Simplement pour ajouter mon grain de sel, et loin de prendre la défense de la politique de durée de jeu de Blackie, on avait bel et bien eu le droit à 1h35 de jeu montre en main, rappels compris, à son dernier passage à Paris, contre une durée semblable pour Steel Panther, à la différence près qu'à temps équivalent, seuls les derniers ont (trop) pris le temps d'interagir avec leur public.
Et conformément à ce problème d'accroissement des tarifs inversement proportionnel au temps total passé que tu soulèves, je suis bien d'accord qu'avec la carrière de W.A.S.P., la moindre des choses serait de s'attendre à un contenu plus étoffé, à commencer par des chansons jouées en entier plutôt que l'entourloupe facile et à peine camouflée du "
medley" à la con...
Au vu du prix du billet pour Steel Panther (que d'aucuns jugera probablement pourtant trop élevé pour un groupe de cette envergure), je cracherai pas dans la soupe cela dit, surtout que si j'ai pas vu le temps passer, c'était avant tout bien parce que je passais un très bon moment, et je me suis rendu compte de la brièveté relative qu'après coup.
Sinon je pense qu'en dehors du léger maquillage, du volume des coupes et des mèches blanches de Blackie à leurs débuts, il se peut qu'on assimile W.A.S.P. au
Glam pour leur croissance étroitement liée à celle de Mötley Crüe initialement, les jeunes Steven Duren et Frank Serafino ayant notamment joué ensemble dans Sister tout en restant amis proches entre la moitié et la fin des '70s.
Le
Heavy de tatas a du bon, mais classer W.A.S.P. là-dedans ? Certainement pas !
(ou comment causer un paradoxe oxymoral à l'aide d'émoticônes)