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Mardi 2 Août à 23h30 ( !!! ) une émission " Hellfest : le Métal expliqué à ma mère " sur France 4 .Présenté par Thomas VDB (connais pas !! ).Il est chroniqueur à Rock Sound .........Hellfest 2011 (17/19 juin)
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Le G@SP
- Poulpe névrosé
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on lit ce que j'ai écrit sur la page précédente y a presque une semaine, ça fait plaisir 
Le G@SP a écrit :Hellfest : Le metal expliqué à ma mère
Documentaire de François Goetghebeur, diffusé sur France 4 le mardi 2 août 2011 à 23h30
http://www.france4.fr/prog.php?id_prog=15551Le Hellfest c'est 75000 festivaliers de 50 nationalités réunis pendant 3 jours à Clisson, une cité médiévale du Pays de Loire. Metal, punk, hardcore, petits groupe pour connaisseurs et méga stars mondiales, ils sont tous réunis au Hellfest. Thomas VDB, le trublion incontournable de la musique sur France 4 s'embarque dans l'aventure du Hellfest. Il ira à la rencontre des artistes et des festivaliers, tout en parsemant son parcours de questions fondamentales, dont il a le secret.
J'avais bien aimé son one man show alors pourquoi pas
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cillian
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La performance de Doro au Hellfest (que j'ai vue sur Arte Live) m'a vraiment donné envie d'assister à son concert de Lyon cet automne au Ninkasi Kao !! J'espère juste qu'elle n'aura pas le même tourneur que WASP et UDO !!
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Metal Cat
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Tout à fait de ton avis, un concert avec une telle énergie. je serais à Lyon aussi surtout que la dernière fois, il y a quelques années concert annulé au Ninkasi le jour même !!!!!cillian a écrit :La performance de Doro au Hellfest (que j'ai vue sur Arte Live) m'a vraiment donné envie d'assister à son concert de Lyon cet automne au Ninkasi Kao !! J'espère juste qu'elle n'aura pas le même tourneur que WASP et UDO !!
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cillian
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Metal Cat a écrit :Tout à fait de ton avis, un concert avec une telle énergie. je serais à Lyon aussi surtout que la dernière fois, il y a quelques années concert annulé au Ninkasi le jour même !!!!!cillian a écrit :La performance de Doro au Hellfest (que j'ai vue sur Arte Live) m'a vraiment donné envie d'assister à son concert de Lyon cet automne au Ninkasi Kao !! J'espère juste qu'elle n'aura pas le même tourneur que WASP et UDO !!
C'est une blague ? Un concert de Doro au Ninkasi qui avait été annulé (le jour-même) ? Que s'est-il passé ?
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Metal Cat
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je ne sais plus , c'était il y a longtemps , au moins 10 ans !!! ( tour de Fight , il me semble), j'arrivais de Grenoble et un mot sur la porte du Ninkasi : la haine !!
Mais en Octobre elle sera là ....
Mais en Octobre elle sera là ....
J'ai vu ça hier soir. Émission sympathique par contre, ma mère pige toujours couille au Metal.
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cillian
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Ou bien Blackie était dans les parage et l'a convaincue d'annuler le concert !samcdc a écrit :Elle a du choper une Wasponite aigüecillian a écrit :
L'émission d'hier sur le Hellfest et le métal était vraiment sympa ! Je trouve ça super qu'ils aient expliqué l'accord "evil" (le triton). C'était traité avec beaucoup d'humour et de respect ! C'était une bonne surprise.
J'aimerais voir plus souvent ce genre de documentaire sur notre musique. (et pourquoi pas un petit report du Hellfest retransmis à la TV comme ça se faisait dans headbanger's ball à l'époque des monsters of rock de Donington !!!)
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Mr. Gig
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Désolé, mais je vais être beaucoup moins enthousiaste vis-à-vis du documentaire.
Je suis bien d'accord qu'il a le mérite de nous montrer le Hellfest sous le jour de la fidélité, nous révélant de fait certains de ses aspects les plus insolites, qu'il s'agisse du caractère iconoclaste de certains groupes de l'affiche, des accoutrements surréalistes des festivaliers, voire même les impressionnants circle pits, walls of death et consorts, dont il nous offre de belles images, tout en insistant toujours sur l'esprit bon enfant de la chose, de la bonne ambiance qui y règne, etc..
Ça a l'intérêt de faire un petit tour d'horizon du festival, de son organisation au ressenti des riverains, interviews foisonnantes, et bien souvent pertinentes de points de vue bien différents, à l'appui, tout en faisant une part belle à l'humour ; mais le journaliste cabotine trop, a tendance à se répéter, et n'a malheureusement pas toujours quelque chose d'intéressant à dire.
L'impression de survol n'a rien de surprenant dans la mesure où le docu' ne dure qu'une heure, et qu'il en faudrait bien plus pour entrer dans les détails ; mais, franchement, faudra m'expliquer l'intérêt du passage dans la piaule du batteur de T.F.D., où, en dehors de la volonté de prouver, une nouvelle fois, et c'est tout à son honneur, que les hardos et les metalleux sont des gens ordinaires, manifestement VdB ne sait pas comment meubler son idée de départ, sur laquelle il s'attarde ici inutilement.
