Desertfest 2012 (London-avril)

[guardianofsteel]

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[GuldenDraak91]

Mannfred y va !

[metal militia]

énorme tuerie ce dernier album d'ancestors...

[Pierre]

Ca a l'air bien excellent ce truc !!!

[guardianofsteel]

Vendredi 6 avril 2012 :


Le périple commence une fois de plus bien tôt…Après près de 2h de train, je débarque à Paris où mon compère Cocal me récupère à la gare de l’Est. Le temps d’aller à la Gare du Nord, et nous voici déjà à ouvrir les 2 premières bières du week-end. Il est 11h15 nous avons déjà bu 1 litre de Goudal. Mais il est déjà l’heure de rejoindre notre Eurostar. Tout juste le temps de récupérer notre autre collègue Nico, et nous voilà passer la douane. Evidemment, ayant pris nos billets séparément on se retrouve éparpillé dans le train. Mais pas de panique. Aussitôt démarré, nous nous retrouvons au wagon bar. Forcément un souci nous coinceras dans le tunnel sous la Manche et nous voilà parti pour un bon apéro à l’intérieur du train. Ce qui ne semblait pas vraiment du goût des jeunes filles qui servaient, mais après tout, les caisses se sont bien renflouées après notre passage.

Nous voilà enfin à Londres, il est maintenant 14h. Romain nous attend déjà, et nous sommes maintenant au complet. Nous nous dirigeons alors vers ce qui nous sert d’hotel… Hum…une chambre d’hôte en fait, qui nous à certes couté une misère, ce qui est un luxe à Londres, mais qui s’avère elle même être une misère.
A peine le temps de jeter nos bagages, que nous voilà déjà en route vers Camden. Une station de métro plus tard, nous voilà déjà à l’Underworld pour récupérer nos bracelets. Ainsi commence le Desertfest 2012. Un gros festival qui regroupe tout ce qui se fait de mieux en Stoner, Doom, Sludge au niveau underground. Car si très peu de ces groupes sont connus, on ne peut qu’être surpris de la qualité de l’affiche, une fois les groupes écoutés. Le festival se déroulera dans 3 enceintes différentes. L’Underworld est en quelques sortes la main stage, avec sa capacité de 500 personnes. Une rue plus loin, on retrouve le Blackheart, un pub, qui contient la seconde salle du festival à l’étage, mais aussi la plus petite (une centaine de personne). Il faut par contre marcher quasiment un kilomètre à travers Camden pour rejoindre la 3ème et dernière salle le Purple Turtle qui lui peut accueillir environ 200 personnes.

C’est dans cette salle que nous commencerons notre festival avec le groupe Stubb. Quand je parlais de qualité, je ne m’étais pas trompé, car le groupe qui mélange habilement hard rock 70’s et stoner, distille une prestation de qualité qui sert plus de tour de chauffe en fin de compte. On constate qu’il est difficile d’accéder au bar dans cette salle par contre. Un point faible.

C’est d’une oreille distraite que nous écoutons Trippy Wicked, qui ma fois semble s’en sortir honnêtement, mais il est l’heure pour nous de commencer la fête. Nous rencontrons Val, une Française fan de stoner, doom, avec qui nous passerons une bonne partie du fest.

Il est temps de rapatrier l’Underworld dès à présent. La salle est bien plus spacieuse et mieux disposée que sa petite sœur. Le bar se trouvant en dehors de la salle et directement à l’entrée dans la salle, nous voilà directement happés par les nombreuses pression que nous offre traditionnellement les pubs anglais, nous poussant de ce fait de rater la prestation de Sons of Alpha Centauri.

Peu importe. Si nous sommes là, c’est pour assister au set dément de Ancestors. Riff gras et lourd, son psyché et sorti tout droit des entrailles du temps, le groupe nous captive par son adaptation live plus que réussie des morceaux dépassants souvent le quart d’heure qu’il nous propose sur galette. Forcément nous n’aurons que 3 morceaux, mais déjà leur concert se place dans le très haut panier du festival.

Dommage cependant que les temps de jeu soient si courts et que les salles soient souvent bondées. Nous louperons donc Greenleaf le temps de rejoindre à nouveau le Purple Turtle.

