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Pour une tournée, SVP postez toutes les dates européennes disponibles dans le topic + la période ou quelques dates dans le titre du topic.
Je dois avouer que pour le coup, j'avais compris Rage Against The Machine aussi la première fois.
J'avais pas prévu de venir Vendredi, mais puisqu'ils ont décidé d'y caser le Devin Townsend Project, Opeth et Machine Head, c'est inratable pour moi.
Le reste n'a rien de furieux en comparaison avec des affiches d'autres gros fests estivaux, mais avec Tenacious D et Steel Panther Samedi, y a moyen de bien se fendre la gueule.
Reste plus qu'à faire monter Megadeth et Anthrax au-dessus de Soundgarden sur les estrades et dans le running order, et ça sera parfait !
When you're this gig, they call you...
...But you can't find the time
Ça m'étonne quand même que ça n'arrive que maintenant.
C'était la seule date qui restait pour Black Sabbath jusqu'à ce qu'ils ajoutent les dates à Birmingham et Chicago très récemment.
D'un autre côté, Bercy était loin d'être complet avant l'annulation, à croire que le Sab' n'intéresse pas tant de monde que ça finalement.
J'ai mon billet en poche sinon, départ en car Jeudi dans l'après-midi, j'espère que ça sera pas trop coton pour se trouver un bon coin pour planter la tente.
When you're this gig, they call you...
...But you can't find the time
En même temps, ca m'etonne pas, pour la France du moins si ca avait eté maintenu, car Ozzy qui fait que 10000 a Bercy, le SAb interesse a peu pres les mêmes personnes, peut être deux mille de plus mais pas non plus le double.
GANDALF
"Seize the day or die regretting the time you lost
It's empty and cold without you here, too many people to ache over"
Visiblement ça doit pas concerner des masses de Defenders, mais voilà le R.O. (la flemme de recopier les horaires un par un) : http://www.downloadfestival.co.uk/line-up/
Étant donné que le Sab' ne joue qu'1h45, Megadeth 1h, Saxon 40', etc., ça sent assez mauvais, mais d'un autre côté vu la profusion (outrageuse) de groupes sur l'affiche, on pouvait s'y attendre.
Ça risque encore de me faire cavaler dans tous les sens ça, comme si c'était pas déjà suffisant en ce moment...
Si par hasard quelqu'un s'y rend en car, je serais à bord du London-Castle Donington de 16h Jeudi.
See you at Donington Park!
When you're this gig, they call you...
...But you can't find the time
en passant: faire gaffe aux changements de running order. Quand il y avait des changements l'année où je m'y suis rendu, c'etait affiché sur une feuille A4 au point info du fest (et uniquement là). C'était que pour les petites scènes, mais j'ai quand même loupé un groupe avec ça...
Je suis donc revenu hier soir de Saint Pancras avec un rude awakening sur les coups de 5h30 pour remballer le barda et repartir avec le car de 7h15, qui fera le trajet Donington-London de nouveau sous une pluie battante...
Le Download est une expérience à vivre, mais très franchement, je doute que je réitèrerai :
- trop cher : en tout et pour tout, en cumulant le prix du billet avec le camping 5 jours inclus, l'aller-retour en car, la bouffe, la boisson et les dépenses supplémentaires d'urgence sur place en raison des conditions météo, j'en ai quand même eu pour un peu plus de 310£.
- trop grand : autrefois située au cœur du circuit automobile du même nom (dont en emprunte d'ailleurs un tronçon pour rallier le campement) jusqu'en 2008, l'Arena du Donington Park a été transposée quelques centaines de mètres plus loin au Sud, augmentant par voie de conséquence la superficie du réceptacle aux différentes scènes et à l'ensemble des infrastructures sous-jacentes.
Le site est immense, et entre les grandes distances séparant les 5 scènes (à l'exception des 2 plus petites tentes quasiment adjacentes), la trotte à se coltiner tous les jours entre le campement et l'"Arena", le trajet entre l'entrée du site et la gare routière, on perd un temps fou en déplacement.
Sans compter qu'à raison d'une ouverture de l'Arena à 10h et une fin des concerts à 23h à rester debout et cavaler partout, se fader la quarantaine de minutes de marche pour le retour vers la tente le soir n'est pas toujours une mince affaire.
