'opacité de rigueur, tombe tout net sur le devant de la scène, de manière à laisser aux techniciens tout le temps et la liberté d'installer l'imposante structure scénique, les divers éléments de décor périphérique, et étalonner les instruments comme il se doit à grands renforts de saturation.

Au vu des tests de l'éclairage des différents projos aux teintes vivement malsaines des filtres desquels, personne ne se faisant d'illusions quant à la présomption selon laquelle ça va tabasser sévère, on se doute que ce qui se trame là relève du spectacle pharaonique -qui ferait, pour le coup, presque de l'ombre aux scènes gargantuesques d'Iron Maiden des temps immémoriaux d’un Powerslave- en conséquence.


Les vedettes se font attendre, le public s'émousse, notre patience a depuis longtemps brisé ses chaînes lorsque les plus excités poussent la chansonnette du désormais classique intermède chanté "Oh Woooh Oh Wooh Oh Yeah!" et systématique prélude à You've Got Another Thing Comin', ou d'autres d'entreprendre du "Priest ! Priest !" à répétition.
À l'identique du PRIEST FEAST, voilà qu'on nous balance Luke's Wall / War Pigs de Black Sabbath, puis un court extrait de Battle Hymn de Manowar, à fond les ballons, annonçant par là même ce que l'on sait tous.
La tension devient insoutenable, les nerfs n’étant pas loin de lâcher lorsque retentissent soudain des féroces roulements de blast-beats et poignent alors à l'horizon des membranes des baffles les tranchants accords initiaux de Rapid Fire, qui lance on ne peut mieux les hostilités en ouvrant littéralement le feu.
Que des tubes, des vieilles perles rares à la pelle, des musiciens dans une forme olympique, solidement soudés, super carrés, un bassiste toujours dans son mètre carré, un Richie Faulkner se substituant sans difficulté aucune à Downing -tant techniquement que physiquement (même dégaine avec sa silhouette élancée, sa bouille allongée, sa mine réservée et son cuir tanné ; la ressemblance est en effet tout singulièrement troublante, on dirait le même 30 ans plus tôt !) ou dans l'attitude sur scène-, une complicité toujours aussi jouissive des historiques twin guitars dont le groupe est l'un des instigateurs, un son monumental, une énergie débordante, une complémentarité parfaite des chœurs et du chant vigoureux du Metal God, d'une très grande qualité, et tout à fait excellent sur la quasi-exclusivité des morceaux -exception faite du suraigu et confinant au Thrash morceau-titre de Painkiller, dont ils devraient définitivement expérimenter une adaptation quelques octaves plus bas (nous ayant assurément prouvé qu’il n’est désormais plus question de l’abandonner), ce qui serait effectivement davantage intéressant et probablement du plus bel effet, comme ce le serait vis-à-vis de moult autres, tels que, notamment, les stridents Screaming For Vengeance ou Freewheel Burning, qu'ils ne jouent plus pour les raisons citées-, mais un malheureux sous-mixage de la voix, qui a évidemment souffert de la suprématie des graves et de leurs occasionnelles, mais fort heureusement rares, saturations, et un volume toujours un poil trop élevé dont l’impact se ressentait de manière plus que flagrante sur les chansons les plus énervées. un charismatique frontman omniprésent à souhait et à l'aura parlant d'elle-même, des sapes de haute voltige, des accessoires et des effets de scène pléthoriques, pyrotechniques, métaphysiques, des projections de flammes, de fumée et de neige carbonique, une scène qui en jette ; n'en jetez plus !

