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Règles tout seul tes comptes avec le G@sp ,ma biche , ne te sert pas de moi comme bouclier
Roger Waters mini tour 2006/ Cr de Verone/Dates 2007 !
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Pour une tournée, SVP postez toutes les dates européennes disponibles dans le topic + la période ou quelques dates dans le titre du topic.
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Shadowivre
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Gandalf
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Ok, pas comme bouclier...Mais eventuellement je peux me servir de toi comme.....
.......
punching ball, en toute amitié bien sur ?!
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punching ball, en toute amitié bien sur ?!
GANDALF 
"Seize the day or die regretting the time you lost
It's empty and cold without you here, too many people to ache over"
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Shadowivre
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Tu viendras m'essuiyer le sang qui aura coulé au moins après ?
J'espère qu'on me récompensera comme je le mérite en m'offrant une sucette à la cerise !
J'espère qu'on me récompensera comme je le mérite en m'offrant une sucette à la cerise !
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Damnation Game
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Shadowivre a écrit :Règles tout seul tes comptes avec le G@sp ma biche , ne te sert pas de moi comme bouclier
féfééééé a écrit :Ouais enfin, c'est qu'un chien, quoi. Quand je pense aux femmes brûlées vive, dans le monde et par chez nous, ça me révolte plus que ce simple fait divers...
Chacal a écrit :tu dis ça parce que t'es un hippopotame...
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Shadowivre
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Je crois que j'ai oublié une virgule quelque part 
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Le G@SP
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instinctivement je me suis dit qu'il fallait que je lise ce sujet sur roger toilettes, et je vois qu'on m'utilise encore 
Vous verrez quand je serai président, j'interdirai tout CR non metal dans hell on stage, vous ferez moins les malins!
Vous verrez quand je serai président, j'interdirai tout CR non metal dans hell on stage, vous ferez moins les malins!Viva, viva, viva the Blues / In Aztec land they will play like gods / Viva, viva, viva the blues / The sombreros will have eyes just for them / REMEMBER... =T=
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Damnation Game
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T'inquiète pas j'avais bien compris que c'était pas G@sp TA bicheShadowivre a écrit :Je crois que j'ai oublié une virgule quelque part
Je comprends pas comment tu ne t'es pas encore fait avoiner pour ça
féfééééé a écrit :Ouais enfin, c'est qu'un chien, quoi. Quand je pense aux femmes brûlées vive, dans le monde et par chez nous, ça me révolte plus que ce simple fait divers...
Chacal a écrit :tu dis ça parce que t'es un hippopotame...
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Le G@SP
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parce que c'était impensable qu'elle puisse avoir de l'affection pour moi? 
Viva, viva, viva the Blues / In Aztec land they will play like gods / Viva, viva, viva the blues / The sombreros will have eyes just for them / REMEMBER... =T=
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Damnation Game
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Avoir de l'affection pour toi au contraire ça m'etonne pas mais avoir de l'affection pour certains autres, cela me paraît déjà plus étonnant ... 
féfééééé a écrit :Ouais enfin, c'est qu'un chien, quoi. Quand je pense aux femmes brûlées vive, dans le monde et par chez nous, ça me révolte plus que ce simple fait divers...
Chacal a écrit :tu dis ça parce que t'es un hippopotame...
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Gandalf
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Je ne dirai rien parce que j'affectionne particulierement ton auguste fessier qui a concouru au Sexy Girls of Wacken.
Mais j'en pense pas moins....bichette...
Mais j'en pense pas moins....bichette...
GANDALF
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Talasquin
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Visiblement ils en ont rajouté, c'est à nouveau réservable pour la date du 3 Mai.Gandalf a écrit :Les dates de Paris ne sont déjà plus reservable sur le reseau fnac.
Et pour les vrais bobos, y'a le pack VIP à 242 € :
1 place de 1ère catégorie en tribune latérale basse + 1 place de parking (valable pour 2 packs achetés)+ Accueil privatif Porte 35 à partir de 19h00+ Pass VIP donnant accès au cocktail dînatoire en 2 parties avant & après le spectacle dans le salon Vantage, aménagé & décoré. Cocktail, champagne, vin & alcools à volonté +Remise d'un cadeau souvenir.
