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Je vais aller les voir par curiosité à lille vendredi.Gotthard tournée française 2012
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Pour une tournée, SVP postez toutes les dates européennes disponibles dans le topic + la période ou quelques dates dans le titre du topic.
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- Defender of the Faith
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D'après Oso qui a été les voir à Pampelune samedi, ils sont vraiment au top et en prime, les Espagnols ont droit à Unisonic 

http://www.youtube.com/watch?v=XU-q2ZQi10QFranky a écrit :j'ai voté pour toi, car en plus d'être un crétin (comme Gasp), tu es malfaisant.
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Oui mais Oso n'a jamais été fan de Steve Lee, du coup c'est mauvais signe pour nous !



GANDALF 
"Seize the day or die regretting the time you lost
It's empty and cold without you here, too many people to ache over"

"Seize the day or die regretting the time you lost
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J'étais à Pampelune aussi. Honnêtement UNISONIC c'était bien pourri. Les seuls moments forts c'était sur les vieux classiques d'Helloween, mais il y en a eu si peu en soi... Ca bougeait pas, ni sur scène, ni dans le public... Quelle déception...
Par contre quand Gotthard est entré sur scène la claque a été directe. La setlist était bien rock avec une part belle au dernièr album. Maeder assure vraiment bien. Le groupe est en forme. ça fait vraiment plaisir à voir. Avec un bon contact avec le public... Que du bonheur, quoi !!!
Par contre quand Gotthard est entré sur scène la claque a été directe. La setlist était bien rock avec une part belle au dernièr album. Maeder assure vraiment bien. Le groupe est en forme. ça fait vraiment plaisir à voir. Avec un bon contact avec le public... Que du bonheur, quoi !!!
Long Live Rock'n'Roll
Quand on a pas de bol, on s'intéresse à un groupe juste avant qu'un drâme ne le touche. J'avais déjà vécu ca avec Pantera et l'assassinat de Dimebag Darrel, cette fois c'est au tour de Gotthard avec le regretté Steve Lee, décédé lors d'un voyage aux States dans des circonstances tragiques : faire un roadtrip en harley, et se prendre un custom sur la gueule car un camion a jugé marrant de jouer au bowling avec, ca paraît tellement improbable de malchance qu'on croirait un mauvais film d'horreur américain. Le combo suisse tente néanmoins de poursuivre sa route, ayant embauché Nic Maeder pour succéder à feu Steve Lee, et je dis bien succéder, car il était impossible de le remplacer.
C'est les lyonnais de Revenge qui ouvriront la soirée, de retour après 3 ans d'absence, les premières notes retentiront avant qu'on ait pu rentrer dans un Ninkasi Kao très bien rempli, quand on s'est battus pour arriver à l'heure ca colle un peu les gonfles, j'te foutrais du vigile en taule... Bref, 36 mois de hiatus, et Revenge n'a rien perdu de sa patate sur scène, particulièrement Ptit Jo qui est tout sourire et monté sur ressort (comme d'hab), malgré un public qui ne leur ait clairement pas acquis, et qu'il peinera à faire décoller. Ca n'entamera pas la bonne humeur sur scène, excepté peut être pour leur ex-bassiste revenu aux claviers cette fois, détournant leur ressemblance à Accept pour Lordi, ca change mais c'était pas non plus indispensable à mon sens. Les Revenge se donneront à fond donc sur scène pendant 40 petites minutes de set bien punchy, c'est carrément court, surtout pour eux, mais je suis pas inquiet, on les reverra très bientôt. Ca faisait carrément plaisir de les revoir en tout cas.
Gotthard investissent donc les planches face à un public de saison (j'veux dire froid et incertain, pas humide et qui sent l'humus hein?), mais rapidement on voit que les gens se sont déplacés pour eux, et les suisses leur en ont donné pour leur argent. Autant parler tout de suite du sujet qui fâche : le successeur de Lee (Steve, pas Bruce). N'ayant jamais vu Steve sur scène, je partais vraiment sans a priori. Coté vocal, Maeder s'en sort pas mal, mais il n'a pas la sensibilité qui collait des frissons comme Lee, et sa maitrise des aigus bah c'est carrément pas ça. Malgré tout, si on ferme les yeux, on pourrait s'y méprendre la plupart du temps, tant la voix de Maeder ressemble à celle de son prédécesseur. Reste que s'il ne copie pas systématiquement les parties de Lee, et surtout dans les aigus, Nic Maeder est quand même un excellent chanteur. Malheureusement, on ne peut pas en dire autant de son jeu de scène, on le sent perdu, il est assez statique, et s'il parle facilement (et en français s'il vous plait) au public, il tient assez mal la place de frontman, à l'exception des titres où il prend lui aussi une gratte, et là on le sent bien plus à l'aise. C'est dommage, parce que son manque de maitrise vocale (par rapport à Lee, j'entends bien) et son manque de charisme joue complètement en sa défaveur, mais je lui laisse le bénéfice du doute : il s'agissait peut être d'un mauvais soir, ou alors c'est le manque de pratique et ca viendra avec l'expérience, je sais pas, en tout cas si sa prestation n'était pas ratée, loin de là, elle n'était pas à la hauteur de mes expérances. Le reste du combo par contre est chaud les marrons, et particulièrement Leo Leoni qui aime beaucoup, beaucoup la bière. On sent le groupe rodé, à l'aise, pro mais qui se fait plaisir sur une scène qu'il occupe très bien. Le son est pas mauvais en plus, excepté le chant trop en retrait (comme d'hab au Kao?), ils ont un bon lightshow, et une solide setlist de 19 titres qui contentera les lyonnais pendant 1h40. Les quelques titres du dernier album passent très bien (enfin ceux que je reconnais maintenant que j'ai acheté leur dernier bébé Firebirth), et leurs classiques donnent envie de chanter et de taper du pied.
Une bonne leçon de rock, avec le bémol que Maeder doive apprendre à se lâcher un peu et à moins singer Lee, mais je suis sûr que ca viendra avec le temps.
C'est les lyonnais de Revenge qui ouvriront la soirée, de retour après 3 ans d'absence, les premières notes retentiront avant qu'on ait pu rentrer dans un Ninkasi Kao très bien rempli, quand on s'est battus pour arriver à l'heure ca colle un peu les gonfles, j'te foutrais du vigile en taule... Bref, 36 mois de hiatus, et Revenge n'a rien perdu de sa patate sur scène, particulièrement Ptit Jo qui est tout sourire et monté sur ressort (comme d'hab), malgré un public qui ne leur ait clairement pas acquis, et qu'il peinera à faire décoller. Ca n'entamera pas la bonne humeur sur scène, excepté peut être pour leur ex-bassiste revenu aux claviers cette fois, détournant leur ressemblance à Accept pour Lordi, ca change mais c'était pas non plus indispensable à mon sens. Les Revenge se donneront à fond donc sur scène pendant 40 petites minutes de set bien punchy, c'est carrément court, surtout pour eux, mais je suis pas inquiet, on les reverra très bientôt. Ca faisait carrément plaisir de les revoir en tout cas.
Gotthard investissent donc les planches face à un public de saison (j'veux dire froid et incertain, pas humide et qui sent l'humus hein?), mais rapidement on voit que les gens se sont déplacés pour eux, et les suisses leur en ont donné pour leur argent. Autant parler tout de suite du sujet qui fâche : le successeur de Lee (Steve, pas Bruce). N'ayant jamais vu Steve sur scène, je partais vraiment sans a priori. Coté vocal, Maeder s'en sort pas mal, mais il n'a pas la sensibilité qui collait des frissons comme Lee, et sa maitrise des aigus bah c'est carrément pas ça. Malgré tout, si on ferme les yeux, on pourrait s'y méprendre la plupart du temps, tant la voix de Maeder ressemble à celle de son prédécesseur. Reste que s'il ne copie pas systématiquement les parties de Lee, et surtout dans les aigus, Nic Maeder est quand même un excellent chanteur. Malheureusement, on ne peut pas en dire autant de son jeu de scène, on le sent perdu, il est assez statique, et s'il parle facilement (et en français s'il vous plait) au public, il tient assez mal la place de frontman, à l'exception des titres où il prend lui aussi une gratte, et là on le sent bien plus à l'aise. C'est dommage, parce que son manque de maitrise vocale (par rapport à Lee, j'entends bien) et son manque de charisme joue complètement en sa défaveur, mais je lui laisse le bénéfice du doute : il s'agissait peut être d'un mauvais soir, ou alors c'est le manque de pratique et ca viendra avec l'expérience, je sais pas, en tout cas si sa prestation n'était pas ratée, loin de là, elle n'était pas à la hauteur de mes expérances. Le reste du combo par contre est chaud les marrons, et particulièrement Leo Leoni qui aime beaucoup, beaucoup la bière. On sent le groupe rodé, à l'aise, pro mais qui se fait plaisir sur une scène qu'il occupe très bien. Le son est pas mauvais en plus, excepté le chant trop en retrait (comme d'hab au Kao?), ils ont un bon lightshow, et une solide setlist de 19 titres qui contentera les lyonnais pendant 1h40. Les quelques titres du dernier album passent très bien (enfin ceux que je reconnais maintenant que j'ai acheté leur dernier bébé Firebirth), et leurs classiques donnent envie de chanter et de taper du pied.
Une bonne leçon de rock, avec le bémol que Maeder doive apprendre à se lâcher un peu et à moins singer Lee, mais je suis sûr que ca viendra avec le temps.
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Chacal a écrit :N'ayant jamais vu Steve sur scène, je partais vraiment sans a priori.
Nan rien.Chacal a écrit :avec le bémol que Maeder doive apprendre à se lâcher un peu et à moins singer Lee, mais je suis sûr que ca viendra avec le temps.




