Koritni

[Gandalf]

Tournée à completer, mais ils viennent de signer sur un label français, donc on a déjà ca.

24/03
RODEZ

27/03
LYON

28/03
PARIS

08/04
CHALONS EN CHAMP.

[samcdc]

Pour plus de détails :

24/03 - Baraqueville (Rodez) @ Festival Lax'n Blues
27/03 - Lyon @ Marché Gare
28/03 - Paris @ Divan Du Monde
08/04 - Chalons-en-Champagne @ Delirium Fest

Les places pour Paris et Lyon sont déja en ventes aux liens suivants :
http://www.francebillet.com/place-spect ... -DM28M.htm
http://www.ticketnet.fr/manifestation/idmanif/239673

[samcdc]

Voila les dates mises à jour :

23/03 - Fontenay-le-Comte, MJT les 3 Portes (Warm-Up show)
24/03 - Baraqueville (Rodez), Festival Lax'n Blues (+ Dr Feelgood)
25/03 - St Jean de Vedas (Montpellier), Secret Place
27/03 - Lyon, Marché Gare
28/03 - Paris, Divan du Monde
29/03 - Bruxelles (Belgique), Magasin 4
01/04 - Rennes, Ubu
04/04 - St Francois Longchamp, Office du Tourisme
05/04 - Colmar, Le Grillen
06/04 - Compiègne, Ziquodrome (+ Crucified Barbara)
07/04 - Vauréal, Forum (show acoustique avant Wishbone Ash)
08/04 - Châlons-en-Champagne, Delirium Fest (+ Blaze Bailey)
02/06 - Maxéville / Nancy On The Rocks, Zenith (+ Scorpions)

[Yathin Lizzy]

Pas mal les groupes d'ouverture.

[samcdc]

LOL ... le + c est "avec". Pour Scorpions les gens font le bon ordre dans leur tete

[samcdc]

Voila toutes les infos pour le dates à venir :

23/03 - F, Fontenay-le-Compte (Niort) - FJT les 3 Portes (+ Blind Ship)
24/03 - F, Baraqueville (Rodez) @ Festival Lax'n Blues (+ Dr Feelgood, Nono)
25/03 - F, St Jean de Vedas (Montpellier) @ Secret Place (2 Shows : acoustique + électrique)
27/03 - F, Lyon @ Marché Gare (+ Karelia, 4 WD)
28/03 - F, Paris @ Divan Du Monde (+ Frenchkiss)
29/03 - B, Brussels @ Magasin 4 (+ Wild Dawn)
01/04 - F, Rennes @ Ubu (+ The Four Horsemen)
04/04 - F, Saint Francois Longchamp @ Salle Polyvalente (Office du Tourisme) - Concert Gratuit
05/04 - F, Colmar @ Grillen (+ Heavynessiah)
06/04 - F, Compiegne @ Ziquodrome (+ Crucified Barbara)
07/04 - F, Vauréal @ Forum : Show Acoustique avant Wishbone Ash
08/04 - F, Chalons-en-Champagne @ Delirium Fest (+ Blaze Bailey)

Toutes les informations pour la réservation de billets :
http://www.koritni.com/Dates.htm

Pour le festival Lax'n Blues les places ne seront en vente que sur place (15 Euros).
Le concert à Saint Francois Longchamp est gratuit (début à 21h) !

[Fonz]

KORITNI avec 4WD pour la date de Lyon

[Larry]

enfer....

[Mr. Gig]

J'en serai au Divan.

Si c'est bien le même French Kiss qui avait ouvert pour W.A.S.P., y a moyen que ça fasse un début de soirée bien sympathique.

Leur Glam était certes pas original pour une mèche permanentée, mais globalement ça restait énergique et ils jouaient à fond le jeu du revival '80s avec futals et sapes pastels d'époque et teintures volumineuses !

[Steven]

Quelqu'un en sera à Rennes?

[samcdc]

C est en effet le même groupe de glam qui avait ouvert pour WASP ... sinon moi je serais à Rennes

[Steven]

Changement dans le line-up pour la tournée (source : FB Koritni) :

"Comme Luke est actuellement occupé en Australie pour travailler et tourner avec Shannon Noll (Australian Idol), nous somme heureux d'accueillir Manu Livertout pour le remplacer sur cette tournée. Compte tenu du fait qu'il est chauve (et accessoirement un super gratteux) ca ne devrait pas poser de problème ^^ Bien sur, Luke est toujours dans le groupe et devrait faire la prochaine tournée !"

[guardianofsteel]

Yeah! Cool pour Manu ça. Un mec cool, pas prise de tête et pas le dernier pour la déconne

[Bib]

Et surtout un putain d'enculé du manche !!

Ca me donnerait presque envie d'écouter ce groupe tiens !

[samcdc]

Vas y fait toi plaisir :

[Pauline]

han mais c'est quoi cette nouvelle coupe de cheveux de Lex....

sinon, pourquoi pas à Paris la semaine prochaine, à voir...

[samcdc]

La tournée démarre demain, dernière repet aujourd'hui

[Mr. Gig]

Après une nouvelle situation d'échec pour Primus hier soir, cette fois c'était la bonne, j'ai pu mettre la main sur un vinyle !

Évidemment ça aurait été trop beau, ils avaient le petit dernier, "Welcome To The Crossroads" et son allusion explicite au mythe selon lequel Robert Johnson aurait vendu son âme au malin pour jouer de la gratte (j'espère ne pas raconter de conneries, parce que c'est en tout cas l'interprétation que j'en avais faite) qu'en C.D. (qui a aussi fini dans ma poche, au passage), du coup je me suis rabattu sur le précédent, "Game Of Fools", dont, avouons-le, la pochette en jette davantage dans ce format.

Mais trêve de bavardage, et place au cirque :

J'avais sincèrement gardé un meilleur souvenir de French Kiss lors de leur ouverture pour W.A.S.P. à l'Élysée Montmartre à l'occasion de la tournée "Babylon", celui d'une résurrection fidèle du Glam au faîte de sa gloire, toutes toisons permanentées, denims troués ou spandex décolorés au vent, et avant tout honnête sur la marchandise.

Si l'originalité n'est pas la qualité première de ce qu'ils prétendent offrir, ce dont ils ne se revendiquent probablement pas de toute façon pas, rapport à l'hommage décomplexé qu'ils arborent ouvertement, l'impression nettement plus positive laissée la première fois a ce soir cédé la place à l'image d'un groupe sympa, mais sans plus.

À charge éventuellement un atour périphérique, a fortiori indépendant du groupe lui-même, qui a inconsciemment nuit à l'appréciation objective de leur demi-heure de nostalgie de la mi-'80s.
Pour commencer, la mémoire encore vive de la prestation, à mes yeux quasiment exemplaire en la matière, des panthères d'acier Dimanche soir, n'a pas laissé de se hisser en élément de comparaison, pour ne pas dire en référentiel dans le domaine.

Mais surtout, comme l'a très justement souligné Polochon dans le sujet afférent, la forte concentration en mi(di)nettes enamourées à la lisière du groupisme aveugle le plus extrême dans lequel l'auteur de "Crossroad Blues" lui-même n'aurait pas osé se jeter à corps et âme (perdus) et leur comportement de gamines se voulant libérées avant l'âge, aura peu ou prou contribué à la légère dégradation, toutes proportions gardées bien entendu, de la pourtant très bonne ambiance qui régnait alors sur les lieux.

Qu'elles déboulent en troupes se dandiner parmi les premiers rangs au rythme sucré des chansons sirupeuses et aux paroles un tantinet naïves de French Kiss, soit, c'est de rigueur après tout dans un tel contexte ; mais là ça confinait carrément et allègrement au m'as-tu-vu à la va-comme-je-te-pousse, qui plombait par voie de conséquence toute volonté illusoire de faire passer ce comportement pour de la bonne humeur assumée (laquelle aurait été bienvenue).

