Defenders Of The Faith, le forum Metal

Plein de dates francaises !
Je ne sais plus ce qu'il joue depuis les dernieres fois où je l'ai vu dans les 90s, mais ca me ferait plaisir de le revoir
Dans la salle municipale de Six fours les plages. Chacal ?

Jun 15 TivoliVredenburg (Ronda hall) Utrecht, NL

Jun 16 Posten Odense, DK

Jun 17 Amager Bio Copenhagen, DK

Jun 18 Rockefeller Oslo, NO

Jun 20 Rockhal Club Esch-sur-Alzette, LU

Jun 21 Le Trabendo Paris, FR

Jun 23 L'Olympia Paris, FR

Jun 24 Open Air Theatre (Openluchttheater) Antwerp, BE

Jun 25 Garage Saarbrücken Saarbrucken, DE

Jun 26 Zeltfestival Ulm, DE

Jun 27 Tollhaus Karlsruhe, DE

Jun 28 Jazz'n'Blues Festival Rapperswil - Jona, CH

Jun 30 La Laiterie Strasbourg, FR

Jul 01 Casino Amneville, FR

Jul 02 La Cooperative de Mai Clermont-Ferrand, FR

Jul 03 Cascina San Giacomo Rezzato, Brescia IT

Jul 04 Diga Nazario Sauro Grado, Friuli-Venezia Giulia IT

Jul 06 Festival Jazz à Vienne Vienne, FR
Joe's set will begin at 8:15pm with Jeff Beck closing for this show at 10:15pm.

Jul 08 Espace Malraux Six-Fours-les-Plages, FR

Jul 19 Festival de Carcassone Carcassone, FR

Jul 20 Crazy Week!!! - The Nice Pop Rock Festival

Pas mal.

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28 juillet - Marciac (32), avec Lucky Peterson

Stéphane a écrit :+
28 juillet - Marciac (32), avec Lucky Peterson

J'ai cru à la boulette, mais non, c'est vrai!
Du coup, j'ai cru à la doublette incroyable Satch+Beck (le vrai) sur le festival gersois mais je m'aperçois que Jeff annule et c'est Joe qui le remplace. Mais bon concert à ceux qui pourront s'y rendre.

Beck annule sa tournée, et du coup, moi qui devait le voir le 26/7 au Festival Jazz des cinq continents à Marseille, ben je verrai Satriani à la place. Ca me va !

Gandalf a écrit :Beck annule sa tournée, et du coup, moi qui devait le voir le 26/7 au Festival Jazz des cinq continents à Marseille, ben je verrai Satriani à la place. Ca me va !

J'avais pris une place pour le jazz fest de Sete pour voir J. Beck malheureusement il n'a pas été remplacé par Joe S.
J'ai pas réussi à savoir pourquoi la tournée de Beck a été annulée ? En tout cas à la fnac lorsque je me suis fait remboursé, la caissière m'a dit qu'il y avait plein d'annulations en ce moment ! (sans doute du à la grève des intermittents..?!)

Après Nice, il y aura aussi
23 juillet, salle des étoiles, Monte Carlo
24 juillet, le théatre de verdure au festival de guitare de Patrimonio
26 juillet, palais de Longchamps à Marseille dont Gandalf nous parle.

Jeff Beck annule pour raison de santé d'après Jazz in Marciac. Donc rien à voir avec les intermittents.

Il paraît qu'à SIX FOURS c'est complet depuis belle lurette....

Oui. Depuis plus d'un mois et demi en effet. En même temps la salle est pas grande du tout.

Joe Satriani/Lucky Peterson au Festival Jazz des 5 Continents à Marseille.
Satch on t'aime !


"A la base, mon dépucelage de ce festival de Jazz des 5 Continents devait se faire avec le sieur Beck, et Lucky Peterson en premiere partie. Malheureusement la légende britannique a annulé sa tournée d'été pour raisons medicales.
Cependant, je n'ai pas vraiment perdu au change, puisque Joe Satriani a été annoncé à sa place même pas un mois avant. Et si j'allais en curieux voir Beck, c'est en fan que j'ai revu le Satch !

Mais d'abord, parlons de ma découverte de ce fest à ciel ouvert en plein Marseille, qui ramène chaque année de sacrés noms de la scène internationale. Comme le Jazz dans sa globalité n'est pas mon style de prédilection du tout, je ne m'y suis guère interessé jusqu'à maintenant.
Mais au vu de la convivialité des lieux, du cadre, de la bonne atmosphère, je n'hésiterai pas à revenir pour découvrir des grands noms les prochaines années !

En effet, c'est un fest plutôt familial et bon enfant, à taille humaine, où l'on voit défiler autant des endimanchés, des "faut que je me montre", des parents avec minots, des touristes en tongs, que des fans de musique et de gratte (ce qui n'est pas incompatibles avec les catégories précédentes, heureusement !).
Il est vrai que ça me dérange quelque part de voir une bonne majorité du public assis sur la pelouse même quand les artistes sont sur scène. Ca et les gens assis sur les chaises en plastiques devant les buvettes, ça fait très "Camping Les flots bleus avec l'animation de Patrick Sebastien le samedi soir"... M'enfin je dis ça, mais pour la fin de Peterson on s'est pas géné pour aller s'asseoir au bar avec notre binouse pépère !

Le mix de cette population hétéroclite, combiné à la sympathie ambiante (festivaliers, personnel aux bars, au merchandising, à l'accueil...), à la verdure, aux etoiles surplombant la scène, à la possibilité d'acceder facilement aux premiers rangs, aux prix très corrects des boissons (même si je ne suis pas allé voir le corner "Champagne, caviar, macarons" !), aux meilleures toilettes sèches jamais vu en festival (!), et même au manège qui fonctionnait toute la soirée, ça donne une belle impression de bien être et de bien vivre. A 10 minutes de la maison, avec les potes, que demander de plus ?!

Quand Joe Satriani investit les planches à 21h précises, je me crois revenu dans les années 90. Quand il passait au Dome, seul ou avec le G3 (souvenirs souvenirs...). Le mec il n'a physiquement pas changé avec l'age. Il est toujours simple et passionné. Il a toujours des doigts magiques et ses hits bandants !
Alors ouais, il n'est pas démonstratif comme un Vai, il en fout pas plein la vue à tout va comme un Malmsteen, ce n'est pas un shredder fulgurant, il fout pas du sweeping partout, mais putain quelle classe et quel feeling. Et puis "Surfin' with the Alien", mon album instrumental de gratte préféré avec son "The Extremist" et le "Rape of the Earth" de Rondat. Un chef d'oeuvre qui n'a pas pris une ride.

même si je n'ai plus suivi sa disco que de tres loin depuis son excellent "Live in San Francisco" de 2001, il me procure toujours autant de plaisir en concert ! C'est fluide, c'est carré, y a le toucher et le partage.
Il est vrai qu'on distingue vite les titres de son dernier opus, par rapport à ses efforts passés, car c'est plus syncopé, moins coulé par moment ("Jumpin' in", "Lies and truth"). Mais ce n'est pas dérangeant plus que ça, tant le bonhomme maitrise et sait distiller ses soli.
"Shine on american dreamer" est par contre un peu etrange, tres punchy et joyeuse, finalement communicative. Tout comme cet etonnant et entrainant "Crowd chant" présent sur "Super colossal", taillé pour faire gueuler le public en réponse à la gratte de Satriani. Fun sur scène et dans la fosse !

Bien sur, rien ne vaut un "Satch Boogie", un "Ice 9" ou un "Summer song"... Ca m'a foutu les frissons quand il les a interpretés... Je me suis revu au bahut, en train d'apprendre ses tablatures ou en ayant "Always with me, always with you" (ce fameux tapping...) ou le très beau "Cryin'" dans le casque le matin pour aller en cours... Grand bonheur dans ces moments là, hier soir. Comme beaucoup dans l'assistance au vu de l'ambiance sur "Summer song" notamment!