Le jeunot s'est parfaitement intégré au groupe, se montrant très présent sur scène, se révélant par ailleurs un vrai virtuose pour avoir su s'approprier, en si un bref laps de temps, les soli de Downing, tout en y ajoutant ses propres doigté et ressenti qui font plaisir à entendre, sans jamais verser dans l’excès indigeste ou inutilement étalé, tel une confiture de prime abord appétissante mais se révélant rapidement écœurante, gâtant par là-même l’émail de la pureté et de l’intégrité de la source originelle.
Branlant son manche en ne s'y prenant, et de tellement loin que ça en ferait pâlir de jalousie Roger Daltrey lorsqu'il chantait I Can See For Miles à une époque où qui aimait à passer pour un vendu, pas comme un manche, Faulkner assure décidément de tous les points de vue ; renforçant par là même le légitime constat selon lequel il ne s'agit pas d'un vulgaire ersatz du légendaire fondateur, lequel, avec le jovial et toujours souriant, mais malheureusement toujours aussi (trop ?) peu mobile Ian Hill, tous deux tout droit issus de la zone industrielle du Black Country de Birmingham, posa en ’69 les bases de ce qui deviendra ensuite le seul et unique prêtre mondialement reconnu.

Exhibant par surcroît d'exquises Flying V noire et blanche ad hoc, Les Paul immaculée et S. G. à 3 Humbuckers (!), le bonhomme, lequel avait jusqu'alors principalement officié, sans être pour autant remarqué pour ses frasques, dans le groupe de la jolie, et à la plastique généreuse, fille à Papa, mais au talent de composition plus que mou, j'ai nommé, Lauren Harris, prouve qu'il a du goût.

À ce sujet, et toujours conformément aux déclarations du bassiste lors d'une interview, K. K. aurait exprimé son souhait de ne pas participer à leur pseudo-ultime tournée peu après que la question eût été avancée, dès Décembre dernier, donc, mais le groupe aurait voulu lui accorder autant de temps de réflexion que possible, et tout mettre en œuvre pour tenter de le convaincre de revenir sur sa décision, et on le comprend, malheureusement en vain, comme on l'a vu.
D'où le communiqué de presse officiel si récent au regard de la poursuite de l'aventure sans lui.
Triste, mais pragmatique et dans la logique continuité des choses.


De son côté diamétralement opposé de la scène, sur la droite, Glenn Tipton, toujours son perfecto à bandes pourpres sur les épaules et son futal écarlate, nous aura gratifiés de soli bien sentis, notamment sur Painkiller, Victim Of Changes ou You've Got Another Thing Comin', bien que la part belle du lion dont Richie arbore déjà fièrement la crinière (ainsi que certains traits d'un David Lee Roth, à la seconde réflexion), revienne sans surprise à ce dernier.
On sentait qu'il se faisait réellement plaisir, chantonnant les couplets à tue-tête, la banane permanente, les tifs, non pas en banane, autrefois permanentés, et approchant occasionnellement au niveau de la corniche contiguë à la barrière, interpellant les premiers rangs, simultanément toujours sa Hamer grattant.
Il était certes loin de parcourir encore l'estrade au pas de course en long, en large et en travers, escaladant 4 à 4 les marches des échafaudages d'antan, ou frottant ses cordes depuis les hauteurs des griffes de l'espèce de tigre vindicatif ornant la pochette de leur excellentissime Defenders Of The Faith, et tout droit sorti de Farenheit 451, comme l'ont déjà illustré à la perfection les joyaux que sont respectivement les archives vidéo Live Vengeance '82 filmée au Mid-South Coliseum de Memphis le 12 Décembre '82, et Electric Eye, lors de leur passage à la Reunion Arena de Dallas le 27 Juin '86, au cours de la tournée Fuel For Life ; mais a su se montrer encore très dynamique, rejoignant son collègue à l'occasion de plusieurs dui dos-à-dos.

Le très bel organe exceptionnel de Halford nous a, quant à lui, montré qu'il en avait encore derrière les cordes vocales et qu'il a pratiqué ses vocalises sans compter (il aurait même cessé de fumer pour l'occasion).

Depuis les hauteurs de son podium central, le batteur, et ex-Racer X, Scott Travis martèlait ses fûts avec une précision métronomique et une puissance de feu impressionnante, avoinant comme une brute sur l'intégralité des morceaux, nous en envoyant plein les esgourdes de la première note jouée à l'ultime soupçon de sustain sur le moulinage final.

