[CD] DREAM THEATER - Awake (1994)
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Depuis que j'ai maté Score, je me repasse la disco de ce groupe que je connais bien mais que je connais mal. Explication: je connais bien toute leur disco, tous leurs titres (hormis leur premier album), mais je n'ai jamais cherché à décortiquer davantage certains albums qui ne m'inspiraient pas. Une attitude qui ne me ressemble pas du tout et que je rattrape depuis le visionnage du DVD, à fond !
Attention, je ne livre ici que des ressentis, il ne s'agit pas d'une vraie chronique à proprement parler, ça viendra sûrement plus tard
J'avais acheté cet album en 1999 (vers 17h00, je pense), en même temps que Images and Words, dans un magasin appelé Forum, à Cherbourg, en Normandie, une sorte de FNAC. Après mon achat, je vais dans une sorte de pub (qui s'appelait "Le Bistrot", ça sonne vachement Irlandais hein ), juste à côté du magasin, où j'avais l'habitude de me rendre pour y retrouver mes potes de l'époque.
Pas de pote ce jour-là, mais je discerne, se détachant de la lumière tamisée propre à ce genre d'endroit, le tenancier, qui s'attarde à essuyer méticuleusement ses verres, son visage cendré de Capitaine Haddock en plus jeune arborant l'expression fermée d'une personne au maximum de sa concentration.
Son visage s'illumine et s'accorde davantage avec la faible lumière qui baigne ces lieux: "Oh ! Salut Arnaud !"
Je m'entends super bien avec lui, bien qu'il soit totalement réfractaire au metal (il faut dire que le seul truc que je lui avais fait écouter était The Gathering de Testament). Il me demande ce que j'ai encore acheté comme musique de tarés et je lui montre mes disques. Là, il me fait: "Bon allez, on va les passer dans le bar".
Et inutile de dire que c'est tout-à-fait ce que j'attendais de lui
Je n'avais jamais écouté ces albums mais je savais que, musicalement, ils auraient des chances de plaire même aux plus réfractaires.
C'est Images and Words qui passe le test en premier et là, je vois que les premières notes de "Pull Me Under" lui titillent agréablement l'oreille. Et au fur et à mesure que le morceau défile, il me lance: "Ah, tu vois, ça c'est de la musique !"
Je suis aux anges.
A ce moment-là, un mec arrive, un p'tit loub... Oups pardon !
A ce moment-là, une amie à moi, bassiste, entre dans le bar, tranquille les mains dans les poches de son blouson de cuir bien ajusté à sa petite taille et on décide de s'asseoir à une table et de prendre un verre, "Images and Words" en fond sonore. Nous papotons mais j'avoue que je suis carrément dans un autre monde, au milieu d'une sorte de théâtre magique qui projette de la poussière d'étoile qui se diffuse autour de moi. Les deux albums défilent dans cette ambiance assez irréelle pour moi.
Les clients se suivent, certains tapent du pied, d'autres demandent carrément au patron quelle musique est en train de passer, d'autres viennent me voir après que le patron m'ait montré du doigt pour me demander ce que c'est donc que ce groupe ...
Je suis tout-puissant, maître de cérémonie de cette antre qui est la mienne. C'est la classe ce que j'écoute, hein ? Plein de gens que je n'avais jamais vus se déplacent spécialement pour me demander des renseignements sur ce groupe génial qui leur parle sans prévenir ! D'ailleurs, c'est évident, tous les autres, ceux qui ne viennent pas me voir, ceux qui restent assis, en couple, entre amis ou en famille, tous ces gens-là sont en train de disserter passionnément sur ces deux albums de Dream Theater ! Ca frôle l'évidence, RAAAH !