C'est surtout sympa pour la place de parking
Cacolac, pour la soif et pour le plaisir.
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Gandalf
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Barcelone 21/04/07 au Palau Sant Jordi.
Après Verone en plein air l'an dernier, et 12 jours avant un Bercy complet depuis un moment, je me bougeais à Barcelone en ce beau week end d'avril pour prendre une nouvelle fois dans les mirettes et dans les esgourdes un show magistral de Mister Roger Waters ! Et qui plus est, en compagnie d'amis très proches ainsi que de mon père, bref, ce ne pouvait qu'être encore un très grand moment de Bonheur...
Et pourtant, ca commence pas super bien en arrivant dans la capitale catalane, car après avoir récupéré Clo et Damna dans leur caisse à la frontière, et avoir roulé grand train sous un soleil ecrasant, on se retrouve subitement sous de lourds nuages menacants...Puis on retrouve l'hotel habituel, mais evidemment pas de places..Alors on commence à tourner. Et à ce que je crois être un rond point, je fais demi-tour...pour être interpellé par les flics municipaux locaux...Je me dis qu'ils seront sympas avec un français qui n'a pas très bien compris leur signalétique douteuse (aucun panneau d'interdiction de faire demi tour), mais voila t il pas qu'un pur jeune cowboy apparait pour nous faire signe de nous mettre sur le coté, ma caisse et Clo derrière ayant suivie le mouvement... Ce mec representait un tel archétype du flic qui se la joue, que ca en été risible au possible.
Les lunettes miroir fumées, un non sourire arrogant, une clope dans un main, et le sifflet negligement porté aux lèvres. D'emblée on a su qu'il n'etait même pas la peine d'argumenter ! Allez hop, papiers, et 45 euros par voiture ! Du racket pur et simple, avec en prime quelques piques anti-touristes du collègue à notre cowboy, qui lui etait encore plus antipathique, demandant à Damna de baisser la musique parce que c'etait interdit, etc etc... Bien hein ?! Et une fois que les deux gonzes furent partis, y en a d'autres qui se sont mis de l'autre coté de l'avenue, et quand des espagnols ont voulu aussi faire le demi tour, ils ont été sifflés...et les flics leur ont fait signe de continuer tout droit...Edifiant n'est ce pas ? Enfin je vous passe le reste des details...
Après ca, on a tourné et encore tourné pour trouver une place...qu'on trouvera finalement une heure dix après être entré dans la ville ! Et encore, à 15 minutes à pieds ! Je vous le dis, on allait pas la rebouger jusqu'au départ !
Heureusement, les "galères" s'arrêtent là. Même si Hervé ralera longtemps qu'on soit arrivé trop tard pour manger au Hard Rock, à moins d'attendre plus d'une heure dans la file !
Après un resto de secours sans saveur, on trouve un bar purement Metal, et ça fait du bien ! On descend des binouses, puis on se balade, puis revient à ce bar, puis pendant que les autres vont se doucher et nous attendront, avec mon père on trouve un fabuleux resto à Tapas, le vrai, et même si on culpabilise un peu de faire attendre le reste de l'equipe, on se goinfre dans les règles de l'art :p
Il est temps ensuite de prendre deux taxis pour rejoindre l'equivalent d'un bercy (17 000 personnes) plein comme un oeuf ! Ayant eu les places par internet, via Mosaico (je conseille leur serieux), on est obligé de faire la queue à un guichet unique (ça c'est à améliorer...), ce qui va nous faire rater les deux premiers titres ! "In the Flesh", puis "Mother" résonnent de l'exterieur...On se dépêche, car on rale de rater ces deux morceaux. On rentre tout en haut de la salle, du mauvais coté, forcément... On "aggresse" alors chaque steward que l'on croise, pour savoir où on doit aller exactement.
Alors que le terrible "Set the controls for the heart of the sun" s'enchaine, on finit par trouver la bonne section...Mais pas la bonne travée, ce qu'on ne sait pas tout de suite... Quatre de nous s'asseyons, mais un couple est au milieu. Je demande donc poliment au mec s'il veut juste echanger avec les deux autres qui sont à leur gauche...Le mec me prend de haut et ne veut absolument rien savoir, me demandant de me reculer pour mieux y voir. Je réitère, et la même attitude imbue et de connard ! Mon père intervient alors que je commence vraiment à m'énerver, prenant ma place, et lui bouchant encore plus la vue par sa stature !