Et les mêmes de s'imposer sur scène plus tard, nibards à l'air, et, comme très bien précisé, dans la plus grande incongruité, face à des musiciens un brin décontenancés qui ont toutefois agi gentiment et dans la plus grande diplomatie, en vue d'expulser subtilement les intrus de l'estrade, manifestement gênants pour tout le monde.

Pour la fin en soi de s'en payer une bonne tranche, j'ose même pas imaginer la scène de la réaction de Pete Townshend face à ce trio de délurées, lui qui avait purement et simplement cogné Abbie Hoffman à grands coups de sa Gibson S.G. au concert de The Who à Woodstock pour avoir grimpé sans autorisation ni préavis sur l'estrade, s'exclamant à raison, je cite : "Get the fuck off my fucking stage!".

Les festivités consommées, passons aux choses sérieuses :

Pour couper court à toute éventuelle appréhension, oui, Manu Livertout a bel et bien su remplacer Luke Cuerden au pied levé (au plancher) sans encombre aucune, reproduisant ses partitions de guitare à l'identique tout en apportant sa part de présence scénique à l'appui d'un jeu charismatique qui lui est propre, et la majorité des musiciens de session recrutés sur le tard pour jouer le rôle de substitut ne peut pas toujours targuer d'être dotée de cette qualité.

Sous son chapeau qui semblerait tout droit issu des plaines texanes, son bouc de baroudeur, muscles saillants sous les sapes décontractées, et du bout du manche de son Ibanez ersatz de Gibson Explorer, le bonhomme tous sourires rempli son office à merveille, et c'est bien tout à son honneur.

Mais n'occultons pas le reste du groupe, la section rythmique en tête, qui soutient la vigueur des morceaux de bout en bout sans relâche avec un tempérament et une détermination à décorner un buffle, le bassiste s'adonnant notamment à l'envie à nous exhorter à nous remuer, tout en restant aussi focalisé que littéralement transporté par son propre jeu.

Ses camarades préposés à la frappe et à la deuxième six-cordes, qui alterne les mélodies solistes et la structure rythmique avec celle de Manu, se font certes moins remarquer de par l'expression de leurs jeux de scène respectifs, mais n'en sont pas moins omniprésents dans l'envol des compos, et certainement pas les derniers pour redonner un coup sec de talon pour faire grimper le climat ambiant de plusieurs crans.

La nouvelle esthétique capillaire de notre vocaliste formateur de son combo patronymique aura beau n'être effectivement pas du goût de tout le monde, comme le dit l'adage : dura lex, sed lex, et ce n'est après tout pas la préoccupation primordiale de tout ce beau monde (à l'exception peut-être de l'assistance féminine la plus portée sur le charme du chanteur) qui garnit de prime abord le divan de manière éparse, avant d'en déverser ses reflux sur la totalité du parquet dès le déménagement inhérent à l'entracte.

Et quelle que soit la nature des protéines auxquelles le bougre carbure le matin, force est de reconnaître qu'il demeure toujours très convaincant au micro, sa puissance débridée et sa grande maîtrise du tremolo pouvant aisément porter à elles seules les compositions en grande partie issues de sa plume, et sa carrure d'athlète sur le retour faisant le reste sans entrave.

On notera qu'il se permettra d'ailleurs de compléter le duo de grattes par ses riffs à l'occasion de l'ouverture des hostilités, avant d'en retourner exclusivement à l'organe auquel il fait la part belle.

Toute cette belle mécanique bien huilée et infaillible repose aussi bien sur la synchronisation et la cohérence de ce petit orchestre ultra-carré et très professionnel dans chacune de ses sections respectives, qui assure indéniablement du feu de dieux sur les planches dans les plus grandes largeurs possibles, le quintette étant définitivement rompu à l'exercice de la scène qu'il aime tant et dont il ne rate pas une occasion pour se cacher, Lex mettant de ce fait son Français -tout à fait honnête et compréhensible- à rude épreuve, le tutoiement faisant volontiers sourire l'assistance.