Et pour peu que vous ayez planté votre tente à la va-vite sans points de repères, pour la retrouver en fin de soirée avec une caisse de pintes dans le nez, bonjour.
Pas eu à me plaindre de ce genre de galère : avant de m'installer, j'avais repéré à quelques pas un drapeau Pantera qui flottait sans relâche, et qui m'a grandement facilité la tâche ; mais si l'entrée de chaque zone de la demi-douzaine de secteurs du camping a beau être indiquée par un chiche panneau livide, l'ampleur de chacune fait qu'il devient rapidement aussi ardu de remettre le doigt sur ses modestes mètres carrés que de retrouver un chevelu dans un snake pit d'Annihilator.
- trop de monde : avec une fréquentation d'approximativement 120000 sur les 3 jours, il devient vraiment difficile, voire carrément pénible en fin de journée, de se déplacer, avec les ralentissements dans les trajets entre les scènes, l'attente aux étalages de bouffe et aux bars que ça implique, le boxon sur le campement, etc..
Surtout que ces surexcités d'Anglais font la bringue toute la nuit, et que ça fout un boxon pas possible sur le camping, bien souvent jusqu'à l'aube.
Et n'oublions pas les attractions localisées à l'orée du campement, qui tournaient jusqu'au milieu de la nuit, avec musique à fond les ballons et hurlements à la clé, mais surtout l'aérodrome d'East Midlands, situé à pas moins d'un mile du site, et depuis lequel des zincs décollaient à toute heure du jour et de la nuit.
Même avec les bouchons vissés contre le tympan et la tête emmitouflée au fond du sac de couchage, il faut vraiment avoir le sommeil très lourd pour passer une nuit sereine et complète...
- trop froid : le Donington Park étant logé dans les hautes plaines verdoyantes du Leicestershire et sur les bordures de la National Forest, le climat y est bien plus rude qu'au creux de ses illustres compatriotes Hyde, Knebworth ou Victoria Park.
Aussi est-ce à une pluie battante intempestive et des vents furieux les premiers jours, par 10° en moyenne -et aisément en-dessous de 5 la nuit-, qu'il a fallu tenir tête tout du long, seules la toute fin de l'après-midi du Samedi et la journée du Dimanche ayant été baignées par intermittence de quelques rares éclaircies, jusqu'à une poignée de chaleureux rayons de soleil ravivant les buttes encore ternies de la terre humide des averses précédentes.
Car c'est dans la boue la plus incohérente et épaisse que le festival s'est déroulé, du campement à l'Arena en passant par les étalages et les bars.
Comme si les aléas de l'affluence ne suffisaient pas, la dureté du parterre est venue s'y greffer, accroissant de fait considérablement les temps de trajet.
Fort heureusement, on ne pourra pas reprocher au festival d'avoir la prévoyance (mais avant tout la verve commerciale, faire abstraction de cette capacité à faire du profit dans n'importe quelle circonstance serait se voiler la face, ou, en l'occurrence, faire l'autruche) de mettre à disposition des boutiques dédiées au matériel de conséquence, présentes sur le site même du campement.
Et c'est là qu'on se félicite de pouvoir mettre la main sur les célèbres Wellies anglaises -qui auront tôt fait de se substituer à des santiags au cuir trop précieux pour que je puisse supporter l'idée de les voir embourbées 4 jours durant-, un futal imperméable sans classe aucune mais qui prémunit à coup sûr de toute gerbe d'argile, et surtout une tente supplémentaire palliant la trop fine paroi de mon sarcophage, bien vite surmené par la violence des orages qui ne lui épargneront pas de nouvelles infiltrations d'eau.
À noter tout de même que quelques courageux / ivrognes ont réussi à se lancer dans un combat de boue sur le camping...
- trop false : loin de moi l'idée de renier la diversité, bien au contraire, j'apprécierai toujours d'élargir mes horizons dans la mesure du musicalement cohérent, pertinent et intéressant, mais le festival étant résolument orienté en partie pour un public jeune, l'affiche se retrouve surchargée d'un gros rebut totalement à jeter en ce qui me concerne, mais qui atterrissent surtout plus haut sur l'affiche que des vétérans cultes qui mériteraient une bien meilleure place légitime à hauteur de leur réputation (bien que cette dite réputation n'ait plus le même impact aujourd'hui qu'à leurs heures de gloire).