Au final on comprendra qu'on est trois travées plus haut que celle qui nous est dévolue ! Ce qui n'empechait pas le mec d'être sympa...
Après toutes ces péripéties, je vais enfin pouvoir apprécier le concert à sa juste valeur. Et il etait temps, parce que l'unique "Shine on your crazy diamonds" electrise la salle, suivi d'un "Have the cigar" plus musclé que sur album, pour déjà me transporter sur MON "Wish you were here"...
Ca y est, je suis rentré dans le live, pour ne plus en sortir jusqu'à la fin, plus de deux heures après...
Il n'y a aucun changement de setlist par rapport au 2006 tour, juste quelques effets visuels qui diffèrent. Mais je ne vais pas me plaindre. Au contraire, je suis plus qu'impatient d'être à Bercy pour encore une fois rêver, rire, pleurer, être totalement et pleinement heureux.
Un live d'une telle intensité emotionnelle ne peux se traduire en vulgaires mots, il suffit juste de savoir que ca empli les gens d'une passion sereine, et que pour moi, ca exprime la quintessence de la Musique.
Le son etait encore une fois limpide et puissantissime à la fois, les effets visuels (lights, cochon gonflable, spationaute, jeux stroboscopiques, etc...) magnifiques, en accord total avec chaque changement de rythme, chaque nuance, tout est réglé à la perfection. Et c'est pas facile avec une musique aussi riche.
Les zicos sont au sommet de leur art, notamment ce gratteux, Dave Kilminster, qui volent arrivent parfois à voler la vedette à Waters himself ! Il chante parfaitement, il assure des parties de grattes magnifiques, il a un sacré charisme...Vraiment un grand grand musicien.
Quant à Waters...Que dire...Heureux d'être là, un plaisir de jouer qui force le respect, un grand monsieur.
Avec un public omniprésent, qui est à l'unisson de bout en bout. Que ce soit pour les titres du Floyd, mais aussi pour ceux de la carrière solo du Maitre. Notamment ce "Perfect sense" coup de poing, et ce magique "Leaving Beirut", qui m'avait epoustouflé l'an dernier, racontant une tranche de vie de Waters qund il etait jeune, et veritable pamphlet contre la guerre en territoire arabe. Grande emotion encore une fois sur cette chanson.
La deuxième partie du show, avec l'intéralité de "Dark side of the moon" (ce "Us and them" poignant...), plus un enchainement tiré du "Wall" (ce long "Comfortably numb" d'un autre monde...) qui monte le public sur ressort, se passe de tout commentaire. Parfait. Tout simplement. Une immersion totale dans un océan de sens. Une longue standing ovation pour conclure cette prestation fantastique. Et un dur retour aux réalités avec le rallumage des feux...
Chapeau bas Roger Waters, vous faites vivre le grand Floyd à travers chaque concert, que cela perdure longtemps... See you in Paris.. Et partout où je pourrai aller dans le monde pour ressentir intensement tant de Bonheur.
Setlist:
In the flesh
Mother
Set the controls for the heart of the sun
Shine on your crazy diamonds
Have a cigar
Wish you were here
Southampton dock
The Fletcher memorial home
Perfect sense
Leaving Beirut
Sheep
Entracte
Dark side of the moon (complet)
Rappel:
Another brick in the wall (part 2)
Vera
Bring the boys back homme
Comfortably numb
GANDALF BREATHE
Après Verone en plein air l'an dernier, et 12 jours avant un Bercy complet depuis un moment, je me bougeais à Barcelone en ce beau week end d'avril pour prendre une nouvelle fois dans les mirettes et dans les esgourdes un show magistral de Mister Roger Waters ! Et qui plus est, en compagnie d'amis très proches ainsi que de mon père, bref, ce ne pouvait qu'être encore un très grand moment de Bonheur...