Peu avare en remerciements, le groupe ne se fait pas prier pour se lancer dans les rappels, et devant ce public enflammé, nous accorde même le rab généreux d'une clôture de 2 ultimes morceaux on ne peut plus Rock'n'Roll.
Que ces rappels supplémentaires fîssent partie de la setlist initiale, le fin mot de l'histoire ne nous le dira pas, ce que l'on connaît pour acquis de conscience en revanche, est le sentiment inaliénable d'avoir passé une excellente soirée de Hard Rock Revival à la sauce australienne !

Revenez quand vous voulez les gars !



(Je rappelle pour la réthorique de la chose qu'ils assureront la première partie du concert acoustique donné par Wishbone Ash au Forum de Vauréal le 7 Avril [auquel je ne serai malheureusement pas pour cause de Bayley Cooke], et qu'ils seront de la partie au Nancy On The Rocks aux côtés de Gamma Ray et Scorpions le 2 Juin.)

[Larry]

Affiche essentiellement orientée Hard Rock, c'est avec plaisir que je me déplace au Marché Gare pour assister au concert de Koritni, que je n'ai jamais eu l'occasion de voir, mais dont j'adore totalement le premier opus Lady Luck, dont je n'ai apprécié que plus moyennement leur second, Game Of Fools, et pas du tout écouté le dernier, à savoir Welcome To The Crossroads. Peu importe, c'est surtout la voix extraordinaire de l'australien qui me pousse à venir, un des rares chanteurs capables de reprendre du Skid Row et du Guns N Roses presque mieux que les chanteurs originels. Et ca sera la base de ma critique sur la soirée.

4WD d'abord, on débarque alors qu'ils ont attaqué leur set, et comment dire... il manque deux choses à leur prestation, par rapport à ce qu'ils savaient faire avant : des sourires, et de l'énergie. Le son ne leur rend pas vraiment justice non plus, la batterie trop triggée sur du hard rock c'est plus que moyen, et le nouveau caprice guitaristique de Fonz ne sonne vraiment, vraiment pas... on dirait du blues à pépé, alors qu'ils étaient tout de même très bons dans le rock n roll crasseux. On les avait connu en meilleure forme, dommage.

Karelia, autant le dire tout de suite : j'ai zappé. Les premières notes, les samples (ou le synthé?), le son, j'ai même pas eu le courage de rentrer dans la salle, la triplette bière+clope+potes fera tout mon bonheur pendant leur show.