Nous arrivons juste à nous glisser dans la salle pour prendre une bière et voir Sigiriya monter sur scène. Rock’n’roll bien gras à l’appuie, lorgnant vers le sludge, ce groupe alors inconnu chez moi se transforme vite en révélation. Grâce à une excellente présente scénique, une grosse ambiance dans la fosse, et des rythmiques très entraînante, les gars ne tarderont pas à marquer les esprits en 45 petites minutes. On note toutefois un petit relâchement en fin de set, les morceaux choisis pour clôturer étant sûrement un peu moins direct. Néanmoins, la révélation du jour.

Lord Vicar eux, sont bien connus déjà. Premier groupe de doom à l’affiche, j’avais déjà pu voir les ex-Reverend Bizarre et Saint Vitus sur scène quelques années plus tôt. Leur prestation n’illustrera cependant pas la qualité de leurs album studio. La mayonnaise tardant à prendre. On a là exactement le contraire de Sigiriya, puisqu’il faut attendre les deux morceaux de fin, et notamment le final sur « Born of a Jackal », pour enfin rentrer dans le concert. Mais il est déjà trop tard.

La salle est alors bien vide. Normal, les énormes Karma To Burn sont en train de bruler les planches de l’Underworld. Mais personnellement c’est la tête d’affiche du Purple Turtle que je ne veux absolument pas rater. Les Américains d’Orchid effectuent une de leurs (encore) rares haltes européennes au Desertfest. Mais ceux qui connaissent le groupe savent où il faut se trouver ce soir. C’est bien simple, du premier jour où j’ai découvert Through the Devils Door Way, Orchid n’a plus quitté ma platine. Et c’est rapidement que nous comprendrons que ce groupe a définitivement un talent à part et une énorme carte à jouer dans le monde de la musique à venir. Black Sab…euh…Orchid nous fait voyager 40 ans en arrière, quand les riffs pesants et lourds de Iommi avaient poser les bases du heavy metal. Certes Capricorn est à une chanson près uniquement représenté, mais qu’importe. Le quatuor s’offre à nous comme un des live les plus jouissifs du genre qu’il m’ait été donné de voir et s’impose en génie de la musique, quand bien même il ne révolutionne rien du tout. Mais de « Eyes Behind the Wall » à « Black Funeral » en passant par « Eastern Woman », on a tous pris une bonne latte derrière les genoux, sans que jamais nous ne puissions nous relever. Il faudra compter sur Orchid à l’avenir. En tout cas nous pourrons dire que nous les avions vu à leurs débuts et que déjà à l’époque ils demeuraient un des meilleurs groupes live qui soit. La plus belle façon de clôturer la journée.

Nous rejoignons ensuite le Blackheart en compagnie de Val et Romain où nous boirons quelques remontants (il nous faut bien ça !) en attendant les deux autres qui ne manqueront pas de péripéties à raconter. D’ici là, c’est à grand coup de hard rock et heavy metal que nous savourerons nos pintes d’un peu tout, Angel Witch et Grim Reaper inclus of course. Moment marrant où je demande au DJ s’il n’a pas du heavy français et qu’il me répond « Je peux te mettre du Voïvod ». Haha ! Après avoir découverts que Cocal et Nico avaient frappés fort, se voyant techniquement refusés l’entrée du Purple Turtle ainsi que du World’End (le plus grand pub de Londres) mais aussi du Blackheart (pour d’autres raisons), on se dit qu’il est déjà tard et que la fatigue nous gagne. C’est avec le bus que nous rejoignons notre magnifique chambre, dotée de deux lits doubles. Bonne nuit en perspective.

[the fab]

[Mr. Gig]

Très bon papier !

[guardianofsteel]

Samedi 7 avril 2012 :


Effectivement, ce fut le cas. Facilement 3h de sommeil. La grande forme le lendemain, surtout après une douche froide et d’une hygiène un peu douteuse. Enfin une douche est une douche. A la recherche du petit déjeuner français paraît un excellent concept pour une nouvelle télé réalité. Mission que nous réussissons haut là main avec Romain pendant que les 2 autres prennent leur douche à leur tour. La bonne blague quand Cocal nous avoue s’être retrouvé avec le robinet d’ouverture d’eau dans les mains…en mode eau qui coule à fond. Le moment de se faire la malle en gros. Bus jusqu’à Camden, un petit Steackhouse Angus au Burger King et petit tour rapide dans Camden High Street. Sauf que le samedi après-midi, c’est tout sauf une bonne idée. On peut à peine marcher tant le monde afflue de partout. On se pose donc dans un pub tranquille en attendant 14h et l’ouverture de l’Underworld.