Et pourtant, ca commence pas super bien en arrivant dans la capitale catalane, car après avoir récupéré Clo et Damna dans leur caisse à la frontière, et avoir roulé grand train sous un soleil ecrasant, on se retrouve subitement sous de lourds nuages menacants...Puis on retrouve l'hotel habituel, mais evidemment pas de places..Alors on commence à tourner. Et à ce que je crois être un rond point, je fais demi-tour...pour être interpellé par les flics municipaux locaux...Je me dis qu'ils seront sympas avec un français qui n'a pas très bien compris leur signalétique douteuse (aucun panneau d'interdiction de faire demi tour), mais voila t il pas qu'un pur jeune cowboy apparait pour nous faire signe de nous mettre sur le coté, ma caisse et Clo derrière ayant suivie le mouvement... Ce mec representait un tel archétype du flic qui se la joue, que ca en été risible au possible.
Les lunettes miroir fumées, un non sourire arrogant, une clope dans un main, et le sifflet negligement porté aux lèvres. D'emblée on a su qu'il n'etait même pas la peine d'argumenter ! Allez hop, papiers, et 45 euros par voiture ! Du racket pur et simple, avec en prime quelques piques anti-touristes du collègue à notre cowboy, qui lui etait encore plus antipathique, demandant à Damna de baisser la musique parce que c'etait interdit, etc etc... Bien hein ?! Et une fois que les deux gonzes furent partis, y en a d'autres qui se sont mis de l'autre coté de l'avenue, et quand des espagnols ont voulu aussi faire le demi tour, ils ont été sifflés...et les flics leur ont fait signe de continuer tout droit...Edifiant n'est ce pas ? Enfin je vous passe le reste des details...
Après ca, on a tourné et encore tourné pour trouver une place...qu'on trouvera finalement une heure dix après être entré dans la ville ! Et encore, à 15 minutes à pieds ! Je vous le dis, on allait pas la rebouger jusqu'au départ !
Heureusement, les "galères" s'arrêtent là. Même si Hervé ralera longtemps qu'on soit arrivé trop tard pour manger au Hard Rock, à moins d'attendre plus d'une heure dans la file !
Après un resto de secours sans saveur, on trouve un bar purement Metal, et ça fait du bien ! On descend des binouses, puis on se balade, puis revient à ce bar, puis pendant que les autres vont se doucher et nous attendront, avec mon père on trouve un fabuleux resto à Tapas, le vrai, et même si on culpabilise un peu de faire attendre le reste de l'equipe, on se goinfre dans les règles de l'art :p
Il est temps ensuite de prendre deux taxis pour rejoindre l'equivalent d'un bercy (17 000 personnes) plein comme un oeuf ! Ayant eu les places par internet, via Mosaico (je conseille leur serieux), on est obligé de faire la queue à un guichet unique (ça c'est à améliorer...), ce qui va nous faire rater les deux premiers titres ! "In the Flesh", puis "Mother" résonnent de l'exterieur...On se dépêche, car on rale de rater ces deux morceaux. On rentre tout en haut de la salle, du mauvais coté, forcément... On "aggresse" alors chaque steward que l'on croise, pour savoir où on doit aller exactement.
Alors que le terrible "Set the controls for the heart of the sun" s'enchaine, on finit par trouver la bonne section...Mais pas la bonne travée, ce qu'on ne sait pas tout de suite... Quatre de nous s'asseyons, mais un couple est au milieu. Je demande donc poliment au mec s'il veut juste echanger avec les deux autres qui sont à leur gauche...Le mec me prend de haut et ne veut absolument rien savoir, me demandant de me reculer pour mieux y voir. Je réitère, et la même attitude imbue et de connard ! Mon père intervient alors que je commence vraiment à m'énerver, prenant ma place, et lui bouchant encore plus la vue par sa stature !
Au final on comprendra qu'on est trois travées plus haut que celle qui nous est dévolue ! Ce qui n'empechait pas le mec d'être sympa...
Après toutes ces péripéties, je vais enfin pouvoir apprécier le concert à sa juste valeur. Et il etait temps, parce que l'unique "Shine on your crazy diamonds" electrise la salle, suivi d'un "Have the cigar" plus musclé que sur album, pour déjà me transporter sur MON "Wish you were here"...
Ca y est, je suis rentré dans le live, pour ne plus en sortir jusqu'à la fin, plus de deux heures après...
