Skin Slicer/Deche-Charge/Fuck You All! au Velvet hier
Posté : 23 déc. 2007, 20:59
Et hop, un petit CR!
Je prends l'autobus vers 21:15 pour arrivers vers 22:00 au Velvet. Le show étant annoncé soit 20:00, soit à 21:00, je me dis que je peux manquer une première partie. Ce que j'ai entendu de Fuck You All! ne m'avait vraiment pas enchanté, un espèce de Thrash/Stoner/Hardcore. Quant à Deche-charge, c'était annoncé comme du noise-core since 1990. Et ça semblait visiblement un groupe plutôt porno-grind vu le nom.
Bref, j'arrive devant le Velvet vers 22:00. Je croise à l'entrée un camarade, deux autres têtes que je vois souvent dans les shows ainsi que monsieur Louismat (frontman d'Eliminator, et surtout, ancien-propagandiste pour Bastardator). Je m'achète une Grolsch dans un dépanneur miteux, je la bois et entre dans le bar (ça coûte moins cher comme ça, sauf si la police te voit et te donne un ticket). Premier constat, vraiment pas beaucoup de gens. Beaucoup de ceux que je vois habituellemt dans les shows de Thrash ne sont même pas là. Il n'y aura pas beaucoup de monde durant cette soirée. Les slamms seront faits par envrion trois/quatre punks (que monsieur Louismat rejoint quelques fois pendant Skin Slicer).
Fuck You All! embarque sur la scène. J'avais, ma fois, sous-estimé encore une fois la légendaire ponctualité de E.N.D. Productions. Le trio est amputé de son bassiste, en panne à quelques part. À la batterie, il y a le bassiste de Mesrine. Ils donnent une prestation plutôt louche qui ne passionne pas la plupart de la (maîgre foule). Ça passe en show, mais sur disque, bof bof. Je remarque une type portant une chemise rayée qui semble plutôt enthousiaste.
À l'entracte, j'apprends que le type en question se nomme Sylvain et qu'il revient du party de Noël de son boulot (d'où sa chemise). Ce gars-là, ne carburant visiblement pas à l'eau et aux cigarettes Popey paie la bière à quelques un d'entre-nous (pourquoi refuser?). Ce gaillard disparraîtra assez rapidemement pendant le set de Deche-Charge, paraît-il qu'il fut sorti du bar (peu étonnant).
Deche-Charge embarquent sur le stage. Il s'agit d'un enième band où on retrouve Fred à la guitare (Mesrine, Lick Ass, et surtout, c'est l'organisateur) et Dan-Charge (Mesrine, Fistfuck, Eliminator) à la batterie. Il y a un chanteur, mais pas de bassiste. Le groupe annonçait 2000 tounes sur Internet, c'était presque vrai. Comme je le pensais, c'est un truc assez porno-grind. Des "chansons" ultra-courtes et un chanteur qui hurle plein de chose zoutring a lot. Vous direz que c'est immature. En effet, surtout pour des gars de trente ans. Mais c'était étonnament divertissant. Je n'écouterais pas leurs albums, mais leur prestation est plutôt le fun. À la moitié du set, le batteur et le chanteur échangent de place. Alors que Dan-Charge annonce une chanson titrée "Thrash are posers", mister Louismat (toujours lui) grimpe sur le stage et commence à se chamailler avec le batteur de son groupe. Il ne faut pas oublier l'eau que le groupe nous lance en pleine face, ni la réponse, en broue de bière de la part de la foule. Saluons aussi les poses de Fred, le guitariste, qui s'est remis de sa fracture au poignet faite en octobre.
À l'entracte, je discute légèrement avec Pigruche, le guitariste de Skin Slicer, au sujet de leur album à venir. Ils sont encore dans l'enregistrement. Il reste quelques solos et des parties de chant.
Le trio Thrash se prépare. Notez que ce groupe fait partie même famille que les deux autres puisque Barrabas (drum) et Jimbo (basse et chant) sont aussi dans Lick Ass. La préparation du groupe est cependant un peu longue, le son n'est pas au point et il ne sera jamais au point (ce qui n'empêchera pas le show d'être yeah). Le show commence avec Hell Metal, qui provoque un headbangig général. Comme annoncé, le groupe jouera ce soir l'intégral de leur futur album. Après la première chanson, monsieur Bastardator fait remarquer à Jimbo que leur son a trop de feedback, ce qui est effectivement vrai. Aprè la deuxième chanson (Hellrider si je m'en souviens bien), Jimbo dit: "Il y a du feedback en estie, une chance qu'on joue du Thrash et qu'on est pas Bon Jovi" (pff, cette grosse tata qui ne s'assume pas a déjà été aperçu par votre humble serviteur dans un show de Kamelot alors que celui-ci portait un t-shirt de Mötley). Bref, à quelques reprises, le groupe rencontre des petits problèmes de son (exemple: Jimbo qui débranche accidentellement sa propre basse). Malgré cela, le show est une vraie tuerie. C'est avec plaisir que nous découvrons les nouveau morceaux (parlant toujours de "hell", de Thrash et de Metal). Jimbo prend soin de dédier au père de Pigruche, présentement hospitaliser, sa chanson préféré (le bonhomme en question doit être quand même assez âgé). L'éthilisme des membres (ainsi que celui de mister de Hugo Weaving jr) grimpe au long du set, pour s'achever avec un batteur ivre et un guitariste qui manque de piles pour sa guitare. Un show bien yeah.
Récapitulons: - La foule:
Vraiment peu nombreuse
- Fuck you all!:
- Deche-Charge
- Skin Slicer:

Je prends l'autobus vers 21:15 pour arrivers vers 22:00 au Velvet. Le show étant annoncé soit 20:00, soit à 21:00, je me dis que je peux manquer une première partie. Ce que j'ai entendu de Fuck You All! ne m'avait vraiment pas enchanté, un espèce de Thrash/Stoner/Hardcore. Quant à Deche-charge, c'était annoncé comme du noise-core since 1990. Et ça semblait visiblement un groupe plutôt porno-grind vu le nom.
Bref, j'arrive devant le Velvet vers 22:00. Je croise à l'entrée un camarade, deux autres têtes que je vois souvent dans les shows ainsi que monsieur Louismat (frontman d'Eliminator, et surtout, ancien-propagandiste pour Bastardator). Je m'achète une Grolsch dans un dépanneur miteux, je la bois et entre dans le bar (ça coûte moins cher comme ça, sauf si la police te voit et te donne un ticket). Premier constat, vraiment pas beaucoup de gens. Beaucoup de ceux que je vois habituellemt dans les shows de Thrash ne sont même pas là. Il n'y aura pas beaucoup de monde durant cette soirée. Les slamms seront faits par envrion trois/quatre punks (que monsieur Louismat rejoint quelques fois pendant Skin Slicer).
Fuck You All! embarque sur la scène. J'avais, ma fois, sous-estimé encore une fois la légendaire ponctualité de E.N.D. Productions. Le trio est amputé de son bassiste, en panne à quelques part. À la batterie, il y a le bassiste de Mesrine. Ils donnent une prestation plutôt louche qui ne passionne pas la plupart de la (maîgre foule). Ça passe en show, mais sur disque, bof bof. Je remarque une type portant une chemise rayée qui semble plutôt enthousiaste.
À l'entracte, j'apprends que le type en question se nomme Sylvain et qu'il revient du party de Noël de son boulot (d'où sa chemise). Ce gars-là, ne carburant visiblement pas à l'eau et aux cigarettes Popey paie la bière à quelques un d'entre-nous (pourquoi refuser?). Ce gaillard disparraîtra assez rapidemement pendant le set de Deche-Charge, paraît-il qu'il fut sorti du bar (peu étonnant).
Deche-Charge embarquent sur le stage. Il s'agit d'un enième band où on retrouve Fred à la guitare (Mesrine, Lick Ass, et surtout, c'est l'organisateur) et Dan-Charge (Mesrine, Fistfuck, Eliminator) à la batterie. Il y a un chanteur, mais pas de bassiste. Le groupe annonçait 2000 tounes sur Internet, c'était presque vrai. Comme je le pensais, c'est un truc assez porno-grind. Des "chansons" ultra-courtes et un chanteur qui hurle plein de chose zoutring a lot. Vous direz que c'est immature. En effet, surtout pour des gars de trente ans. Mais c'était étonnament divertissant. Je n'écouterais pas leurs albums, mais leur prestation est plutôt le fun. À la moitié du set, le batteur et le chanteur échangent de place. Alors que Dan-Charge annonce une chanson titrée "Thrash are posers", mister Louismat (toujours lui) grimpe sur le stage et commence à se chamailler avec le batteur de son groupe. Il ne faut pas oublier l'eau que le groupe nous lance en pleine face, ni la réponse, en broue de bière de la part de la foule. Saluons aussi les poses de Fred, le guitariste, qui s'est remis de sa fracture au poignet faite en octobre.
À l'entracte, je discute légèrement avec Pigruche, le guitariste de Skin Slicer, au sujet de leur album à venir. Ils sont encore dans l'enregistrement. Il reste quelques solos et des parties de chant.
Le trio Thrash se prépare. Notez que ce groupe fait partie même famille que les deux autres puisque Barrabas (drum) et Jimbo (basse et chant) sont aussi dans Lick Ass. La préparation du groupe est cependant un peu longue, le son n'est pas au point et il ne sera jamais au point (ce qui n'empêchera pas le show d'être yeah). Le show commence avec Hell Metal, qui provoque un headbangig général. Comme annoncé, le groupe jouera ce soir l'intégral de leur futur album. Après la première chanson, monsieur Bastardator fait remarquer à Jimbo que leur son a trop de feedback, ce qui est effectivement vrai. Aprè la deuxième chanson (Hellrider si je m'en souviens bien), Jimbo dit: "Il y a du feedback en estie, une chance qu'on joue du Thrash et qu'on est pas Bon Jovi" (pff, cette grosse tata qui ne s'assume pas a déjà été aperçu par votre humble serviteur dans un show de Kamelot alors que celui-ci portait un t-shirt de Mötley). Bref, à quelques reprises, le groupe rencontre des petits problèmes de son (exemple: Jimbo qui débranche accidentellement sa propre basse). Malgré cela, le show est une vraie tuerie. C'est avec plaisir que nous découvrons les nouveau morceaux (parlant toujours de "hell", de Thrash et de Metal). Jimbo prend soin de dédier au père de Pigruche, présentement hospitaliser, sa chanson préféré (le bonhomme en question doit être quand même assez âgé). L'éthilisme des membres (ainsi que celui de mister de Hugo Weaving jr) grimpe au long du set, pour s'achever avec un batteur ivre et un guitariste qui manque de piles pour sa guitare. Un show bien yeah.
Récapitulons: - La foule:

- Fuck you all!:

- Deche-Charge


- Skin Slicer:


