[CD] COHEED & CAMBRIA : Good Apollo I’m burning... (2005
Posté : 04 janv. 2006, 21:47
Coheed & Cambria sont les deux héros de la fresque galactico – spatiale crée par le chanteur/guitariste/leader du groupe, Claudio Sanchez. Ne connaissant pas les deux précédents albums du groupe, je serais donc bien incapable de vous raconter l’histoire développée par cet album. En tout cas une chose est sûre : Good Apollo I’m burning star IV volume one : From fear through the eyes of madness est aussi bon que son titre est long.
Mélangeant pop, rock, hard rock et progressif, cet album est en effet une des plus belles réussites de la fin 2005.
L’album débute par une intro,, au piano seul d’abord, puis le piano est rejoint par des instruments à corde (violons…) qui renforcent la superbe mélodie de cette intro qui, mine de rien, est vraiment une superbe composition qui montre tout le talent du groupe. Le deuxième morceau, qui fait office de seconde intro, est joué uniquement à la guitare acoustique, et permet de s’imprégner de l’univers particulier de Coheed & Cambria.
Les guitares électriques débarquent enfin sur « Welcome home », avec son riff très hardrock, morceau qui combine tous les styles cités plus haut. Ce morceau, qui fait également office de single sur divers samplers, est vraiment un des meilleurs de l’album, tant sa mélodie est originale et superbe. Quant à la voix du chanteur, elle rappelle à certains moments celle de Matthias Elklundh, le chanteur de Freak kitchen.
Le morceau suivant, « Ten speed »,avec ses choeurs très pop, est du même acabit que le précédent.
L’album souffre d’un petit passage à vide avec les sixièmes et septièmes morceaux, beaucoup plus pop que rock, qui sont d’un niveau plus bas que les précédents.
Mais le niveau remonte très vite, avec la ballade « Wake up » tout d’abord, morceau sur lequel les claviers se font très présents, et avec « The suffering » et « The lying lies… », deux morceaux d’une durée plus courte que la moyenne des autres morceaux de l’album, mais aussi plus directs et rock, en un mot plus efficaces.
Et malheureusement, à partir du onzième morceau, on commence à trouver le temps long. Il faut dire que l’album du 71 minutes et que les morceaux deviennent répétitifs (certaines rythmiques et mélodies des premiers morceaux sont reprises). Le dernier morceau, de 6’10, est en revanche une vraie réussite et pourrait faire penser à du Pink floyd.
Good Apollo… est donc un album ambitieux, original, à écouter concentré bien calé dans un fauteuil, malheureusement un peu gâché par une durée trop longue.
Mélangeant pop, rock, hard rock et progressif, cet album est en effet une des plus belles réussites de la fin 2005.
L’album débute par une intro,, au piano seul d’abord, puis le piano est rejoint par des instruments à corde (violons…) qui renforcent la superbe mélodie de cette intro qui, mine de rien, est vraiment une superbe composition qui montre tout le talent du groupe. Le deuxième morceau, qui fait office de seconde intro, est joué uniquement à la guitare acoustique, et permet de s’imprégner de l’univers particulier de Coheed & Cambria.
Les guitares électriques débarquent enfin sur « Welcome home », avec son riff très hardrock, morceau qui combine tous les styles cités plus haut. Ce morceau, qui fait également office de single sur divers samplers, est vraiment un des meilleurs de l’album, tant sa mélodie est originale et superbe. Quant à la voix du chanteur, elle rappelle à certains moments celle de Matthias Elklundh, le chanteur de Freak kitchen.
Le morceau suivant, « Ten speed »,avec ses choeurs très pop, est du même acabit que le précédent.
L’album souffre d’un petit passage à vide avec les sixièmes et septièmes morceaux, beaucoup plus pop que rock, qui sont d’un niveau plus bas que les précédents.
Mais le niveau remonte très vite, avec la ballade « Wake up » tout d’abord, morceau sur lequel les claviers se font très présents, et avec « The suffering » et « The lying lies… », deux morceaux d’une durée plus courte que la moyenne des autres morceaux de l’album, mais aussi plus directs et rock, en un mot plus efficaces.
Et malheureusement, à partir du onzième morceau, on commence à trouver le temps long. Il faut dire que l’album du 71 minutes et que les morceaux deviennent répétitifs (certaines rythmiques et mélodies des premiers morceaux sont reprises). Le dernier morceau, de 6’10, est en revanche une vraie réussite et pourrait faire penser à du Pink floyd.
Good Apollo… est donc un album ambitieux, original, à écouter concentré bien calé dans un fauteuil, malheureusement un peu gâché par une durée trop longue.