Koritni déboule enfin, et ils savent se faire attendre... et là, c'est le drame. J'avais pas revu la tête de Lex Koritni depuis la promo de Game Of Fools, du coup ma machoire s'est décrochée jusqu'à trainer sur le sol. On dirait un cosplay de Gary Oldman à barbichette dans le 5ème Elément, autant dire que j'ai été extrêmement... désappointé. Non sans rire, j'ai rien contre une certaine forme de décalage, mais là il s'est taillé une tronche à jouer dans Rammstein, et le reste du groupe... j'ai rarement vu un groupe aussi peu homogène, c'est même limite pas possible autant de looks différents : Lex en Zorg à marcel donc, Eddy seul chevelu totalement dans le trip métalleux, le bassiste qu'on dirait issu d'un groupe de pop britannique, leur autre guitariste (de tournée) en mode Crocodile Dundee, et le batteur en redneck défoncé. C'est incroyable, on se croirait presque dans un zoo humain. Et concernant Lex, j'insiste, mais c'est tellement un décalage visuel, entre lui, son groupe et la musique pratiquée, que ca en est totalement incongru et qu'on fait attention qu'à ca au départ. Surtout que... moi qui viens pour sa superbe voix, et bien c'est le seul truc qu'on entendra quasiment pas. Mais quel dommage, putain mais tuez-les ces ingés son de merde qui savent pas sonoriser un chanteur bordel de dieu, surtout un chanteur pareil. Alors, au départ je me suis dit : merde, pas de bol, il est pas en voix. Que dalle, les rares moments où il chante avec peu d'instrus, on se rend bien compte de son talent, malheureusement ces moments là sont trop rares... exceptés si on sort de la salle, là le son est parfait. No comment quoi, moi faire le choix entre le visuel et l'auditif à un live, ca me nifle. Si bien que je resterai dans la salle, à souffrir du son, à chercher un endroit dans la salle où on entend mieux les voix. Je dois pas être le seul à maugréer d'ailleurs, car niveau ambiance c'était mollasson, autant le Marché Gare était bien rempli, autant les gens semblaient amorphes. Même les morceaux du nouvel opus, qui envoient quand même bien du steak de kangourou, n'arriveront pas à réveiller la populace. Theli a mis le doigt sur le fond du problème en fait : c'est le manque d'hymnes chez Koritni. Certains morceaux sont sublimes, comme Red Light Joint ou Heaven Again, mais y'a pas vraiment de titre bombastique fédérateur qui sarce du koala, moi à leur place, je remettrai quelques reprises dans leur set : du Guns, du Skid Row, du ACDC, ça fait peut être coverband ou amateur, mais je reste persuadé que lorsqu'on a une voix pareille, proposer les chefs d'oeuvre des autres c'est pas forcément une erreur, et ca a cruellement manqué au concert. Toutefois, ça fait beaucoup de négatif, mais c'était pas non plus que ca, y'avait une vraie bonne humeur sur scène, les mecs bougent bien, sourient souvent, on dirait une bande de potes en répète presque, Lex se donne à fond, autant je supporte pas sa nouvelle tronche, autant sur scène je le trouve franchement bon. A noter un passage acoustique à deux grattes plus chant, carrément sympa, en plus ces deux gratteux sont quand même franchement bons et ca le fait grave.

En bref, un concert dans la moyenne seulement à cause des tronches et du son, qui ne restera pas dans les mémoires mais qui permet de s'aérer, de se payer le dernier album (qui est très bon au passage), et de voir des potes en buvant quelques mousses.

[olivier64]

merci pour les CR.

[Fonz]

Méchant Chacal toujours aussi vindicatif et acerbe je vois
Ba à priori le public n'a pas forcément été de ton avis car j'ai plutôt eu l'impression que notre presta etait forte appréciée
Nous on a fait un de nos meilleur show cette années pour le moment et pour le son, ca je peux et ne pourrai jamais savoir vu que je suis pas dans la salle.
C'était une super soirée.

[Larry]

Fonz... c'est pas parce que c'est ton groupe que je me lâche, l'inverse non plus d'ailleurs. Je vous ai vu plusieurs fois en concert, celle-ci était la moins bonne. Vous n'aviez pas l'air de vous faire plaisir, après que le public soit ou non d'accord avec moi, j'en m'en bats copieusement les couilles, votre presta manquait de peps pour moi, tu le prends comme tu le sens, c'est pareil je m'en cogne, je donne juste mon avis.

[Larry]

Pis ta gratte elle est moche et elle sonne pas, ça c'est vindicatif, acerbe et même totalement gratuit

[Theli]

Merci pour les CR les poulets : le mien qu'en j'aurai le temps ... en 2014 en gros

Sinon pour revenir sur les 4WD (c'était ma 13e fois perso que je vous voyais) l'orientation musicale est claire : on laisse tomber le hard rock crasseux limite punk et abrasif pour un style plus policé et bluesy. C'est un choix ... que je respecte.

Mais, perso, je suis un peu comme Chacal, je préférais avant

[Fonz]

Aller un vrai CR:
http://www.heavylaw.com/r223-Koritni-Ka ... on%29.html