Et au combien frustrant de le voir jouer seulement 1h15... Il aurait pu enquiller facilement une heure de plus rien qu'avec des classiques qu'on aurait été comblé. Des compos de "Crystal planet", de "Time machine" ou de "Flying..." auraient fait plaisir à un grand nombre je pense. A noter qu'il nous a ressorti une antiquité avec le très "easy listening" planant "The crush of love", présent sur le EP de 1988 "Dreaming 11".

N'oublions pas les zicos qui tournent avec lui, evidemment des balèzes, que ce soit le bassiste placide, le vieux gratteux/claviers Keneally qui parfois doublait les parties de Joe ou se faisait des duels de soli avec, et cet excellent batteur, dont le court solo n'etait même pas ennuyeux, une prouesse pour moi ! Du groove, de la technique, des gimmicks, le sourire... Une belle découverte. Et une belle formation pour un bien bon live !



Setlist

Jumpin' In
Devil's Slide
Flying in a Blue Dream
Unstoppable Momentum
The Weight of the World
Ice 9
The Crush of Love
Lies and Truths
Satch Boogie
Shine On American Dreamer
Cryin'
Drum Solo
Time Machine (?)
Always with Me, Always with You
Surfing with the Alien
Crowd Chant
Summer Song



Après ça, je découvre Lucky Peterson de loin, en total curieux. Pour vous dire à quel point il m'etait totalement inconnu, lorsque le groupe débarque sur scène, je me dis qu'il est pas mauvais ce blanc aussi chauve que Satch qui maltraite sa gratte avec ses zicos en arriere plan... Sauf que Seb m'informe que Peterson n'est pas blanc mais noir... Et en effet le gars se ramène après presque dix minutes d'un show très "Born in the Bayou", introduit par ledit guitariste chauve... Jolie ignorance, isn't it ?!

Lucky passera la premiere demi heure à ses claviers, avec ses compos, mais aussi un "I can see clearly now" dont j'ai adoré la révision groovy ! Lui et son groupe me font l'effet d'un bon Big Band de la New orleans, à la joie communicative, à l'entrain certain ! Avec sa voix chaude, ses grimaces, ses sourires, la façon de se mouvoir à la Ray Charles... Moins le cas quand il prend la gratte, où ca retombe un peu j'ai trouvé.
Après, c'est pas non plus le combo de l'année, je n'irai pas le voir en headliner tout seul. Mais ca cadre bien pour cette fin de festival, les gens dansent, tapent dans les mains, on peut entendre des morceaux cultes bien repris, bref les gens qui ne sont pas partis sont heureux, c'est bien là l'essentiel en cette belle soirée.

See you next year !


Gandalf "

Pas le combo de l'année ? C'est un génie Lucky Peterson !! Je suis super fan !

Tant mieux pour toi

Et les excellentes photos de Pirlouit, comme d'hab

http://www.concertandco.com/critique/co ... /48831.htm

Gandalf a écrit :Et les excellentes photos de Pirlouit, comme d'hab

http://www.concertandco.com/critique/co ... /48831.htm

C'est qui l'espèce de sataniste sur la 2ème photo au centre ?????

Top les photos !

weik a écrit :

Gandalf a écrit :Et les excellentes photos de Pirlouit, comme d'hab

http://www.concertandco.com/critique/co ... /48831.htm

C'est qui l'espèce de sataniste sur la 2ème photo au centre ?????

Lequel, celui qui est le plus mal chaussé ?

Bib a écrit :Top les photos !

J'adore celle où la gratte se refléte dans les lunettes de Joe. Et les grimaces de Peterson bien sur

@ autres bouseux: les cordonniers satanistes sont les plus mal chaussés, c'est de notoriété publique....