Il n'y a aucun changement de setlist par rapport au 2006 tour, juste quelques effets visuels qui diffèrent. Mais je ne vais pas me plaindre. Au contraire, je suis plus qu'impatient d'être à Bercy pour encore une fois rêver, rire, pleurer, être totalement et pleinement heureux.
Un live d'une telle intensité emotionnelle ne peux se traduire en vulgaires mots, il suffit juste de savoir que ca empli les gens d'une passion sereine, et que pour moi, ca exprime la quintessence de la Musique.
Le son etait encore une fois limpide et puissantissime à la fois, les effets visuels (lights, cochon gonflable, spationaute, jeux stroboscopiques, etc...) magnifiques, en accord total avec chaque changement de rythme, chaque nuance, tout est réglé à la perfection. Et c'est pas facile avec une musique aussi riche.
Les zicos sont au sommet de leur art, notamment ce gratteux, Dave Kilminster, qui volent arrivent parfois à voler la vedette à Waters himself ! Il chante parfaitement, il assure des parties de grattes magnifiques, il a un sacré charisme...Vraiment un grand grand musicien.
Quant à Waters...Que dire...Heureux d'être là, un plaisir de jouer qui force le respect, un grand monsieur.
Avec un public omniprésent, qui est à l'unisson de bout en bout. Que ce soit pour les titres du Floyd, mais aussi pour ceux de la carrière solo du Maitre. Notamment ce "Perfect sense" coup de poing, et ce magique "Leaving Beirut", qui m'avait epoustouflé l'an dernier, racontant une tranche de vie de Waters qund il etait jeune, et veritable pamphlet contre la guerre en territoire arabe. Grande emotion encore une fois sur cette chanson.
La deuxième partie du show, avec l'intéralité de "Dark side of the moon" (ce "Us and them" poignant...), plus un enchainement tiré du "Wall" (ce long "Comfortably numb" d'un autre monde...) qui monte le public sur ressort, se passe de tout commentaire. Parfait. Tout simplement. Une immersion totale dans un océan de sens. Une longue standing ovation pour conclure cette prestation fantastique. Et un dur retour aux réalités avec le rallumage des feux...
Chapeau bas Roger Waters, vous faites vivre le grand Floyd à travers chaque concert, que cela perdure longtemps... See you in Paris.. Et partout où je pourrai aller dans le monde pour ressentir intensement tant de Bonheur.
Setlist:
In the flesh
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Rappel:
Another brick in the wall (part 2)
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ROGER WATERS à Barcelone. J'en rêvais, je l'ai fait! Dur d'écrire derrière Gandalf mais je m'y essaie, parce que ce concert fut important pour moi.
Déjà, le contexte est un peu exotique, car passer des volcans aux palmiers, du patois bougnat aux roulements furieux des R, c'est exotique. Néanmoins, le comité d'accueil à notre arrivée fut des plus.... désagréable. Sur ce qu'a dit Gandalf, je rajouterais que notre Starsky espagnol (Hutch n'ayant visiblement pas de langue, se contentant d'être un pseudo beau gosse à ray-ban mégotant) étant un bel exemple de la xénophobie espagnole car, comprenant tout ce qu'il disait, je l'ai quand même entendu dire:
"ici, vous êtes en Espagne. Vous devez respecter les lois espagnoles. Pas de musique forte (alors qu'il y avait, tout le week end et dans toute la ville, des concerts de rue...), et si ça ne vous plait pas, retournez dans votre pays!!!"
J'étais zoutrée, et j'ai demandé à l'assemblée, qui n'a pas très bien compris pourquoi sur le moment, si nous étions bien en Europe.
Ensuite, effectivement, nous avons subi les tapas de Gandalf
et Merlin 
, et je vous garantie que, dans la file d'attente pour retirer nos billets, alors que j'entendais le concert commencer ( ), j'ai grougnouté tout ce que j'ai pu et que je me suis essayée au karaté sur le corps tatoué de Gandalf!
Arrive enfin le meilleur!
Waters en personne, enfin, 17000 paires d'yeux braquées sur sa silhouette , sa voix toujours aussi puissante. Les deux heures de concert sont passées rapidement, l'entracte nous permettant de retrouver nos bonnes places!
