[CD] THE PROWLERS : Devil’s Bridge (2006)
Modérateurs : Modérateurs du forum, Responsables / Animateurs de sections
- metal militia
- Defender of the Faith
- Messages : 7033
- Enregistré le : 04 juil. 2005, 16:02
- Localisation : chatenay malabry 92
THE PROWLERS : Devil’s bridge (Locomotive records)
Evidemment, quand on voit qu’un groupe se nomme de cette façon, on s’attend à un énième mauvais clone d’ Iron Maiden….. et bien quelle erreur !
Si les Italiens de The Prowlers ont choisis un tel nom, c’est parce qu’à l’origine ils n’étaient qu’un groupe de reprises de Iron Maiden. Mais après quelques années, le groupe décide de composer son propre matériel ce qui se concrétisa par un premier album « soul thieves » sorti en 2003.
Trois ans plus tard, le groupe revient avec ce « Devil’s bridge » qui annonce déjà une évolution dans le groupe. Exit le heavy du premier album et place à un power métal à consonances progressives. Cette nouvelle direction a été marquée par l’arrivée d’un nouveau membre et de son clavier, Max Destefano, fan de prog’ et notamment de Dream Theater, Rush ou Marillion
Mais ne vous y méprenez pas, on n’est pas là en présence d’un sous Dream theater à la sauce italienne. Déjà parce que les Romains ne partent pas dans des délires prog’ sans queue ni tête, comme le prouve la durée raisonnable de leurs titres avoisinant les six minutes dans l’ensemble. Mais aussi parce la mélodie prend le pas sur des changements de rythmes incessants (bien trop répandu dans l’univers prog’) rendant bien plus agréable l’écoute de ce second opus.
Les points positifs de cet album se situent surtout dans les batailles entre les solos de claviers et de guitares particulièrement bien agencés, qui apportent un plus indéniables aux compositions. Le chant typé heavy tend vers l’aigu mais s’incorpore très bien à cette musique heavy/prog’. Les vocaux sur les refrains sont d’ailleurs imparables et deviennent vite des hymnes qui se logent dans votre caboche pour ne plus en ressortir avant un bon moment, pour notre plus grand plaisir!
Seule petite fantaisie, les trois derniers titres donnant le nom de l’album, se penche sur une légende historique relative à la construction d’un pont. Pour la petite histoire, un maître d’œuvre aurait passé un pacte avec le diable pour permettre de finir la construction du pont à condition que l’âme du premier humain à le traverser lui appartienne. Une fois le pont achevé, personne ne voulait le traverser, jusqu’à ce que l’un d’entre eux eu la bonne idée de faire traverser un animal en premier afin de berner le diable.
Outre l’aspect composition réussi, un soin tout particulier a été apporté au son de ce « Devil’s bridge » puisque c’est Tommy Hansen (Helloween, Pretty Maids, TNT, Beyond Twilight) qui se chargea du mixage de cet album, ce qu’il fit au Danemark dans le Jailhouse studio.
Pas grand-chose à reprocher à cet l’album si ce n’est peut peu être son faible nombre de titres puisque n’en comprenant que dix. Surtout que parmi ceux-ci on compte un instrumental et un prélude d’une minute pour les titres concept entourant « devil’s bridge ». Dépassant tout de même les 50 minutes, on ne sent pas lésé par cet opus, et comme tout bon album on a envie de le remettre une fois arrivé à son terme.
Un dernier conseil : Ce « Devil’s bridge » s’adresse plus aux fans de heavy qui ne sont pas allergiques aux claviers, qu’aux vrais progeux qui risquent de trouver cet album trop simple d’approche avec ces mélodies imparables.
Note : 4/5
Site : http://www.theprowlers.com
Mp3 : http://www.theprowlers.com/content/mp3/ ... hedark.mp3
Evidemment, quand on voit qu’un groupe se nomme de cette façon, on s’attend à un énième mauvais clone d’ Iron Maiden….. et bien quelle erreur !
Si les Italiens de The Prowlers ont choisis un tel nom, c’est parce qu’à l’origine ils n’étaient qu’un groupe de reprises de Iron Maiden. Mais après quelques années, le groupe décide de composer son propre matériel ce qui se concrétisa par un premier album « soul thieves » sorti en 2003.
Trois ans plus tard, le groupe revient avec ce « Devil’s bridge » qui annonce déjà une évolution dans le groupe. Exit le heavy du premier album et place à un power métal à consonances progressives. Cette nouvelle direction a été marquée par l’arrivée d’un nouveau membre et de son clavier, Max Destefano, fan de prog’ et notamment de Dream Theater, Rush ou Marillion
Mais ne vous y méprenez pas, on n’est pas là en présence d’un sous Dream theater à la sauce italienne. Déjà parce que les Romains ne partent pas dans des délires prog’ sans queue ni tête, comme le prouve la durée raisonnable de leurs titres avoisinant les six minutes dans l’ensemble. Mais aussi parce la mélodie prend le pas sur des changements de rythmes incessants (bien trop répandu dans l’univers prog’) rendant bien plus agréable l’écoute de ce second opus.
Les points positifs de cet album se situent surtout dans les batailles entre les solos de claviers et de guitares particulièrement bien agencés, qui apportent un plus indéniables aux compositions. Le chant typé heavy tend vers l’aigu mais s’incorpore très bien à cette musique heavy/prog’. Les vocaux sur les refrains sont d’ailleurs imparables et deviennent vite des hymnes qui se logent dans votre caboche pour ne plus en ressortir avant un bon moment, pour notre plus grand plaisir!
Seule petite fantaisie, les trois derniers titres donnant le nom de l’album, se penche sur une légende historique relative à la construction d’un pont. Pour la petite histoire, un maître d’œuvre aurait passé un pacte avec le diable pour permettre de finir la construction du pont à condition que l’âme du premier humain à le traverser lui appartienne. Une fois le pont achevé, personne ne voulait le traverser, jusqu’à ce que l’un d’entre eux eu la bonne idée de faire traverser un animal en premier afin de berner le diable.
Outre l’aspect composition réussi, un soin tout particulier a été apporté au son de ce « Devil’s bridge » puisque c’est Tommy Hansen (Helloween, Pretty Maids, TNT, Beyond Twilight) qui se chargea du mixage de cet album, ce qu’il fit au Danemark dans le Jailhouse studio.
Pas grand-chose à reprocher à cet l’album si ce n’est peut peu être son faible nombre de titres puisque n’en comprenant que dix. Surtout que parmi ceux-ci on compte un instrumental et un prélude d’une minute pour les titres concept entourant « devil’s bridge ». Dépassant tout de même les 50 minutes, on ne sent pas lésé par cet opus, et comme tout bon album on a envie de le remettre une fois arrivé à son terme.
Un dernier conseil : Ce « Devil’s bridge » s’adresse plus aux fans de heavy qui ne sont pas allergiques aux claviers, qu’aux vrais progeux qui risquent de trouver cet album trop simple d’approche avec ces mélodies imparables.
Note : 4/5
Site : http://www.theprowlers.com
Mp3 : http://www.theprowlers.com/content/mp3/ ... hedark.mp3
- metal militia
- Defender of the Faith
- Messages : 7033
- Enregistré le : 04 juil. 2005, 16:02
- Localisation : chatenay malabry 92
tiens je me le suis ressorti hier après l'avoir rangé au placard depuis près de deux mois et bien c'est toujours aussi bon!
Le titre en écoute en bas de la chronique "alone in the dark" est d'ailleurs un des meilleurs du cd! (il met 40secondes à démarrer véritablement mais la mélodie ensuite est imparable !)
(mais non mais non ce n'est pas un UP déguisé....
)