Non content d'être un véritable bœuf, grand adepte de la double pédale devant l'éternel, ce gars-là sait incorporer à son jeu très technique l'aspect visuel qui tombe telle la cerise de la baguette sur le gâteau du hi-hat : et vas-y que je te fais tournoyer les baguettes dans les doigts, ou que je t’en fais des pirouettes autour des poignets avant de cogner mes cymbales, et que je te les fais décoller en spirales à 5 mètres au dessus des toms pour les rattraper tout juste avant de frapper mes caisses claires, et tout ça toujours dans un rythme d'enfer !

Les papys, qui n’ont absolument rien de croulant, bien au contraire, auront, in fine, joué 2h10 d'affilée sans temps mort, ni même la sempiternelle tradition du cérémonial de l'appel à rappels, et, comme ils l'avaient fait 2 ans plus tôt, clôturé en grandes pompes leur magistrale performance en nous gratifiant d'un Living After Midnight pas piqué des vers et bien mérité, bien qu'à l'instar de l'ironique annonce de Rob en guise d'introduction, ils ont rarement eu l'occasion de la jouer dans des circonstances éponymement conformes par le passé.

Au terme du finale, suite aux successives courbettes de l'ensemble des membres du groupe face à une ovation prolongée, largement méritée, elle aussi, et aux envois de baguettes -plaquées Heavy Metal à paillettes scintillantes, excusez du peu-, plectres et autres boîtes à cymbales de rigueur, les loupiotes se rallument vers 23h50, la classique Harley Davidson d'époque ayant déboulé, comme la tradition l'exige depuis la disparition de Tyrant de leur set-list, en prologue à la frénétique Hell Bent For Leather, alors chevauchée par un Halford, tout couvre-chef de biker dehors, demeurant seule sur scène, le temps aux roadies de venir démonter le matériel.
De mémoire, et à la va-comme-je-te-pousse (et je ne vous parle pas du nombre de kilomètres que j'ai eu le droit de parcourir, tant bien que mal, et souvent contre mon gré, toute la durée du concert, au gré des mouvements de foule et pogos foisonnants), sans plus attendre, la tant attendue set-list :

1) Rapid Fire (Downing; Halford; Tipton)
2) Metal Gods (Downing; Halford; Tipton)
3) Heading Out To The Highway (Downing; Halford; Tipton)
4) Judas Rising (Downing; Halford; Tipton)
5) Starbreaker (Downing; Halford; Tipton)
6) Victim Of Changes (Atkins; Downing; Halford; Tipton)
7) Never Satisfied (Atkins; Downing)
8) Diamonds And Rust (Baez)
9) Dawn of Creation (Downing; Halford; Tipton)
10) Prophecy (Downing; Halford; Tipton)
11) Night Crawler (Downing; Halford; Tipton)
12) Turbo Lover (Downing; Halford; Tipton)
13) Beyond The Realms Of Death (Binks; Halford)
14) The Sentinel (Downing; Halford; Tipton)
15) Blood Red Skies (Downing; Halford; Tipton)
16) The Green Manalishi (With The Two-Pronged Crown) (Green)
17) Breaking The Law (Downing; Halford; Tipton)
18) Painkiller (Downing; Halford; Tipton)
19) The Hellion (Downing; Halford; Tipton)
20) Electric Eye (Downing; Halford; Tipton)
21) Hell Bent For Leather (Tipton)
22) Crowd Chant (Halford)
23) You've Got Another Thing Comin' (Downing; Halford; Tipton)
24) Living After Midnight (Downing; Halford; Tipton)

Formation :
• Rob Halford : Chant (de ’72 à nos jours)
• Richie Faulkner : Guitare Lead et Rythmique, et Chœurs (depuis début ’11)
• Ian Hill : Guitare Basse (de ‘69 à nos jours)
• Glenn Tipton : Guitare Lead et Rythmique, et Chœurs (de ‘74 à nos jours)
• Scott Travis : Batterie (de ‘89 à nos jours)

Le public a beau avoir chanté en chœur sur la power-ballad Angel, qui, nonobstant d'être belle à faire chialer un chacal, peut se vanter de n'être ni naïvement mielleuse, ni outrancièrement sirupeuse pour un sou ; pas moyen de me souvenir à quel moment elle a été jouée (à moins que, dans un égarement momentané de la raison, ma mémoire ne me fasse faux bond, et que ce ne fut le cas qu'en ‘09...).

