Posté : 11 avr. 2012, 11:18
Dernier message de la page précédente :
guardianofsteel a écrit :Un peu de Autopsy :
C'était Boautopsyr! C'était Boautopsyr!Defenders Of The Faith, le forum Metal
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BOLTFEST - 25eme anniv' de Bolt Thrower @ Londres
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C'était Boautopsyr!Posté : 11 avr. 2012, 11:45
Super setlist je trouve même si pour un tel évènement on aurait espérer plus de moyen et plus de tout en fait. 
Posté : 11 avr. 2012, 12:16
Clairement! Mais c'est Bolt Thrower...Ce groupe ne fait rien comme les autres.
Posté : 11 avr. 2012, 12:44
Posté : 11 avr. 2012, 14:28
C'est celui de Dimeadozen enregistré par un Russe ?
Posté : 11 avr. 2012, 14:37
Aucune idée
Posté : 12 avr. 2012, 23:10
… Je prends donc seul le métro jusqu’à Kentish Town où je rejoins le forum HVM pour assister à l’évènement de ce week-end londonien, à savoir le concert anniversaire de Bolt Thrower. Il y a déjà un monde fou devant la salle qui est déjà ouverte depuis longtemps, et premier constat, ça parle vraiment de toutes les langues dehors. Une fois dans la salle dans laquelle n’importe qui aurait pu rentrer sans billet tant le contrôle était ridicule, je découvre un vaste amphitéatre blindé de death metaleux en folie. Je me fais rejoindre par Nico et Cocal et on retrouve Jean-Damien, notre ami Defenders du Nord de la France.
En bas c’est Discharge, les maitres du punk londonien qu’on ne présente plus, qui foulent les planches délivrant leurs hymnes punk tels des roquettes d’une puissance dévastatrice. Si le choix du groupe pour cette affiche peut-être remis en cause par les death metaleux, on ne peut qu’acquiescer cette initiative ne serait-ce que pour l’influence qu’a joué ce groupe sur le metal extrême. Sans Discharge pas de thrash, ni de death. Bref… Si l’énorme scène peine à être occupée par la totalité des membres du groupe, la prestation n’en reste pour le moins fort appréciable, surtout comme chauffe pour ma part, ayant raté Vallenfyre et Benediction.
La fosse devient encore plus compacte et l’excitation monte. Après tout, la part du public qui ce soir voit Autopsy pour la première fois doit bien atteindre les 99%. Logique donc que les Américains soient très attendus. Et ils ne décevront pas, loin de là. Jouissant d’un son un peu dégueux lui convenant à merveille, c’est pendant 45 minutes qu’ils enquilleront une grosse part de classiques, mais aussi quelques morceaux très réussie de leur récente reformation. Chris Refeirt impressionne dans son aisance à massacrer les futs en même temps que ces grognements nous emmènes directement à la morgue, et c’est alors avec une érection non dissimulée qu’on se mange « Voices », « Charred Remains » et « Ridden with Disease » dans la face. Punaise que ce fut jouissif. Mais pourquoi n’ont-ils pu jouer « Pagan Saviour » et « Service for a Vaccant Coffin » en plus. Reste qu’on peut enfin le dire : j’ai vu Autopsy en live.
