Il a raison, Dark Schneider, c'est pas parce qu'une chanson commence doucement et qu'elle s'emballe que c'est nécessairement une power-ballad.
Le mieux, c'est d'illustrer avec un exemple concret: faut s'imaginer en train de danser un slow avec ta copine; sur "Still Loving You", tu danses du début à la fin, et quand la chanson s'emporte, ça reste toujours fort et poignant et tu restes toujours à danser ton slow avec elle, même si tu la serres un peu plus fort. Ca marche avec des titres comme "Fade to Black" ou "Nothing Else Matters".
Sur "Children of the Damned", okay, au début, tu danses ton slow avec elle mais quand le ton monte après le deuxième refrain, c'est plus possible,
tu la balances par la fenêtre et tu headbangues comme un fou
C'est le propre d'un titre comme "(Welcome Home) Sanitarium".
Quant à "A Touch of Evil", il n'appartient à aucune des deux catégories. C'est un titre lent, c'est tout, ça n'a rien à voir avec une power-ballad. C'est comme "Dead Heart in a Dead World", même le début n'a rien d'une ballade. En revanche, j'aurais plus vu un titre comme "Believe in Nothing".
En somme, une power-ballad, ça doit rester dans l'esprit d'une ballade même dans les passages les plus énervés

"Ma mère ?! Vous voulez dire que j’aurais un ticket avec ma mère ?! Oh, dur, c’est pas le pied !
- Encore ? Mais qu'est-ce que c’est que ces histoires de pieds ? Les pieds seraient-ils le point sensible des hommes du futur ? C’est peut-être dû à un accroissement de l'apesanteur...
- Quoi ???"