Merci Gandalf pour ce beau CR. Je partage beaucoup de points de vue avec toi. Je n’ai malheureusement pas eu ta chance, celle de voir un « vrai » concert de Satriani cet été. Comme je l’appréhendais, c’est seulement une version courte à laquelle j’ai assisté dans le cadre d’un festival. Le Satch étant passé trop loin ces dernières années (Nîmes n’étant pas à portée) j’étais assez impatient. Même hors de mon rayon d’action habituel je me laissais convaincre par la date du 19. J’appris, grâce à vous, la venue du Satch dans ma région administrative après avoir jeté mon dévolu sur la date « languedocienne », de toute façon plus accessible en terme de voies de communication. Pendant sa venue en terre gasconne, j’écris donc ces lignes. J’en étais resté, quasiment à la note près, au concert live de SF évoqué par Gandalf en ce qui concerne mon vécu en direct.

La journée s’annonçait stressante, la météo étant au mieux incertaine, au pire orageuse. Pénible quand on assiste à un concert en plein air. Je crois que la soirée suivante du festival fut annulée à cause d’une météo tourmentée. Contrairement à Marseille où Joe débuta avant Lucky (ce soir, 28 juillet, se sera, semble-t-il, en sens inversé) je savais que Joe terminait la soirée. Cependant il fallait arriver tôt pour avoir les meilleures places dans la zone non réservée de ce faux théâtre aux places toutes assises. Même une heure avant le concert, je ne pouvais pas prétendre aux meilleures places, mais enfin je m’en suis pas mal sorti. A défaut de coucher de soleil, la lumière baissa un peu avant la première partie. Chicago ayant jeté l’éponge j’eus une heure de pop rock molle anglaise qui me permit de me sortir lentement du demi sommeil gâché par le tabac consommé sans cesse près de moi dans ce lieu, à mon grand désarroi. S’il y en a encore qui doutent de l’application distendue de la loi sur l’ensemble du territoire, ils auraient pu le constater facilement. Le public : certainement très proche de celui décrit par Gandalf. Encore plus mou que la partie introductive de cette soirée. J’imagine que le bon père Lucky Peterson et son embonpoint aurait attiré un public bien plus sautillant et dynamique (comme lorsque j’eu le plaisir de le voir à son époque « wilson pickett ») et attiré bien plus mon attention. Retraités et novices estimant que les titres de la fin des 90’ sont vieux, se côtoient. Combien de très bons connaisseurs du Satch ? Je ne saurais dire mais beaucoup de petits connaisseurs curieux à ce que j’ai pu voir. Comme lors de mes derniers concerts toulousains, j’ai devant moi des espagnols, mais cette fois ci c’est un jeune couple qui est venu faire du tourisme musical. En tout cas c’est presque plein, une bonne centaine de places restant inoccupées. Décor et habillage sans fioritures, même si c’est naturellement beau, c’est assez surprenant de sobriété.


Carrément décontenancé par la musique d’ambiance après l’aménagement de la scène par les roadies. On nous sert du Jeff Beck (époque Rod) alors qu’il va le remplacer à Marseille et Marciac. Visiblement ça ne trouble que moi, les autres ne semblant pas reconnaître. 1ere faute de goût ? Tout est calé pour démarrer à 23h.
Si je reconnais que l’entrée sous une salve d’acclamations se fait sur un titre du nouvel album, j’arrive pas à reconnaître lequel. Autant Jumpin’in m’avait accroché sur l’album autant là, j’ai eu un peu de mal. Comme s’il manquait un petit truc car sur l’album il contraste bien avec les titres précédents. Comme le dit Gandalf c’est beaucoup moins coulé plus syncopé que par le passé, presque plus jazz dans l’esprit mais avec un très gros son, j’aime bien mais ça semble un peu abasourdir le public. Flying s’annonce dans un brouillard bleu (presque trop épais) qui remet les choses en place, les connaisseurs se manifestent dès l’intro. Comme d’habitude on s’envole mais je suis bien surpris de voir ce titre si tôt dans la soirée. C’est là que je comprends que je n’aurais pas droit à mes 2 h de plaisir. Et Joe a gardé sa guitare orange dont il joue à merveille avec son ampli en fin de morceau. Mais pour l’harmonie des couleurs, il faudra repasser, 2ème faute de goût ? Comme souligné par Gandalf l’ancien the crush of love révèle une adaptation réussie grâce au duo de guitare remarquable entre Joe et Mike. Lies and truth que j’attendais est bien réussie mais semble surprendre le public qui ne semble pas connaître. J’ai moi même été surpris par « shine on american dreamer » qui m’avait pas fait tilt à l’oreille sur l’album. Mais là, ça marche ! Dès les 1ères notes de crying mon voisin a tendu l’oreille et même le corps, visiblement ça lui fait quelque chose (chacun a son histoire avec ces morceaux d’anthologie). Son merveilleux, il faut reconnaître pour ce morceau qu’il n’avait pas joué la dernière fois que je l’avais vu ; avec en touche finale quelques notes d’un titre de la fin de l’album FIABD qui m’échappe.