Tout le contraire en ce qui concerne la distinction entre le Death et le Black : pour les précisions on repassera...
Pas un mot sur les différences d'accordage, la présence de claviers, les adaptations bien distinctes qui sont faites d'un héritage résolument Thrash revendiqué, la structure des phrasés de guitare, les ambiances, les contenus lyriques habituels (l'inspiration satanique ne produit pas des paroles à elle seule), ou même le sous-genre à part entière faisant exception qu'est le Death mélodique.
Idem pour l'explication relative au diabolus in musica, que j'ai trouvée bienvenue, mais qui aurait gagné à être davantage développée. Le guitariste a beau bien résumer le concept d'accord dissonant, ça reste un peu superficiel, en lui donnant le temps de fournir plus de détails sur l'accord lui-même et l'usage qui en fait dans les leitmotivs, il aurait facilement fait l'unanimité de tout musicien lambda.
Dommage, aussi, de ne donner si peu d'extraits musicaux, ou de ne parler que trop brièvement des groupes mentionnés ou visionnés (c'est bien beau de demander si on connaît In Flames ou Pain of Salvation, mais si c'est pour passer à autre chose juste après...) même si, de nouveau, le documentaire a l'intelligence de passer en revue une bonne variété de formations.
Dernier point : la controverse idéologique autour du Hellfest est expédiée, et même si les avis recueillis sont loin d'être manichéens, le fait que son interlocuteur lui parle de "pop louange" (sic) aurait du faire rebondir le journaliste, au même titre que leur bouillie de "rock chrétien", sur le rôle de propagande et d'endoctrinement dégueulasses que ce "courant" joue.
Je veux pas non plus faire l'amalgame avec l'incitation à la haine ou l'antisémitisme provoqués par quelques groupes de Black, mais à cet égard, cette musique ne vaut pas mieux que les tristement célèbres harangues antireligieux de certains.
Un documentaire à voir, plutôt complet, sympathique et marrant, donc, mais, à mon goût, un peu trop décevant par moments.
Je suis bien d'accord qu'il a le mérite de nous montrer le Hellfest sous le jour de la fidélité, nous révélant de fait certains de ses aspects les plus insolites, qu'il s'agisse du caractère iconoclaste de certains groupes de l'affiche, des accoutrements surréalistes des festivaliers, voire même les impressionnants circle pits, walls of death et consorts, dont il nous offre de belles images, tout en insistant toujours sur l'esprit bon enfant de la chose, de la bonne ambiance qui y règne, etc..
Ça a l'intérêt de faire un petit tour d'horizon du festival, de son organisation au ressenti des riverains, interviews foisonnantes, et bien souvent pertinentes de points de vue bien différents, à l'appui, tout en faisant une part belle à l'humour ; mais le journaliste cabotine trop, a tendance à se répéter, et n'a malheureusement pas toujours quelque chose d'intéressant à dire.
L'impression de survol n'a rien de surprenant dans la mesure où le docu' ne dure qu'une heure, et qu'il en faudrait bien plus pour entrer dans les détails ; mais, franchement, faudra m'expliquer l'intérêt du passage dans la piaule du batteur de T.F.D., où, en dehors de la volonté de prouver, une nouvelle fois, et c'est tout à son honneur, que les hardos et les metalleux sont des gens ordinaires, manifestement VdB ne sait pas comment meubler son idée de départ, sur laquelle il s'attarde ici inutilement.
Tout le contraire en ce qui concerne la distinction entre le Death et le Black : pour les précisions on repassera...
Pas un mot sur les différences d'accordage, la présence de claviers, les adaptations bien distinctes qui sont faites d'un héritage résolument Thrash revendiqué, la structure des phrasés de guitare, les ambiances, les contenus lyriques habituels (l'inspiration satanique ne produit pas des paroles à elle seule), ou même le sous-genre à part entière faisant exception qu'est le Death mélodique.
Idem pour l'explication relative au diabolus in musica, que j'ai trouvée bienvenue, mais qui aurait gagné à être davantage développée. Le guitariste a beau bien résumer le concept d'accord dissonant, ça reste un peu superficiel, en lui donnant le temps de fournir plus de détails sur l'accord lui-même et l'usage qui en fait dans les leitmotivs, il aurait facilement fait l'unanimité de tout musicien lambda.
Dommage, aussi, de ne donner si peu d'extraits musicaux, ou de ne parler que trop brièvement des groupes mentionnés ou visionnés (c'est bien beau de demander si on connaît In Flames ou Pain of Salvation, mais si c'est pour passer à autre chose juste après...) même si, de nouveau, le documentaire a l'intelligence de passer en revue une bonne variété de formations.
Dernier point : la controverse idéologique autour du Hellfest est expédiée, et même si les avis recueillis sont loin d'être manichéens, le fait que son interlocuteur lui parle de "pop louange" (sic) aurait du faire rebondir le journaliste, au même titre que leur bouillie de "rock chrétien", sur le rôle de propagande et d'endoctrinement dégueulasses que ce "courant" joue.