La gueule de bois de la veille me pousse à opter pour une stratégie ayant faite ses preuves : combattre le feu par le feu. C’est donc distraitement naviguant entre salle et bar que je suis Zippo et Shrine 69, qui, sans rester dans les anales, s’avèrent plaisants à regarder d’une oreille (et ouais !).

Nous migrons ensuite vers le Blackheart pour la première fois voir un concert. Nous arrivons pendant le set de Steak (difficile à dire cette phrase dis donc) qui semblait attendu, puisque c’est la seule fois où nous peinerons à rentrer dans la petite salle à l’étage. Nous passons donc notre tour et descendons boire une bière au bar très sympathique au rez de chaussez.

C’est ensuite Ashes of Iron qui prend place sur la petite scène, cette fois avec nettement moins de monde. Un tord à la vue de leur prestation qui transpire la jeunesse et la fougue. Si leur musique ne se veut des plus originales, elle mélange habilement heavy metal, doom, sludge et stoner. Leur énergie n’a d’égal que leur talent et c’est muni de leur seul album qu’ils combleront nos attentes pour ce premier bon gros set de la journée.

Direction l’Underworld où Sungrazer fait planer les têtes. Et de quelle manière ! Leur concert irréprochable leur vaux une foule conquise qui en redemande encore. Malheureusement, les temps de jeu sont courts et il n’y aura pas de suite.

Cela dit, Valient Thorr semble très attendus et la salle se remplit vraiment. J’avais déjà vu ce groupe 2 ans de suite au Hellfest et donc, c’est sans surprise qu’on tend la joue pour se faire gifler et en redemander. Il faut dire que ce groupe qui fait passer tous les groupes de stoner réunis pour des chauves du mentons est une véritable bête de scène. Pure moment de rock’n’roll qui voit les premiers pogos de la journée envahir cette petite fosse. Les mimiques et les discours bien kitsch sont de rigueur et le public conquis répond à toutes les demandes de leur chanteur taré. C’est donc tout normalement qu’il descend dans la fosse, fait asseoir tout le monde pour faire du rameur au milieu du pit. Habituel mais ça fait toujours son effet. Un excellent moment pour un groupe qu’on ne se lasse pas de voir.

Le monde quitte les lieux et forcément mon envie pressante va devoir attendre un peu. A moins que je ne passe par le Blackheart en me rendant au Purple Turtle pour voir Serpent Venom. Chose qui, une fois faite, me permettra d’entendre de douces notes titillant mon oreille. Je décide de monter voir le groupe qui joue dans la salle du Blackheart. Il s’agit de Alunah, un groupe de doom bien comme je les aime. Une fois de plus, ce groupe est la preuve que le doom est sûrement le genre où les voix féminines ressortent le mieux. Mélancolique et puissant à la fois, cette découverte me laisse un bien bon souvenirs et me poussera à passer prendre l’album avant de foncer au Turtle Purple. Une bien belle trouvaille.

C’est au pas que je fonce vers la 3ème salle. Mais malheureusement i lest déjà bien tard et je ne verrais que le dernier morceau de Serpent Venom qui ma fois poussera à secouer la chevelure sans le moindre échauffement. Le signe d’un concert qui devait être concis et d’une efficacité redoutable.