Le titre en écoute en bas de la chronique "alone in the dark" est d'ailleurs un des meilleurs du cd! (il met 40secondes à démarrer véritablement mais la mélodie ensuite est imparable !)
(mais non mais non ce n'est pas un UP déguisé....

- Ad Metal Eternam
- Warrior en pyjama
- Messages : 5940
- Enregistré le : 06 sept. 2006, 14:58
- Localisation : Doigt-Bite
- Contact :
J'ai écouté le titre, mais non, je n'aime pas...
De totue façon, depuis que je redécouvre ManOwaR, je n'aime plus rien
De totue façon, depuis que je redécouvre ManOwaR, je n'aime plus rien

"Ma mère ?! Vous voulez dire que j’aurais un ticket avec ma mère ?! Oh, dur, c’est pas le pied !
- Encore ? Mais qu'est-ce que c’est que ces histoires de pieds ? Les pieds seraient-ils le point sensible des hommes du futur ? C’est peut-être dû à un accroissement de l'apesanteur...
- Quoi ???"
- Encore ? Mais qu'est-ce que c’est que ces histoires de pieds ? Les pieds seraient-ils le point sensible des hommes du futur ? C’est peut-être dû à un accroissement de l'apesanteur...
- Quoi ???"
- Ad Metal Eternam
- Warrior en pyjama
- Messages : 5940
- Enregistré le : 06 sept. 2006, 14:58
- Localisation : Doigt-Bite
- Contact :
Mais pas du tout, tu sais bien qu'il n'y a que toi que j'aime, mon bon Yodamann




"Ma mère ?! Vous voulez dire que j’aurais un ticket avec ma mère ?! Oh, dur, c’est pas le pied !
- Encore ? Mais qu'est-ce que c’est que ces histoires de pieds ? Les pieds seraient-ils le point sensible des hommes du futur ? C’est peut-être dû à un accroissement de l'apesanteur...
- Quoi ???"
- Encore ? Mais qu'est-ce que c’est que ces histoires de pieds ? Les pieds seraient-ils le point sensible des hommes du futur ? C’est peut-être dû à un accroissement de l'apesanteur...
- Quoi ???"
-
- Snaggletooth
- Messages : 1822
- Enregistré le : 31 mai 2007, 12:58
Prouve le :
Crie a tout le forum " MOTORHEAD RUUUUUUUUULLLES !!! "

Crie a tout le forum " MOTORHEAD RUUUUUUUUULLLES !!! "

- Ad Metal Eternam
- Warrior en pyjama
- Messages : 5940
- Enregistré le : 06 sept. 2006, 14:58
- Localisation : Doigt-Bite
- Contact :
Arf ! Ah ben nan, j't'aime pas, en fait 

"Ma mère ?! Vous voulez dire que j’aurais un ticket avec ma mère ?! Oh, dur, c’est pas le pied !
- Encore ? Mais qu'est-ce que c’est que ces histoires de pieds ? Les pieds seraient-ils le point sensible des hommes du futur ? C’est peut-être dû à un accroissement de l'apesanteur...
- Quoi ???"
- Encore ? Mais qu'est-ce que c’est que ces histoires de pieds ? Les pieds seraient-ils le point sensible des hommes du futur ? C’est peut-être dû à un accroissement de l'apesanteur...
- Quoi ???"
- metal militia
- Defender of the Faith
- Messages : 7033
- Enregistré le : 04 juil. 2005, 16:02
- Localisation : chatenay malabry 92
ahben j'ai eu raison alors de "Uper" ce topic qui était passé inaperçu à l'époque... 