D'un point de vue strictement rythmique, Painkiller sut se distinguer en s’arrogeant une part prépondérante du spectacle en termes d’excitation générée, fût-il utile d'insister.

Avec son introduction vrombissante à la batterie à vous hérisser le moindre poil, Rob nous livrant toutes ses tripes dans la hargne transcendantale du morceau, les aigus en pâtissant ainsi considérablement moins qu’au cours de ses prestations sur la tournée précédente, ce fut indéniablement l'un des moments les plus forts du concert, atomisant chacun à la volée de ses riffs ravageurs, et, au passage, telle une tornade de violence débridée, la salle sur son passage.

L'enchaînement magique et sans répit de la bourrée de synthétiseurs Turbo Lover sur l'énergique mid-tempo Beyond The Realms Of Death, puis la furieuse The Sentinel et l'ambiance délicieusement poisseuse de son break, pour ensuite embrayer sur Blood Red Skies, qui, avec ses lourdes frappes de la grosse caisse, lesquelles auront fait littéralement vibrer l'intégralité du Parc de la Villette, aura décroché la timbale, toutes catégories confondues, de la pierre angulaire de leur performance, ayant d'autant plus fait l'effet d'un pavé d'acier trempé dans une marre de lave en fusion qu'il a fait l'objet d'une véritable résurrection, au pied de la lettre, n'ayant pas été joué depuis belle lurette ; à l’appui de ses backdrops nous en mettant plein les mirettes, aura été vibrant de tonus déchaîné !

Du côté des anciens trésors déterrés, je garderai des souvenirs impérissables de la séquence Starbreaker, qui, forte de son ultra-accrocheur vif riff grave auquel nécessairement on entrave, poutre toujours autant, enchaînant alors sur la sublime Victim Of Changes, longue composition aérienne à tiroirs s'il en est, dont le groupe nous aura livré un rendu qui fut, lui aussi, et à bien des égards, le clou rétrospectif du spectacle ; clou auquel est venue s’accoler Never Satisfied, seule rescapée de Rocka Rolla, leur première mouture de '74, puis le retour de la reprise de la magnifique chanson folk de l'engagée Joan Baez au sein du set, dont ils ont toutefois joué une intéressante combinaison de l'alternative power-ballad, calme prélude acoustique à la clé, introduite sur scène à l'aube du XXIème siècle, et de leur bien plus dynamique version d'origine dont 2 enregistrements distincts figurent sur Rocka Rolla et Sin After Sin.


Pour l'anecdote : tandis que Richie, à qui un technicien, accourant des loges, était précipitamment venu apporter, sur un piédestal, une guitare classique électro-acoustique, vérifiait le bon accordage de celle-ci, un très bref mais soudain incident technique (interruption de la transmission, ou faux-contact du jack, allez savoir) lui coupa tout net le sifflet, le laissant là à pratiquer ses gammes dépourvu de toute amplification, le temps des quelques secondes nécessaires au rétablissement, tout sourire une fois le hic percuté, décelant alors dans nos regards le sentiment de surprise et d'hilarité mêlées déclenché par le cocasse de la situation.

La chanson à forte évocation psychotrope de Fleetwood Mac, période Peter Green, dont le traitement par le groupe demeure toujours aussi agréable à l'oreille, n’a, quant à elle, pas quitté la programmation, même si le set aurait gagné à incorporer un morceau plus rarement joué.
Un interminable solo dantesque du blondinet au beau milieu des habituelles prolongations de l’hymne « Oh Yeah! Oh Yeah! Oh Yeah! You've Got Another Thing Comin' » nous aura presque permis de faire l'impasse sur l'absence de Sinner, que j'ai encore énormément de mal à digérer (bordel, c'est Sinner, quoi, merde !).

Quoiqu'il en soit, je n'avais pas participé à un concert aussi survolté depuis la prestation de Slayer à Bercy, pour l'édition 2004 de l'UNHOLY ALLIANCE !
À titre de constat purement empirique, j'ai remarqué au fil des années que ça a tendance à secouer beaucoup moins dans les salles de dimensions plus modestes, ce qui ne se révèle pas nécessairement non pas un moindre mal ; là, en revanche, il était tout simplement impossible de rester de marbre face à la frénésie générale, les seules vagues de rebondissements trépidants et la houle soulevant la foule suffisant à déplacer monts et vaux !