Ainsi on se retrouve avec une palanquée de groupes pour / de gosses officiant dans de l'alternatif (dans le moins pire des cas), du Punk ou différentes variétés de Core, styles qui ne sont définitivement pas ma came, et c'est pas faute d'avoir laissé une chance à NOFX ou Killswitch Engage le temps de quelques morceaux histoire de combler les trous dans ma planification...
Rendez-nous les affiches du Monsters Of Rock !
Maintenant en ce qui concerne les mauvaises nouvelles, l'ouverture des portes fut différée de 12h à 14h passées Vendredi en raison des intempéries.
Des barricades et autres quantités de matériel auraient été renversées par la tempête, rendant des portions de l'Arena impraticables ou dangereuses en l'état, nécessitant ainsi un déblayage d'urgence afin de sécuriser le périmètre.
C'est tout à leur honneur que d'accorder la suprématie à la sécurité avant tout, et d'avoir diffusé l'information via Download F.M., la fréquence officielle du festival (que je pouvais entendre depuis un poste à proximité de ma tente), mais on regrettera que l'information n'ait pas été relayée de façon plus large ou conséquente sur des tableaux d'affichage ou autres panneaux géants.
À cet égard, les travers en termes de communication rejoignent la remarque d'Ika, ce qui est d'autant plus déplorable pour un fest de cette ampleur.
Personnellement, ayant capté l'info alors que j'étais encore au campement, ça ne m'a pas été dommageable, mais encore une fois il y a de quoi remettre en question certains points de logistique non négligeables.
Plus grave : tout le monde s’agglutine aux pieds de la seconde scène aux alentours de 16h le premier jour dans l'attente d'EUROPE, programmés pour jouer 40 dérisoires petites minutes de 16h15 à 16h55.
Le backdrop "Bag of Bones" flotte encore seul sur l'estrade jusqu'à 16h40 sous l'agacement d'une assemblée impatiente, lorsqu'enfin un M.C. vient nous annoncer "Europe show won't occur today folks, they couldn't make it to the airport".
Bon soit, ils devaient probablement espérer jusqu'à la dernière minute que le groupe débarquerait, même significativement à la bourre, et en mesure de jouer, ne pouvaient pas avoir l'info plus tôt, et après tout la faute incombait aux conditions météo qui ont également causé à quelques groupes d'annuler purement et simplement leur venue, mais ça fout quand même sacrément les glandes, d'autant plus que j'ai encore jamais vu les ailes du lendemain.
"It's the final letdown" chanteront certains, autant le prendre avec le sourire après tout.
C'est le cas d'OPETH, qui, s'ils ne sont pas arrivés à la bourre et ont bel et bien assuré leur set sans encombre, n'en ratent pas une pour glisser une bonne dose d'ironie dans leur prestation, les bons mots d'Åkerfeldt faisant toujours volontiers sourire, lui qui nous rappelle que le groupe s'est fadé les 12 plombes de trajet Stockholm-Donington pour jouer seulement 3 quarts d'heure, et encore sous un temps à chier.
Le Mikael ne manque d'ailleurs pas de verser dans l'auto-dérision, se fendant d'un magnifique perfecto noir par-dessus un "Do Ré Mi Fa Sol La Ti Do" apparent de Hawkwind en-dessous, en nous indiquant que "the leather jacket is not meant to look cool, it's just because it's fucking cold".
N'empêche qu'il avait franchement la classe là-dedans avec sa boucle de ceinture d'époque !
J'en profite pour rassurer les fans purs et durs qui craignaient que le Death du plus clair de leur discographie ne soit définitivement abandonné des concerts à venir de la cité de la lune : le growl et les moments de bravoure de "Demon of the Fall" et "Deliverance" marquant leur retour en grandes pompes.
Pour faire vite avant de fournir les setlists et des détails supplémentaires par groupe, mes moments forts du festival :
L'heure consacrée à NIGHTWISH le premier soir m'a beaucoup plu, et je rejoins ce qui a déjà été dit sur le sujet afférent : entre mise en scène soignée avec estrade embellie, pyrotechnie et tutti quanti et les morceaux d'"Imaginaerum" qui passaient comme une lettre à la poste, Annette a bel et bien consolidé son rôle de vocaliste légitime, sa présence scénique étant à la hauteur de son chant passionné, un très bon moment !