Je veux pas non plus faire l'amalgame avec l'incitation à la haine ou l'antisémitisme provoqués par quelques groupes de Black, mais à cet égard, cette musique ne vaut pas mieux que les tristement célèbres harangues antireligieux de certains.
Un documentaire à voir, plutôt complet, sympathique et marrant, donc, mais, à mon goût, un peu trop décevant par moments.
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Le G@SP
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Bah comme tu le dis déjà ça dure qu'une heure, ensuite Thomas VDB qui était journaliste à rock sound entre autre est passé à une carrière de comique comme en témoigne son one man show d'il y a quelques années que j'étais allé voir au théâtre d'ailleurs, il y a un passage où il parle de son interview de Legion de MARDUK qui ressemble à l'humour cabotin qu'il pratique dans son reportage, le coup de la chambre d'hôtel c'est dans le même esprit et ça m'a fait beaucoup rire Donc c'est pas un reportage 100% sérieux, pour ça il vaut mieux voir le documentaire Headbanger's Journey par exemple.
Donc c'est pas un reportage 100% sérieux, pour ça il vaut mieux voir le documentaire Headbanger's Journey par exemple.Viva, viva, viva the Blues / In Aztec land they will play like gods / Viva, viva, viva the blues / The sombreros will have eyes just for them / REMEMBER... =T=
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the fab
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Je viens de le matter et je le trouve très bien. En 1h, VDB n'avait pas le temps de tout dire et c'était pas son but de toute façon.
Olivier64: " Y a pas un groupe plus surestimé que Motley Crue. Les Ramones, c'est du rock progressif à coté !!!!!!"
France 4 - reportage Hellfest
Le lien
http://www.pluzz.fr/hellfest-le-metal-e ... 00h00.html
"le métal expliqué à ma maman"
Il n'explique rien du tout, c'est le prétexte à faire un reportage sur le métal en effleurant les critiques récurrentes qu'il rencontre.
Le journaliste est sympathique, ça se regarde tout seul, et le générique de fin est bien marrant.
http://www.pluzz.fr/hellfest-le-metal-e ... 00h00.html
"le métal expliqué à ma maman"
Il n'explique rien du tout, c'est le prétexte à faire un reportage sur le métal en effleurant les critiques récurrentes qu'il rencontre.
Le journaliste est sympathique, ça se regarde tout seul, et le générique de fin est bien marrant.
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Dark Schneider
- Guardian of the Flame
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- Contact :
Mais on s'en fout de tout ça. Ce n'est pas un reportage pour les musiciens....c'est nettement plus grand public.LaX a écrit : Tout le contraire en ce qui concerne la distinction entre le Death et le Black : pour les précisions on repassera...
Pas un mot sur les différences d'accordage, la présence de claviers, les adaptations bien distinctes qui sont faites d'un héritage résolument Thrash revendiqué, la structure des phrasés de guitare, les ambiances, les contenus lyriques habituels (l'inspiration satanique ne produit pas des paroles à elle seule), ou même le sous-genre à part entière faisant exception qu'est le Death mélodique.
Idem pour l'explication relative au diabolus in musica, que j'ai trouvée bienvenue, mais qui aurait gagné à être davantage développée. Le guitariste a beau bien résumer le concept d'accord dissonant, ça reste un peu superficiel, en lui donnant le temps de fournir plus de détails sur l'accord lui-même et l'usage qui en fait dans les leitmotivs, il aurait facilement fait l'unanimité de tout musicien lambda.
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Mr. Gig
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Bon d'accord, j'exagérais, mais ce que je voulais dire, c'est que, précisément, pour un reportage qui a vocation à "expliquer à sa mère" les principales caractéristiques du genre à travers l'exemple du Hellfest, ce qui, j'insiste, est une très bonne idée, je suis pas certain que le grand public puisse y trouver toutes les réponses à ses questions.
Et, en l'occurrence, expliquer clairement ce qui distingue le Death du Black, entre autres bien sûr, mais je prends ces exemples parce que ce sont ceux qu'il aborde, et, bien souvent, ceux qui suscitent des interrogations de la part des non initiés (c'est en tout cas mon vécu personnel), fait, à mon avis, partie intégrante et légitime dans un reportage qui a cette prétention.
Ce qui me froisse un peu dans ce documentaire, c'est justement qu'une partie des infos ne seront pleinement compréhensibles que par un audimat un minimum connaisseur en le domaine, et c'est dommage.
Et, en l'occurrence, expliquer clairement ce qui distingue le Death du Black, entre autres bien sûr, mais je prends ces exemples parce que ce sont ceux qu'il aborde, et, bien souvent, ceux qui suscitent des interrogations de la part des non initiés (c'est en tout cas mon vécu personnel), fait, à mon avis, partie intégrante et légitime dans un reportage qui a cette prétention.
Ce qui me froisse un peu dans ce documentaire, c'est justement qu'une partie des infos ne seront pleinement compréhensibles que par un audimat un minimum connaisseur en le domaine, et c'est dommage.
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