On ne dénombre plus les litres de sueur, les larmes de bonheur, les vertèbres cervicales et les cordes vocales perdues à jamais ce soir-là au faîte de l'ascension sur le sceptre cruciforme de l'ange analgésique ayant fait du châtiment son champ de prédilection.

L'un dans l'autre, quel putain de concert ce fut !
Une prestation cadencée à un rythme effréné, du feu de tous les dieux, nous flanquant baffe, sur gifle, sur torgnole dans la gueule à chaque morceau, le Zénith en a pris pour son grade ce soir-là !

Moi qui n'ai eu le loisir, et la seule occasion, de découvrir le compagnon de ballade de Frankie Lee en concert pour la première fois qu'en ‘09, nous offrant alors déjà un prêche d'excellente facture, mais avec pour points noirs un Halford légèrement en moins bonne voix sur certains morceaux, et un son également trop fort ; il m’apparaît très honnêtement que, si Judas Priest devait définitivement cesser de se produire sur scène, ils pourraient difficilement trouver meilleure opportunité que cette tournée, qui serait, de fait, le merveilleux et le meilleur point final à l'histoire de la carrière d'un groupe d'anthologie, qui plus est d'un véritable mythe, du Hard Rock et du Heavy Metal dont un fan puisse rêver.

Cette majestueuse soirée au Zénith fut somme toute, tout bonnement, « A Great Gig in the Sky ».
When you're this gig, they call you...
...But you can't find the time
:,(
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olivier64
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Message par olivier64 »

très bon CR. Je le lirai entier ce soir. :D
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Dark Schneider
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Message par Dark Schneider »

Je n'ai finalement pas été à ce concert (abusé le prix des places quand même)...pourtant la set list me plaisait.
Je viens de causer à un collègue de boulot qui y a été, et il n'a pas été super emballé par la prestation du groupe...il n'a pas trouvé ça très energique, à l'exception du nouveau gratteux...et n'a guère apprécié le jeu de scène d'Halford. Je me demande ce qu'il aurait dit s'il avait été les voir en 2009... (prestation que j'avais trouvé très moyenne à l'époque).
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Pierre
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Message par Pierre »

J'ai trouvé pire que moi pour les CR fleuves :bravo: :lol:
Franky a écrit :j'ai voté pour toi, car en plus d'être un crétin (comme Gasp), tu es malfaisant. :oui:
http://www.youtube.com/watch?v=XU-q2ZQi10Q
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Gandalf
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Message par Gandalf »

Euh tout le cr c'est juste pour un concert ???
Ah ouais quand même... :D :D
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trace la route
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Message par trace la route »

kingdavid666 a écrit :y en a qui arrivent a pogoté sur du judas priest ???? :o
cela m'a assez surpris aussi mais un Breaking the law, the sentinel et évidemment Painkiller, il y a tout de même moyen de bouger son fion... :bang: :bang: :bang:
samcdc
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Message par samcdc »

lelite a écrit :
samcdc a écrit :N hesite pas ... franchement j etais au concert et KK m a manqué que 30 secondes :) Et pareil pour le reste du public qui franchement en avait pas grand chose à faire (je parie que beaucoup ont même pas remarqué que c etait un autre guitariste).
lelite a écrit :
samcdc a écrit :je vous tiendrais au courant :)
:contrat: Alors cette interview :scratch: :(
:fessee:
Spéciale Judas Priest normalement ce dimanche sur Bring The Noise, avec l interview :)
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lelite
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Message par lelite »

samcdc a écrit :Spéciale Judas Priest normalement ce dimanche sur Bring The Noise, avec l interview :)
:up: :bave: possibilité de donner un lien si dispo sur internet ou la fréquence radio stp ? ;) merci
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Message par samcdc »

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Message par lelite »

samcdc a écrit :http://www.ouifm.fr/
:cheers: :rock:
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metalion
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Message par metalion »