L’heure est à la fête…26 ans après ses débuts, Bolt Thrower est toujours là, plus fort que jamais. Son statut de légende de death metal lui étant surtout dut à son intégrité, sa loyauté et au fait que ce groupe est à part, qu’il ne fait rien comme les autres. Là où tous les groupes auraient jouer 2h et enregistrer leur concert spécial pour un dvd, Bolt Thrower débarque dans l’intention de balancer un concert de plus, un de ceux dont il a le secret. Alors oui on peut être déçu que ce ne sera finalement qu’un concert d’une heure quinze normal ou presque, mais combien de groupes ont cette présence sur scène, ce sentiment de vous enfiler un boulet de démolition comme suppositoire à peine une corde de guitare est-elle touchée ? Aucun… Bolt Thrower est ce qu’il est, et ce soir il nous le montrera en retraçant chronologiquement sa carrière. C’est donc logiquement sur In Battle There Is No Law que le groupe commence à lacérer les chevelures. Le son est pas terrible, c’est sûrement le plus gros regret. Le public anglais semble à la traîne, les étrangers prennent le relais et la fosse devient un terrain de jeu. Certes certains morceaux plus qu’indispensables et qui reviennent systématiquement seront joués ce soir. Mais il est impossible de concevoir un concert sans « World Eater » (un des meilleurs morceaux death de tous les temps !!!), « No Guts, No Glory » ou même « The Killchain », pas vrai ? En réalité, le plus jouissif ce sont ces chansons plus jouées depuis des lustres comme « War », « Remembrance », « Ritual », « Warmaster » ou « Inside the Wire ». Il n’y a vraiment pas à s’étaler sur ce concert tant au final il ressemble à tous les autres de Bolt Thrower. On prend toujours sa dose de death metal, sa grosse tarte dans la tronche, son pieds à voir les gars et Jo Bench à se faire plaisir,… Et comme souvent c’est sur « When Canons Fade » que se clôture la fête. Une fête qu’on aura presque pu trouver décevante ou banale si Bolt Thrower n’était pas là systématiquement pour nous rappeler qu’il n’y a au final que la musique qui compte et qu’en cette matière, ce groupe n’a de leçon à recevoir de personne…c’est lui qui les donne. On a compris messieurs et madame. Et on sera là la prochaine fois encore ! Merci à vous pour ces années d’humilité et de bonheur, on vous aime.
Le Boltfest fini, nous rapatrions Camden pour retrouver Romain et Val, avec notre collègue Jean-Dam en bonus. Un Mc Do en passant, pas facile de marcher quelques kilomètres avec des gens saouls. Finalement on doit se retrouver au Blackheart, dans lequel il nous sera impossible de rentrer. Du coup, après une bonne séquence de rire avec les videurs, on se retrouve dans le World’s End. Une fois le pub fermé, nous décidons de rentrer prendre des forces pour le lendemain. C’était sans compter un Cocal très finement arraché qui nous animé la piaule façon nightclub. Ayant ramené Jean-Dam avec nous, on a finalement dormi à 5 dans cette minuscule pièce.
En bas c’est Discharge, les maitres du punk londonien qu’on ne présente plus, qui foulent les planches délivrant leurs hymnes punk tels des roquettes d’une puissance dévastatrice. Si le choix du groupe pour cette affiche peut-être remis en cause par les death metaleux, on ne peut qu’acquiescer cette initiative ne serait-ce que pour l’influence qu’a joué ce groupe sur le metal extrême. Sans Discharge pas de thrash, ni de death. Bref… Si l’énorme scène peine à être occupée par la totalité des membres du groupe, la prestation n’en reste pour le moins fort appréciable, surtout comme chauffe pour ma part, ayant raté Vallenfyre et Benediction.
La fosse devient encore plus compacte et l’excitation monte. Après tout, la part du public qui ce soir voit Autopsy pour la première fois doit bien atteindre les 99%. Logique donc que les Américains soient très attendus. Et ils ne décevront pas, loin de là. Jouissant d’un son un peu dégueux lui convenant à merveille, c’est pendant 45 minutes qu’ils enquilleront une grosse part de classiques, mais aussi quelques morceaux très réussie de leur récente reformation. Chris Refeirt impressionne dans son aisance à massacrer les futs en même temps que ces grognements nous emmènes directement à la morgue, et c’est alors avec une érection non dissimulée qu’on se mange « Voices », « Charred Remains » et « Ridden with Disease » dans la face. Punaise que ce fut jouissif. Mais pourquoi n’ont-ils pu jouer « Pagan Saviour » et « Service for a Vaccant Coffin » en plus. Reste qu’on peut enfin le dire : j’ai vu Autopsy en live.