Bref, après cette soirée magique, inutile de dire que je me passe les jours d'après ces albums en boucle. Puis l'un des deux ressort plus que l'autre: Awake, ce disque dont j'avais lu dans un vilain canard que je ne citerai pas qu'il était à la limite de l'indigeste. Ce disque m'intrigue au plus haut point, pas seulement à cause de sa technique, cette technique si chère à tous les groupes de metal progressif; il y a définitivement autre chose derrière. Du moins autre chose après les trois premiers titres, ceux sur lesquels a du rester bloqué le rédacteur de l'article dans le vilain canard.
Car cet album est divisé en deux parties selon moi: les trois premiers titres, ultra-techniques au possible, limite cliniques et froids... Et le reste, qui laisse la place à la magie, et rien que la magie (bon, oui, la technique aussi, mais on s'en fout !).
C'est d'ailleurs ce curieux tracklisting qui est une des raisons pour lesquelles j'aime tant Awake: ses trois premiers titres. On a l'impression que le groupe les a placés ici exprès pour que les non-passionnés, ceux qui jugent trop vite, passent à côté des multiples pépites qui se cachent derrière. C'est humble et c'est définitivement l'idée que j'en ai, tant le reste ne semble pas avoir été composé du tout de la même manière.
Le disque commence en effet selon moi à partir du tryptique "A Mind Besides Itself", qui comprend les morceaux "Erotomania", "Voices" et "The Silent Man".
Il y a autre chose sur ces morceaux, un réel désir de montrer ce que les musiciens ont sur le coeur. D'ailleurs, ceux-ci se lâchent littéralement et s'expriment entièrement et avec passion sur ces titres empreints d'une chaleur intense. L'instrumental, l'épique et la ballade intimiste se succèdent de manière parfaitement naturelle, sans choquer l'auditeur qui ne se doute pas que le voyage est loin d'être fini.
Car le tracklisting, absolument divin dans sa construction, nous mène maintenant sur les deux morceaux les plus bruts de l'album, les jumeaux "The Mirror" et "Lie", l'un et son contraire (d'ailleurs, il me faut impérativement éplucher les paroles des titres), où les thèmes bien mis en évidence du premier morceau se retrouvent de manière plus discrète sur le deuxième. Deux tueries ! En plus de ça, ces morceaux sont classe de chez classe. Le riff qui annonce sèchement "The Mirror" est d'ailleurs aussi simpliste que génial !
Le groupe enchaîne encore une fois sur un titre qui n'a rien à voir et qui pourtant s'inscrit vraiment bien dans la continuité de l'album: le presque atmosphérique "Lifting Shadows of a Dream", tout droit échappé d'un rêve, où la voix de James LaBrie se pose tout en douceur avant de monter en puissance en même temps que le morceau. Je ne comprendrai jamais comment certains osent dire que ce mec est l'élément à changer de Dream Theater, je trouve au contraire qu'il a une voix qui permet au groupe de s'aventurer où bon lui semble.
Vient ensuite LE gros morceau de l'album, le sublime "Scarred" où, en l'espace de 11'00 qu'on ne voit pas passer, le groupe propose toute l'essence de son savoir-faire: la technique au service d'inoubliables mélodies. Un titre typique du Dream Theater le plus inspiré: mélodique, racé, qui évolue sans cesse sans toutefois s'égarer ... LA classe, quoi !
Une classe qui s'étend sur ce morceau brumeux et magique qu'est "Space-Dye Vest". Quoi de mieux que ce titre absolument magnifique pour conclure un album aussi intense ? Car si vous aimez VRAIMENT ressentir la musique, c'est tout-à-fait le genre de morceaux qu'il vous faut, celui-ci étant une inévitable source de dressage de poils pour les trous et de coulage de larmes chaudes pour les plus sensibles d'entre vous !
Bref, pris dans n'importe quel sens, ce disque est à mon avis quasi-parfait ! Il était il y a peu encore le dernier symbole de créativité du groupe pour moi, avant que je ne me replonge avec délectation et passion dans toute leur discographie.
Toutefois, il reste à mon goût le disque le plus brillant qu'ils aient jamais sorti.