Le jeu de scène était simple mais efficace, rajoutant à l'orgasme auditif le plaisir visuel d'un cochon volant (je ne pouvais pas le louper, pensez bien!), de jeux de lumières hypnotisant sur la foule et d'un zeste de pyrotechnie, juste assez pour m'émerveiller comme une gamine.
J'étais là, contemplative, à regarder cet homme qui a survolé plusieurs générations par ses albums (bien représentées par le public de tous âges), en prenant plein les mirettes et les oreilles, consciente de partager ce moment unique avec mon warrior, mon brother et mes amis. Et ça, c'était magique. Il y avait une logique de messages dans ce concert, messages engagés conre les conneries de ce monde et ça aussi, j'ai beaucoup apprécié. Et puis la folie sur le rappel, comme l'a dit Hervé (je vous le fais avé l'accent):
"Putaing, c'est pour ça que je suis venu!!!!!!!!!!" 
Le lendemain, j'ai halluciné sur le nombre de Barcelonais qui abhorait fièrement leur tee shirt de Roger Waters du concert de la veille, c'est pas en France qu'on verrait ça, et des gens de 20 à 60 ans! Dommage que je n'avais pas le mien, ça aurait prolongé ces moments parfaits de partage (d'ailleurs, Gandalf, m'oublies pas sur panam', hein?
)
Voilà, j'ai enfin pondu mon report. Merci de m'avoir lu.
Déjà, le contexte est un peu exotique, car passer des volcans aux palmiers, du patois bougnat aux roulements furieux des R, c'est exotique. Néanmoins, le comité d'accueil à notre arrivée fut des plus.... désagréable. Sur ce qu'a dit Gandalf, je rajouterais que notre Starsky espagnol (Hutch n'ayant visiblement pas de langue, se contentant d'être un pseudo beau gosse à ray-ban mégotant) étant un bel exemple de la xénophobie espagnole car, comprenant tout ce qu'il disait, je l'ai quand même entendu dire:
"ici, vous êtes en Espagne. Vous devez respecter les lois espagnoles. Pas de musique forte (alors qu'il y avait, tout le week end et dans toute la ville, des concerts de rue...), et si ça ne vous plait pas, retournez dans votre pays!!!"
J'étais zoutrée, et j'ai demandé à l'assemblée, qui n'a pas très bien compris pourquoi sur le moment, si nous étions bien en Europe.
Ensuite, effectivement, nous avons subi les tapas de Gandalf
et Merlin , et je vous garantie que, dans la file d'attente pour retirer nos billets, alors que j'entendais le concert commencer ( ), j'ai grougnouté tout ce que j'ai pu et que je me suis essayée au karaté sur le corps tatoué de Gandalf! Arrive enfin le meilleur!
Waters en personne, enfin, 17000 paires d'yeux braquées sur sa silhouette , sa voix toujours aussi puissante. Les deux heures de concert sont passées rapidement, l'entracte nous permettant de retrouver nos bonnes places!
Le jeu de scène était simple mais efficace, rajoutant à l'orgasme auditif le plaisir visuel d'un cochon volant (je ne pouvais pas le louper, pensez bien!), de jeux de lumières hypnotisant sur la foule et d'un zeste de pyrotechnie, juste assez pour m'émerveiller comme une gamine.
J'étais là, contemplative, à regarder cet homme qui a survolé plusieurs générations par ses albums (bien représentées par le public de tous âges), en prenant plein les mirettes et les oreilles, consciente de partager ce moment unique avec mon warrior, mon brother et mes amis. Et ça, c'était magique. Il y avait une logique de messages dans ce concert, messages engagés conre les conneries de ce monde et ça aussi, j'ai beaucoup apprécié. Et puis la folie sur le rappel, comme l'a dit Hervé (je vous le fais avé l'accent):
"Putaing, c'est pour ça que je suis venu!!!!!!!!!!"
Le lendemain, j'ai halluciné sur le nombre de Barcelonais qui abhorait fièrement leur tee shirt de Roger Waters du concert de la veille, c'est pas en France qu'on verrait ça, et des gens de 20 à 60 ans! Dommage que je n'avais pas le mien, ça aurait prolongé ces moments parfaits de partage (d'ailleurs, Gandalf, m'oublies pas sur panam', hein?
)Voilà, j'ai enfin pondu mon report. Merci de m'avoir lu.