Le bassiste et Mike K quittent la scène pendant que Joe avec une guitare inconnue se poste spectateur devant un très bon moment de batterie qui servira d’intro à un Time Machine aussi surprenant que merveilleusement réussi. Après vérification il s’agit d’une guitare au logo « chickenfoot » au look assez décalé par rapport aux autres. C’est avec une guitare plus classique qu’il joue « Always... » et il arrive encore à me mettre des frissons avec un morceau entendu je ne sais combien de fois. Je comprends malheureusement que la fin s’approche, ce que Surfin’ confirme. Acclamé par un public qui se lève le groupe tire sa révérence... 2 jours plus tard en regardant sur setlist.fm j’eu la surprise de voir apparaitre Crowd chant en rappel. Après une demi seconde de réflexion sur un blackout possible, impossible. Depuis la setlist a été (malheureusement pour la réalité du concert) rétablie, et enfin devenue juste mais nous n’avons entonné que l’intro de Summer song. Et puis... c’est tout... 3e faute de goût ?
C’était vraiment un bon final mais là où je croyais à l entracte les gens quittaient la place... car c’était bel et bien fini. 75 minutes chrono, y aurait-il du Blackie Lawless chez Joe ? Je ne pense pas, mais un seul rappel et si court c’est franchement frustrant quand on a attendu si longtemps pour le revoir. Les vieux trouvaient que c’était trop fort... ou que c’était l’heure d’aller dormir ; alors que j’aurais pris une dose d’une heure supplémentaire sans broncher. Joe nous a dit qu’il était content de jouer dans un endroit si merveilleux, il ne tenait qu’à lui de faire durer ce plaisir.

Gandalf a écrit :@ autres bouseux: les cordonniers satanistes sont les plus mal chaussés, c'est de notoriété publique....

les cordonniers tatanistes ?

Merci Aimé pour le cr
C'est vrai que j'ai pas parlé de ses grattes on a pas eu la Chickenfoot, juste ses Ibanez que j'adore, simples mais gracieuses. La prune et puis sa blanche classique la Orange faut aimer... Le orange

En fest c'est toujours frustrant le temps de jeu raccourci c'est vrai mais j'ai un peu regardé ses autres setlists de la tournee du dernier opus, et il joue au plus 20 titres, les morceaux supplementaires etant du dernier.

Le 19, on n'a eu que 12 titres! (+ solo de batt.); Grrrrrrr, pas de quoi me réconcilier avec Gérard.
Lors de son arrivée avec la guitare orange j'ai cru que c'était un jeu de lumière sur ses belles guitares rouges (celles des pochettes des 2 derniers albums) mais non, elles sont restées au placard où aux Etats-Unis. D'ailleurs un peu déçu qu'aucun titre de son avant dernier album n'ait été joué, c'est peut-être le meilleur depuis 2000. La orange sur certains jeux de lumières c'est super, sur d'autres moins.

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