THE DEVIN TOWNSEND PROJECT jouant sous le grand tipi en même temps que la tête d'affiche aussi étonnante qu'incompréhensible de The Prodigy était absolument incontournable pour un inconditionnel comme moi, et à voir la chaleur déployée par le groupe et bien évidemment Hevy Devy en tête, on comprend facilement pourquoi il a choisi les terres anglaises pour donner sa série de concerts complets en Novembre dernier autour de sa tétralogie en date, dont ils interprétaient chaque soir une partie ; et à nouveau son concert unique à l'automne prochain.
Devin aime son public et ne manque pas de le lui rappeler, ce que celui-ci lui rend bien, toute la tente s'agitant et sautillant dans tous les sens à chaque morceau.
C'était autre chose que le concert à Vauréal y a 2 semaines !
Ça faisait plaisir à voir et c'était encore un plus grand plaisir que d'y prendre part, j'ai hâte de revivre ça au Camden Roundhouse fin Octobre !
SAXON ont beau n'avoir eu droit qu'à un vulgaire set de 40 minutes, ils savent toujours aussi bien y mettre les formes et envoyer la sauce dans les grandes largeurs, Biff nous laissant carrément le choix entre plusieurs morceaux un peu avant la fin de leur créneau.
Le pouvoir et la gloire boys !
Comme prévu, dans la catégorie 502ème degré, STEEL PANTHER et TENACIOUS D ont frappé fort, ne lésinant pas non plus sur l'auto-dérision et n'ayant pas peur d'en faire des caisses.
Une petite pincée au cœur au moment où ces derniers ont joué "Kickapoo", reprise en chœur par la foule gargantuesque, qui chantait les répliques de Dio comme un seul homme.
SYLOSIS, que j'avais ratés au High Voltage, ont livré leur condensé de Thrash avec la hargne qui leur est connue, et ça fait du bien par où ça passe !
Dans le même genre, le quartette de Bristol de TURBOWOLF a été une belle découverte, avec un jeu tout en vigueur et en dynamisme.
Côté Hard Rock, THE TREATMENT, qui ont récemment ouvert pour ALICE COOPER et STEEL PANTHER, assurent toujours autant du haut de leurs 3 pommes et leur vingtaine d'années, et j'ai eu l'occasion de voir les Écossais de GUN par 2 reprises, interprétant un set acoustique sur la scène Jägermeister en début de journée Samedi, puis un classique plus tard dans l'après-midi ; le quintette de Sheffield des BLACK SPIDERS, également manqués l'an dernier au Victoria Park, a quant à lui carrément remporté les suffrages haut la main sous les rayons méridiens dominicaux, face à un public de connaisseurs très portés sur le headbang.
Juste avant, en ouverture de cette journée de clôture, les Canadiens de KOBRA & THE LOTUS, déjà aperçus en première partie de SAXON et JUDAS PRIEST au Hammersmith Apollo le 26 Mai dernier, et menés caisse claire battante par la fougueuse Kobra Paige, chanteuse et compositrice principale du combo, n'ont pas manqué de confirmer tout le bien que je pensais de leur Heavy traditionnel sans prise de tête, pas innovant pour un cabestan, mais diablement efficace.
Comme signalé dans le sujet attitré, les récents différends juridiques entre Josh Homme et ses anciens compères n'ont pas l'air d'avoir affecté les performances scéniques de KYUSS LIVES!, dont le Desert Rock salvateur vient toujours vous agiter les tréfonds des entrailles jusqu'à vous faire remuer jusqu'à la dernière cervicale.
Également sous le grand tipi, qui pouvait décidément revêtir des aspects anti-conformistes à l'égard des têtes d'affiche jouant au même moment, GHOST n'en ont pas fini de séduire un public toujours plus vaste, leur savant mélange de Hard bluesy et fantasque à la BLUE ÖYSTER CULT agrémentant au chant des mélopées aiguës qui ne sont pas sans rappeler le King en personne, fédérant toujours davantage de curieux.
On notera que les ghouls et Papa Emeritus se sont accordé le luxe de faire cette fois-ci irruption tous vêtus de blanc, les accents angéliques de conséquence collant à merveille avec le passage du Sabbath le soir même.