C’est ensuite Dopefight qui prend la relève. Avec un nom pareil, on sait forcément qu’il ne va pas falloir s’attendre à du glam. C’est nauséabond et marécageux comme du bon gros sludge lourd et puissant et bon sang que ça passe bien. Les nuques se balancent et les cheveux s’annèlent. Encore une prestation réussie, qui marque pour moi la dernière de cette seconde journée du Desertfest. A contre cœur total, puisque je ne manque ni plus ni moins que Church of Misery, Black Pyramid et Orange Goblin. Mais c’est pour la bonne cause…


CR du Boltfest :

http://defender.metal-live.com/viewtopi ... 13#p759813

[GuldenDraak91]

Haha ! Après avoir découverts que Cocal et Nico avaient frappés fort, se voyant techniquement refusés l’entrée du Purple Turtle ainsi que du World’End (le plus grand pub de Londres) mais aussi du Blackheart (pour d’autres raisons)

Moi j'étais rentré hein...mais en bon copain connard, j'ai été irréprochable et ai soutenu mon compère, et ça valait le coup. Sûrement l'un des moments les plus cultes de ma vie. Entre autres réjouissances, une Marseillaise chantée main sur le coeur devant les videurs du Purple Turtle...qui nous aurons bien niqué à l'arrivée, le lendemain ah ah ah !!!(Are you fuckin' stupid ? You come back again ???)

Tout ce que j'ajouterais, c'est qu'on était vraiment une team parfaite ! Au passage, bisou à Val, Claudia et Isabella (et aussi à l'anglaise toute bourrée du World's End)

[BurningDarkness]

Excellent ce compte rendu, j'adore

[Balin]

Très bon report! Et merci pour Orchid d'ailleurs.

[guardianofsteel]

Merci à vous.

[metal militia]

excellent ...mais il manque le dimanche!

[guardianofsteel]

J'ai une vie, j'avais besoin de dormir, et ce soir c'est week-end chibresque. Donc ça attendra un peu

[Gandalf]

C'est du lourd tout ca !

Je suis fan du World's end

[guardianofsteel]

Et le dernier jour :

Dimanche 8 avril 2012 :


Au réveil Jean-Damien nous a déjà quitté. Bizarrement, la fatigue me semble moins pesante ce 3ème jour que le second. Juste le temps de prendre une douche et de constater une odeur assez forte de gaz, limite flippant dans les couloirs. A la vue de la réaction du gérant quand on lui a annoncé, on a joué la sécurité et amené avec nous nos objets de valeur.

De retour à Camden où nous décidons après un burger king bien mérité d’aller nous poser directement au bar du Blackheart où nous resterons un long moment, bien plus long que prévu. Un prétexte pour la déconne qui accompagne une flémitude aiguë de dimanche après midi. Tant pis pour Dead Existence…

Finalement on parvient à se hisser de notre banc pour monter à l’étage et assister au set acoustique d’Undersmile, groupe de funeral doom/sludge anglais. Alors effectivement, on peut se demander comment ça peut sonner, mais ça passe plutôt bien. Avec un banjo, 2 guitares sèches et une basse en tissu de fond, les 2 chanteuses transforme cette demi heure en une communion en un moment limite pop, mais surtout sombre. Un moment sympathique pour commencer la journée en douceur.

Petit passage par l’Underwold ou Leafhound balance son rock’n’roll psychédélic de manière certes efficace, mais avec déjà si tôt dans la journée, pas mal de monde dans cette salle. C’est encore une fois d’une oreille et demi que j’apprécie leur set fort bien ficelé.

Retour au Blackheart ou en arrivant juste pour la fin de XII Boar, on a décidé de faire de cette journée, la plus light du festival. A grand renfort de bière, nous nous installons à nouveau au bar du Blackheart. Le set de Desert Storm assez banal se déroulant à l’étage, nous savourons nos derniers moments londoniens dans ce qui font souvent leur force, les pubs.

Déjà vu plus tôt, nous retrouvons Undersmile à l’étage, cette fois ci pour un concert normal. Exit les banjos, et les jolies voix sensuelles. Place à la puissance et la lenteur des riffs des Anglais dans leur format le plus brute, crasseux et lourd. C’est lent, c’est envoûtant, c’est pesant. Le regard vide des deux chanteuses Helena et Taz renforçant ce moment poignant, il faut avoir laisser l’esprit bien en place pour ne pas se laisser sombrer dans la noirceur de leurs compositions. Un pari réussi.