Verdict: 5/5
Attention, je ne livre ici que des ressentis, il ne s'agit pas d'une vraie chronique à proprement parler, ça viendra sûrement plus tard
J'avais acheté cet album en 1999 (vers 17h00, je pense), en même temps que Images and Words, dans un magasin appelé Forum, à Cherbourg, en Normandie, une sorte de FNAC. Après mon achat, je vais dans une sorte de pub (qui s'appelait "Le Bistrot", ça sonne vachement Irlandais hein ), juste à côté du magasin, où j'avais l'habitude de me rendre pour y retrouver mes potes de l'époque.
Pas de pote ce jour-là, mais je discerne, se détachant de la lumière tamisée propre à ce genre d'endroit, le tenancier, qui s'attarde à essuyer méticuleusement ses verres, son visage cendré de Capitaine Haddock en plus jeune arborant l'expression fermée d'une personne au maximum de sa concentration.
Son visage s'illumine et s'accorde davantage avec la faible lumière qui baigne ces lieux: "Oh ! Salut Arnaud !"
Je m'entends super bien avec lui, bien qu'il soit totalement réfractaire au metal (il faut dire que le seul truc que je lui avais fait écouter était The Gathering de Testament). Il me demande ce que j'ai encore acheté comme musique de tarés et je lui montre mes disques. Là, il me fait: "Bon allez, on va les passer dans le bar".
Et inutile de dire que c'est tout-à-fait ce que j'attendais de lui
Je n'avais jamais écouté ces albums mais je savais que, musicalement, ils auraient des chances de plaire même aux plus réfractaires.
C'est Images and Words qui passe le test en premier et là, je vois que les premières notes de "Pull Me Under" lui titillent agréablement l'oreille. Et au fur et à mesure que le morceau défile, il me lance: "Ah, tu vois, ça c'est de la musique !"
Je suis aux anges.
A ce moment-là, un mec arrive, un p'tit loub... Oups pardon !
A ce moment-là, une amie à moi, bassiste, entre dans le bar, tranquille les mains dans les poches de son blouson de cuir bien ajusté à sa petite taille et on décide de s'asseoir à une table et de prendre un verre, "Images and Words" en fond sonore. Nous papotons mais j'avoue que je suis carrément dans un autre monde, au milieu d'une sorte de théâtre magique qui projette de la poussière d'étoile qui se diffuse autour de moi. Les deux albums défilent dans cette ambiance assez irréelle pour moi.
Les clients se suivent, certains tapent du pied, d'autres demandent carrément au patron quelle musique est en train de passer, d'autres viennent me voir après que le patron m'ait montré du doigt pour me demander ce que c'est donc que ce groupe ...
Je suis tout-puissant, maître de cérémonie de cette antre qui est la mienne. C'est la classe ce que j'écoute, hein ? Plein de gens que je n'avais jamais vus se déplacent spécialement pour me demander des renseignements sur ce groupe génial qui leur parle sans prévenir ! D'ailleurs, c'est évident, tous les autres, ceux qui ne viennent pas me voir, ceux qui restent assis, en couple, entre amis ou en famille, tous ces gens-là sont en train de disserter passionnément sur ces deux albums de Dream Theater ! Ca frôle l'évidence, RAAAH !
Bref, après cette soirée magique, inutile de dire que je me passe les jours d'après ces albums en boucle. Puis l'un des deux ressort plus que l'autre: Awake, ce disque dont j'avais lu dans un vilain canard que je ne citerai pas qu'il était à la limite de l'indigeste. Ce disque m'intrigue au plus haut point, pas seulement à cause de sa technique, cette technique si chère à tous les groupes de metal progressif; il y a définitivement autre chose derrière. Du moins autre chose après les trois premiers titres, ceux sur lesquels a du rester bloqué le rédacteur de l'article dans le vilain canard.
Car cet album est divisé en deux parties selon moi: les trois premiers titres, ultra-techniques au possible, limite cliniques et froids... Et le reste, qui laisse la place à la magie, et rien que la magie (bon, oui, la technique aussi, mais on s'en fout !).