L’heure est à la fête…26 ans après ses débuts, Bolt Thrower est toujours là, plus fort que jamais. Son statut de légende de death metal lui étant surtout dut à son intégrité, sa loyauté et au fait que ce groupe est à part, qu’il ne fait rien comme les autres. Là où tous les groupes auraient jouer 2h et enregistrer leur concert spécial pour un dvd, Bolt Thrower débarque dans l’intention de balancer un concert de plus, un de ceux dont il a le secret. Alors oui on peut être déçu que ce ne sera finalement qu’un concert d’une heure quinze normal ou presque, mais combien de groupes ont cette présence sur scène, ce sentiment de vous enfiler un boulet de démolition comme suppositoire à peine une corde de guitare est-elle touchée ? Aucun… Bolt Thrower est ce qu’il est, et ce soir il nous le montrera en retraçant chronologiquement sa carrière. C’est donc logiquement sur In Battle There Is No Law que le groupe commence à lacérer les chevelures. Le son est pas terrible, c’est sûrement le plus gros regret. Le public anglais semble à la traîne, les étrangers prennent le relais et la fosse devient un terrain de jeu. Certes certains morceaux plus qu’indispensables et qui reviennent systématiquement seront joués ce soir. Mais il est impossible de concevoir un concert sans « World Eater » (un des meilleurs morceaux death de tous les temps !!!), « No Guts, No Glory » ou même « The Killchain », pas vrai ? En réalité, le plus jouissif ce sont ces chansons plus jouées depuis des lustres comme « War », « Remembrance », « Ritual », « Warmaster » ou « Inside the Wire ». Il n’y a vraiment pas à s’étaler sur ce concert tant au final il ressemble à tous les autres de Bolt Thrower. On prend toujours sa dose de death metal, sa grosse tarte dans la tronche, son pieds à voir les gars et Jo Bench à se faire plaisir,… Et comme souvent c’est sur « When Canons Fade » que se clôture la fête. Une fête qu’on aura presque pu trouver décevante ou banale si Bolt Thrower n’était pas là systématiquement pour nous rappeler qu’il n’y a au final que la musique qui compte et qu’en cette matière, ce groupe n’a de leçon à recevoir de personne…c’est lui qui les donne. On a compris messieurs et madame. Et on sera là la prochaine fois encore ! Merci à vous pour ces années d’humilité et de bonheur, on vous aime.
Le Boltfest fini, nous rapatrions Camden pour retrouver Romain et Val, avec notre collègue Jean-Dam en bonus. Un Mc Do en passant, pas facile de marcher quelques kilomètres avec des gens saouls. Finalement on doit se retrouver au Blackheart, dans lequel il nous sera impossible de rentrer. Du coup, après une bonne séquence de rire avec les videurs, on se retrouve dans le World’s End. Une fois le pub fermé, nous décidons de rentrer prendre des forces pour le lendemain. C’était sans compter un Cocal très finement arraché qui nous animé la piaule façon nightclub. Ayant ramené Jean-Dam avec nous, on a finalement dormi à 5 dans cette minuscule pièce.
Posté : 13 avr. 2012, 03:16
Au passage, j'ajouterais que: TOTAL RESPECT à JD, merci pour la tournée sans toi (il comprendra !! 
). Un grand môssieur !
Puis aussi à Warmaster et au duo War/Remembrance !
). Un grand môssieur ! Puis aussi à Warmaster et au duo War/Remembrance !
Posté : 13 avr. 2012, 11:34
Super CR! Dommage en effet de pas avoir eu une set vraiment spécial mais l'affiche était tellement énorme (Autopsy et BT ça n'a pas du arriver souvent).
Pour leur 30 ans peut être? A moins qu'ils décident de faire seulement un medley de 30 minutes de leur carrière. Ca m'étonnerait même pas tiens.
Pour leur 30 ans peut être? A moins qu'ils décident de faire seulement un medley de 30 minutes de leur carrière. Ca m'étonnerait même pas tiens.