Les chemins se séparent alors, et je décide de rester un peu plus longtemps au Blackheart, boire une pinte en plus, avant de me faire rejoindre par Romain avec qui nous montons assister à la prestation de Gorilla. Ne parlons point ici d’originalité, car il n’y en a pas. Au contraire, les riffs semblent souvent pompés. Que ce soit de Paranoid à Overkill, tous les riffs anglais qui ont fait la réputation et gloire d’un genre sont ici recyclés à toutes les sauces. Alors quel intérêt me direz vous ? Et bien simplement que ça envoie grave la purée. Un chant appuyé, une bassiste possédée, une frappe à transpercer la caisse claire,… Autant d’éléments qui poussent au cassage de nuque et à rester scotché devant un show qui pourtant n’a musicalement rien d’atypique. Seulement quand l’énergie mène la barque et qu’en plus ça joue, et bien, le résultat est là. Un très bon moment, dégoulinant le rock’n’roll bien gras.

On ne traîne pas pour une fois, et pour cause le headliner du festival à déjà commencé à l’Underwold. On parvient heureusement à rentrer, même si nous resterons en fond de salle pour assister à la prestation d’un Corrosion of Conformity bel et bien de retour. Et en grande forme. Déjà l’an dernier au Hellfest le groupe m’avait bien emballé, cette fois en salle, avec un peu d’alcool, tout prend une ampleur supérieure. Leur diversité musicale reste une des grandes forces de ce groupe culte. Forcément on navigue par un peu tous les styles, et donc toutes les périodes de COC. Le premier album éponyme est celui qui est le mieux représenté pour notre grand plaisir. Bonne éclate en fond de salle avec des pas de danses et autres circle pits improvisés tous endiablés. Vraiment un excellent final de festival avec une prestation à la hauteur du statut du groupe, avec comme point final le classique « Technocracy » et son riff bien thrash. Hâte de les revoir du coup.

Aussitôt fini, aussitôt parti. Juste à l’heure au Blackheart pour la dernière tournée. On se retrouve tous là-bas, avant de migrer vers le Purple Turtle pour la dernière after du festival. L’occasion également de liquider (c’est le cas de le dire) nos dernières livres. Une after originale placée sous le signe du stoner. Pas forcément le meilleur genre de musique pour faire une bringue juste en musique de fond, mais le public répond présent et c’est comme ça que se clôture ce Desertfest 2012 de grande qualité, qui nous pousseras probablement à y refaire une apparition dans les années à venir. Tout juste le temps de prendre un dernier Big Mac avant de rentrer constater que rien n'a explosé. Le réveil à l’aube du lendemain et les longues heures de train qui s’en suivent n’étant qu’un dénouement apocalyptique d’un week-end qui l’était tout autant. Culte !

[the fab]

Hé bien merci et bravo!!!

[GuldenDraak91]

Il manque juste le côté alternatif du fest. C'est à dire tous les moments cultes

[guardianofsteel]

Ca ne peut pas se raconter ça, ça se vit

[the fab]

Exact. Sauf si vous avez emballé de la gelée typiquement british. Là, vous auriez obligation de raconter.

[GuldenDraak91]

On aurait pu. De la gelée bien imbibée ah ah ah !!!

[Mr. Gig]

Excellents C.R. encore une fois !

[Balin]

Super CR!

[guardianofsteel]

Merci les gens

[STEWAN]

merci pour ce report bien cool (comme d'hab')...
manque juste des photos tu me diras vaut mieux dans ce sens là, moi c'est plutôt l'inverse !

j'aurais vraiment bien aimé voir les 2 sets d' UNDERSMILE... la façon dont tu en parles représente parfaitement ton ouverture d'esprit et ta soif de découvertes
vivement leur album très bientôt, j'aime beaucoup ce groupe avec des gens très sympathiques au demeurant

[guardianofsteel]

Merci pour les compliments

Je laisse le soin pour les photos aux gens qui se font inviter avec leurs pass photos. Qu'ils bossent un peu si déjà ils sortent pas un rond
Serieusement, je ne vois plus trop l'intérêt de fairez des photos en concert, surtout que le lendemain t'as les 3/4 du concerts en 75 exemplaires sur youtube. Les photos c'est pour les à côté pour ma part plus

Yep c'était cool, et effectivement pour avoir très rapidement taillé le bout de gras avec eux (ils ont du partir vite après le set), ils sont très gentils. Le EP est déjà bien cool