C'est d'ailleurs ce curieux tracklisting qui est une des raisons pour lesquelles j'aime tant Awake: ses trois premiers titres. On a l'impression que le groupe les a placés ici exprès pour que les non-passionnés, ceux qui jugent trop vite, passent à côté des multiples pépites qui se cachent derrière. C'est humble et c'est définitivement l'idée que j'en ai, tant le reste ne semble pas avoir été composé du tout de la même manière.
Le disque commence en effet selon moi à partir du tryptique "A Mind Besides Itself", qui comprend les morceaux "Erotomania", "Voices" et "The Silent Man".
Il y a autre chose sur ces morceaux, un réel désir de montrer ce que les musiciens ont sur le coeur. D'ailleurs, ceux-ci se lâchent littéralement et s'expriment entièrement et avec passion sur ces titres empreints d'une chaleur intense. L'instrumental, l'épique et la ballade intimiste se succèdent de manière parfaitement naturelle, sans choquer l'auditeur qui ne se doute pas que le voyage est loin d'être fini.
Car le tracklisting, absolument divin dans sa construction, nous mène maintenant sur les deux morceaux les plus bruts de l'album, les jumeaux "The Mirror" et "Lie", l'un et son contraire (d'ailleurs, il me faut impérativement éplucher les paroles des titres), où les thèmes bien mis en évidence du premier morceau se retrouvent de manière plus discrète sur le deuxième. Deux tueries ! En plus de ça, ces morceaux sont classe de chez classe. Le riff qui annonce sèchement "The Mirror" est d'ailleurs aussi simpliste que génial !
Le groupe enchaîne encore une fois sur un titre qui n'a rien à voir et qui pourtant s'inscrit vraiment bien dans la continuité de l'album: le presque atmosphérique "Lifting Shadows of a Dream", tout droit échappé d'un rêve, où la voix de James LaBrie se pose tout en douceur avant de monter en puissance en même temps que le morceau. Je ne comprendrai jamais comment certains osent dire que ce mec est l'élément à changer de Dream Theater, je trouve au contraire qu'il a une voix qui permet au groupe de s'aventurer où bon lui semble.
Vient ensuite LE gros morceau de l'album, le sublime "Scarred" où, en l'espace de 11'00 qu'on ne voit pas passer, le groupe propose toute l'essence de son savoir-faire: la technique au service d'inoubliables mélodies. Un titre typique du Dream Theater le plus inspiré: mélodique, racé, qui évolue sans cesse sans toutefois s'égarer ... LA classe, quoi !
Une classe qui s'étend sur ce morceau brumeux et magique qu'est "Space-Dye Vest". Quoi de mieux que ce titre absolument magnifique pour conclure un album aussi intense ? Car si vous aimez VRAIMENT ressentir la musique, c'est tout-à-fait le genre de morceaux qu'il vous faut, celui-ci étant une inévitable source de dressage de poils pour les trous et de coulage de larmes chaudes pour les plus sensibles d'entre vous !
Bref, pris dans n'importe quel sens, ce disque est à mon avis quasi-parfait ! Il était il y a peu encore le dernier symbole de créativité du groupe pour moi, avant que je ne me replonge avec délectation et passion dans toute leur discographie.
Toutefois, il reste à mon goût le disque le plus brillant qu'ils aient jamais sorti.
Verdict: 5/5
"Ma mère ?! Vous voulez dire que j’aurais un ticket avec ma mère ?! Oh, dur, c’est pas le pied !
- Encore ? Mais qu'est-ce que c’est que ces histoires de pieds ? Les pieds seraient-ils le point sensible des hommes du futur ? C’est peut-être dû à un accroissement de l'apesanteur...
- Quoi ???"
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- Quoi ???"
- Gandalf
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Le début de la fin pour moi, apres un "Image and words" ultime, c'etait dur d'accrocher autant que ce dernier....Et pour moi ils n'y sont pas arrivés avec ce "Awake" que j'avais trouvé sympa...mais sans plus, attendant le suivant pour voir si je réaccrocherai à fond...on connait la suite....
