Je préfère prévenir tout de suite : ATTENTION ! LES PAROLES SONT ASSEZ CRUES ET INCISIVES ET, PAR CONSEQUENT, PEUVENT CHOQUER !!!
Ecoute papa, petite fille, quand papa te dit sois gentille
Tu es le sang de mon sang, la chair de ma chair
Tu es à moi, je suis ton père.
Tu es à moi à chaque fois que se mettent à claquer mes doigts
Dans l'élastique de ta culotte. Allons, ne crie pas, petite sotte !
Je te donne la vie, le gîte, le couvert. Quand j'ai envie, laisse-toi faire !
Je suis le seul à te comprendre, qui d'autres que moi sauraient te prendre ?
Je ne veux pas que tu donnes ton corps au premier inconnu,
Les hommes sont des porcs
Ca ne sortira pas de la famille, ma petite fille, reste docile !
Ecoute-moi, petite garce, tu es la dinde et moi la farce
Ne dis pas que mes caresses te glacent ta peau qui est si chaude
Reste à ta place ! On est si bien sur ma banquette arrière
Ne m'oblige pas à me mettre en colère
Regarde un peu dans quel état tu me mets, ce que tu fais de moi
Je t'offrirais les robes dont tu rêves, de la lingerie fine
Assortie à tes lèvres des nuits de plaisir, indescriptibles
Je suis un gars tellement sensible
Regarde dans les yeux celui qui te souille,
Fais un voeu et coupe-lui les couilles !
Ecoute-moi, pauvre conne, au lieu de répéter que tu n'es pas ma bonne
J'ai versé ton sang, pillé ta chair
De tes enfants, je suis le père
Tu es à moi à chaque fois que se mettent à claquer mes doigts
Dans l'élastique de ta culotte, assez de critiques ! Ta gueule, salope !
Je gagne ta vie, le gîte, le couvert. Quand j'ai envie, laisse-toi faire
Je suis le seul à te comprendre, qui d'autres que moi auraient voulu te prendre ?
Approche, ici, me donner ton corps, je te ferai le cri du porc
Tu fais partie de la famille, je t'ai à l'oeil, femme docile !
Regarde dans les yeux celui qui te souille,
Fais un voeu et coupe-lui les couilles !