C'est urgent. J'en appelle à vous, j'ai acheté mes billets pour Bilbao mais je n'ai toujours pas trouvé qui que ce soit pour y aller. J'ai besoin de votre aide pour un plan co-voiturage. Merci à tous d'avance... :cheers:
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Message par the fab »

metalion a écrit :C'est urgent. J'en appelle à vous, j'ai acheté mes billets pour Bilbao mais je n'ai toujours pas trouvé qui que ce soit pour y aller. J'ai besoin de votre aide pour un plan co-voiturage. Merci à tous d'avance... :cheers:
J'ai des potes qui y ont mais ils partent de Bayonne. Je peux me renseigner si tu veux.
Sinon, envoie un MP à Megaptère.
Olivier64: " Y a pas un groupe plus surestimé que Motley Crue. Les Ramones, c'est du rock progressif à coté !!!!!!"
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metalion
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Message par metalion »

Ok je te remercie beaucoup pour ta contrib. Je me renseigne auprès de megaptère. Merci encore!! :up: :up: :cheers:
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Everflow
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Message par Everflow »

Dark Schneider a écrit :Je n'ai finalement pas été à ce concert (abusé le prix des places quand même)...pourtant la set list me plaisait.
Je viens de causer à un collègue de boulot qui y a été, et il n'a pas été super emballé par la prestation du groupe...il n'a pas trouvé ça très energique, à l'exception du nouveau gratteux...et n'a guère apprécié le jeu de scène d'Halford. Je me demande ce qu'il aurait dit s'il avait été les voir en 2009... (prestation que j'avais trouvé très moyenne à l'époque).
Moi aussi je ne comptais pas y aller, pour la même raison.
Mais maintenant je sais que je me serais mordu les couilles d'avoir raté ça!
I'm the lost one chasing colors to the sun
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Message par samcdc »

Un ptit mot sympa de Glenn pour les fans français :

The French dates were fantastic, for various reasons beyond our control we haven't played in France as much as we 'd liked to over the last few years and the crowd at both shows showed just how much they appreciated JP.

The first date was the Hellfest with Ozzy, outside of Nantes. We stayed in Angers which was about 70K away and went round the Castle and Catherdral. Its a great old town with a lot of history.

Le Zenith in Paris has always been a favorite venue of mine, the atmosphere was electric. Loaded supported us and it was quite emotional again, so many people had banners thanking the band for the music through the years. It really means so much to us.


http://www.glenntipton.co.uk/tour-diary.asp
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js64
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Message par js64 »

HORARIOS DE TODOS LOS CONCIERTOS DE JUDAS PRIEST – MOTÖRHEAD – SAXON:

- VIERNES 29 JULIO – A CORUÑA – COLISEUM
- SÁBADO 30 JULIO – MADRID – LA CUBIERTA
- DOMINGO 31 JULIO – BILBAO – BIZKAIA ARENA
- MARTES 2 AGOSTO – BCN – OLIMPIC BADALONA


18:00 APERTURA DE PUERTAS
19:15 SAXON
20:45 MOTÖRHEAD
22:30 JUDAS PRIEST

Je crois que c'est clair :D
Vivement le 31 :rock: :rock: :rock:
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MDT
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Message par MDT »

Vivement le 2 ;)
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Message par Denis »

Ca commence tôt le bordel :euh:
Et puis Motörhead après Saxon putain ! Z'ont vraiment des goûts bizarres ces gens-là...
Prochains concerts:
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olivier64
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Message par olivier64 »

:euh: putain, SAXON devrait jouer 1 heure, MOTORHEAD 1h15 et JUDAS 2 heures. :bave: :bave: :bave:
je vais réfléchir, ça devient encore plus intéressant ... :mad: :mad: :mad: il vous resterait éventuellement une place dans la voiture, Serge ? Vous rentrez de suite après ? Il va falloir que je négocie ça avec ma femme. :D :/
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MDT
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Message par MDT »

@Olivier64: tu ferais la date de Bilbao, Barcelone ou Madrid?
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Message par olivier64 »

Bilbao. Mais rien n'est sur. :/ :/ :/
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