GANDALF
"Seize the day or die regretting the time you lost
It's empty and cold without you here, too many people to ache over"
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c'est con cette chronique me donne envie de le réécouter, mais je l'ai revendu y a un paquet d'année... tssss... ne jamais rien revendre! je le trouvais pas mauvais, moins bon que les deux précédents, plus sombre, mais plutôt bon! c'est con que ce groupe m'ait écoeuré en live
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Un bon 4,5/5 que je sais pas si je dois arrondir en haut ou en bas.
Y'a du terrible (Voices, Erotomania, Space Dye Vest, The Mirror) du très très bon (caught in a web, 6:00, Scarred, Lie) puis du simplement bon (Innocence faded, Lifting shadows of a dream) et Silent Man qui me gonfle pesamment.
Mais quand même quelle claque.
Bon j'ajuge à 4/5 parce que ça manque de Kevin Moore. Il est là mais il est pas là
Y'a du terrible (Voices, Erotomania, Space Dye Vest, The Mirror) du très très bon (caught in a web, 6:00, Scarred, Lie) puis du simplement bon (Innocence faded, Lifting shadows of a dream) et Silent Man qui me gonfle pesamment.
Mais quand même quelle claque.
Bon j'ajuge à 4/5 parce que ça manque de Kevin Moore. Il est là mais il est pas là
Cacolac, pour la soif et pour le plaisir.
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+ 1Cardinal-Sin a écrit :c'est con cette chronique me donne envie de le réécouter, mais je l'ai revendu y a un paquet d'année... tssss... ne jamais rien revendre!
Je regrette d'avoir revendu certains disques. Le pire concerne cette édition limitée digipack dans un écrin du Draconian Times de Paradise Lost. Je n'avais pas du tout aimé ce disque.
Dix ans plus tard, après avoir été littéralement conquis par leur dernier album éponyme, je me le suis finalement repayé, en édition cristal toute bête évidemment
"Ma mère ?! Vous voulez dire que j’aurais un ticket avec ma mère ?! Oh, dur, c’est pas le pied !
- Encore ? Mais qu'est-ce que c’est que ces histoires de pieds ? Les pieds seraient-ils le point sensible des hommes du futur ? C’est peut-être dû à un accroissement de l'apesanteur...
- Quoi ???"
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Je n'ai JAMAIS revendu ou donné un cd que j'avais acheté. même si certains je ne les ai jamais réecouté, je les garde quand même parce que ca m'est arrivé d'en ressortir 10 ans plus tard et d'aimer.
Parfois ce n'est pas la bonne periode de sa vie pour ecouter tel ou tel truc.
Tant je vais me remettre à DT !
Non j'déconne.
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GANDALF
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Pareil tiens ! Pourtant j'ai quelques belles merdes !!Gandalf a écrit :Je n'ai JAMAIS revendu ou donné un cd que j'avais acheté. même si certains je ne les ai jamais réecouté, je les garde quand même
AUPA BOTony Le Pouilleux a écrit :C'est étrange, je suis d'accord avec Cocal!
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Beaucoup plus heavy avec des riffs lourds et un album assez inégale (le moyen Silent Man,le refrain fm de Innocence Faded) par rapport a Images.Il n'en reste pas moins un tres tres grand album avec des monuments que sont : The Mirror,Erotomania (a partir de 2'30... !!!), j'aime bien avec du recul Lifting Shadows Of A Dream et le dernier morceau de Kevin Moore : Space Dye Vest.(une melancolie pas possible sur ce morceau,une putain d'emotion...par la suite Moore forma Chroma Key avec des titres toutes en ambiances plus prog du tout.).
4/5
4/5
Dante : Hey, what you rent ?
Dante : Best of Both Worlds ?
Randall : Hermaphroditic Porn, starlets with both organs.Beautiful chicks with dicks that put mine to shame !
Dante : You rented this ?