MEGADETH semble s'être parfaitement remis du scandale croate, le jeu n'ayant souffert d'aucune lacune instrumentale ou technique, et les compos du décrié dernier album passant de façon surprenante très bien l'épreuve de la scène, moi qui n'ai pas vraiment accroché à leurs versions studio.
Si l'on peut déplorer l'absence d'"In My Darkest Hour", on ne pourra qu'applaudir le retour de brûlots tels que "Poison Was The Cure" et "Angry Again".
Bref, mais intense, un million de morts.
C'était loin d'être une épreuve pour ANTHRAX que de s'attirer la bienveillance d'une assistance déjà bien garnie en ce début de Dimanche après-midi, qui lancent les hostilités avec un "Caught In A Mosh" sur les chapeaux de roue, déclencheront plusieurs circle pits à répétition, et s'ils font la part belle à "Among The Living", n'en oublient pas de rendre hommage à nos Nono et Bernie nationaux avec l'incontournable reprise qui perd de son sang froid.
Ce grand dingue de Belladonna ira carrément cavaler le long des barricades du snake pit coiffé des plumes d'un chef indien pour serrer les louches, suivi de près sous les yeux manifestement peu confiants des bouncers, de quoi s'en payer une bonne tranche !
Si je me souviens bien, la reformation d'UGLY KID JOE intéressait Yacine, et je dois dire avoir été très agréablement surpris par leur prestation très énergique et un set efficace qui a rameuté sans difficulté une masse noire à perte de vue Dimanche après-midi.
D'ailleurs comme l'aura très justement fait remarquer un SEBASTIAN BACH complètement survolté plus tôt dans la journée, "Man look at the crowd! If that's the second stage, I wonder what the main stage looks like?".
Le blondinet n'a, de son côté, eu aucun mal à satisfaire un public d'ores et déjà acquis à sa cause, mêlant bien évidemment à ses propres compos une grande majorité de morceaux clés de la zone.
En tout cas je sais pas ce que cette pile électrique s'envoie au petit déj', mais je veux la même chose, ce type est infatigable, c'est hallucinant !
Sans surprises, le set des METS, s'il n'a pas évolué d'un poil dans son fond et ses interactions avec le public, a conservé tout son charme, avec en prime "The Four Horsemen" et "Battery" remplaçant respectivement "Fight Fire With Fire" ou "Blackened", et le premier rappel.
Mais si je devais vraiment retenir une seule chose de cette édition, qui a rendu ce DOWN10AD si particulier, et qui a justifié le déplacement à lui seul, c'est bien l'opportunité de pouvoir le résumer à 3 lettres :
N
I
B
"When sadness fills my days
It's time to turn away
And let tomorrow's dreams
Become reality to me"
When you're this gig, they call you...
...But you can't find the time
Ah oui et côté bar, rien de bien original : de la Tuborg à la pression, une Lager blonde danoise assez quelconque devenue la mousse officielle du festival, du cidre irlandais Magners Golden Draught pas mauvais du tout, et pour ce qui est du vin : Pinot, Merlot, Cabernet et Chardonnay en petites bouteilles.
À ce propos j'ai été très étonné qu'un type du bar me donne dans le "ID please" en allant chercher des jetons à un moment.
Je pensais pas avoir l'air jeune à ce point là...
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LaX a écrit :Je suis donc revenu hier soir de Saint Pancras avec un rude awakening sur les coups de 5h30 pour remballer le barda et repartir avec le car de 7h15, qui fera le trajet Donington-London de nouveau sous une pluie battante...
Le Download est une expérience à vivre, mais très franchement, je doute que je réitèrerai :
Mais si je devais vraiment retenir une seule chose de cette édition, qui a rendu ce DOWN10AD si particulier, et qui a justifié le déplacement à lui seul, c'est bien l'opportunité de pouvoir le résumer à 3 lettres :
N
I
B
"When sadness fills my days
It's time to turn away
And let tomorrow's dreams
Become reality to me"
Merci pour ce CR vraiment bien écrit si tu pouvais détailler la prestation du Black Sabbath ce serait parfait
"Si tu veux contrôler le peuple, commence par contrôler sa musique" PLATON