Randall : I like to expand my horizons.
Dante : Best of Both Worlds ?
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Dante : You rented this ?
Randall : I like to expand my horizons.
- Mout Mout
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- Enregistré le : 14 juin 2005, 00:06
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Un bon 4/5 avec l'album de l'avant Rudess qui represente peut être le mieux le style metal-prog'. Un excellent album a part peut être Space Dye Vest que je trouve un peu sans intérêt (desole pour ceux qui l'apprecient) mais bon...
- Everflow
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- Enregistré le : 04 sept. 2002, 21:27
- Localisation : Beyond Within
"Space Dye Vest" c'est devenu ma préférée avec le temps, avec ce morceau ils avaient prouvé qu'ils n'avaient pas besoin de déballer de la technique à tout va.
Et puis l'épique "Voices" bien sûr
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I'm the lost one chasing colors to the sun
Colors bleed but never fade
Colors bleed but never fade
-
- Defender of the Faith
- Messages : 5412
- Enregistré le : 24 mars 2007, 14:51
+1, Labrie est insupportable dessusRodger a écrit :Et commment ! Qu'elle chiure ce morceauTalasquin a écrit :Silent Man qui me gonfle pesamment.
Sinon bravo AME, sympa la chro même si ça date un peu!
3/5 pour moi.
-
- Léguman
- Messages : 6024
- Enregistré le : 30 juil. 2004, 15:20
- Localisation : On the roads to madness
Bon je l'ai réécouté ce week end, e, opérant une sélection de sorte à obtenir un album de pog de 50 minutes (autrement dit, virés les Silanet Man, Innocence faded, lifting machin...) et là...
Bin de photo il n'y a point.
C'est 5/5 non négociable, ferme, définitif et TTC.
Le son est ENORME. La variété de sons de Petrucci en solo est bandante.
Je déplore juste le fait que Kevin Moore, l'esprit ailleurs se soit trop mis en retrait derrière Petrucci, mais quand même, partir sur Space Dye Vest, on peut tout pardonner.
Bin de photo il n'y a point.
C'est 5/5 non négociable, ferme, définitif et TTC.
Le son est ENORME. La variété de sons de Petrucci en solo est bandante.
Je déplore juste le fait que Kevin Moore, l'esprit ailleurs se soit trop mis en retrait derrière Petrucci, mais quand même, partir sur Space Dye Vest, on peut tout pardonner.
Cacolac, pour la soif et pour le plaisir.
Mon premier Dream Theater que j'avais acheté en 98 ou 99. A cet époque là le groupe était déjà super connu et je voulais m'interesser à ce phénomène (je voulais aimer ce groupe ). Bref mes débuts avec le prog et j'ai trouvé les morceaux trop longs mais y a du bon. J'aime beaucoup Erotomania et The Mirror, mais je ne réecoute jamais cet album. De toute façon le prog ça me saoule
3/5 en restant objectif.
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- Defender of the Faith
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- Enregistré le : 24 mars 2007, 14:51
Personne n'a remarqué que le son est différent sur "Space-Dye Vest"? Mixage différent, léger souffle de bande analogique...
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- Defender of the Faith
- Messages : 5412
- Enregistré le : 24 mars 2007, 14:51
Tu crois qu'il s'agit d'un effet? J'avais plutôt pensé que comme c'est un titre entièrement composé par Kevin Moore, ça a fait chier les autres membres du groupe de bien le produire comme le reste du disque!
- Klosterheim
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- Enregistré le : 22 févr. 2004, 16:45
- Localisation : Roazhon-616
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Je ne suis pas un gros fan de Dream Theater, mais Awake constitue pour moi une réussite totale, je lui colle 5/5 direct. ça fait 11 ans que j'écoute l'album et il en me lasse toujours pas.
Si je dois m'exiler sur une île, Awake fait partie des 10 cds que j'emporte avec moi.
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You dare address me?
I was ancient when your ancestors
were naught but protoplasmic slime!
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