Et bien pour moi ce sera Dimanche!


mimimimimimimimi
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- Cardinal-Sin
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- Localisation : Suisse
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comme j'ai vu les deux sur scènes: mon avis c'est que Steve Lee avec un charisme que Maeder n'a pas. Il était surtout plus varié dans ses mimmicks. Vocalement aussi, y avait du métier avec Lee mais je trouve que Maeder s'en sort très bien. Pour tout dire j'étais déçu en bien
je m'attendais à vraiment pire et j'ai rapidement oublié l'ancien leader, sauf quand il s'agissait de s'attaquer au tout gros classique "one life one soul" par exemple où on se souvenait de l'ancien. Après, faut aussi dire que je m'étais souvent fait chier au concert de Gotthard avec Lee, en Suisse le public cible c'est la ménagère, donc y avait souvent trop de ballade et les set lists étaient souvent mollassonne. Alors sur cette tournée le groupe était bien plus percutant donc forcément ça aide à apprécier 
Sinon il a souvent eu une guitare sur scène donc effectivement il est moins à l'aise seul avec un micro... mais c'est pas Hansi non plus
mais il semble toujours eu avoir un instrument dans les pattes -> http://www.youtube.com/watch?v=aJuQf7f3 ... ure=relmfu


Sinon il a souvent eu une guitare sur scène donc effectivement il est moins à l'aise seul avec un micro... mais c'est pas Hansi non plus

- the fab
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Je trouve que le terme "charisme" est souvent galvaudé sur ce forum ( et ailleurs). Si Steeve Lee en avait (paix à son âme) que dire de Tyler, de Dave lee Roth ou de Bon Scott?
Pour l'avoir vu 2 fois on stage, j'estime que c'était la CFA du charisme ce type.
Pour l'avoir vu 2 fois on stage, j'estime que c'était la CFA du charisme ce type.
Olivier64: " Y a pas un groupe plus surestimé que Motley Crue. Les Ramones, c'est du rock progressif à coté !!!!!!"
- PE
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Le contraire serait dommage pour un Suisse francophoneChacal a écrit : et s'il parle facilement (et en français s'il vous plait) au public,

Are we gonna play Stonehenge tomorrow ?
STUDIO PE http://www.studiope.net
http://www.facebook.com/studiope
http://www.reverbnation.com/studiope
MALADAPTIVE http://www.maladaptive.net
http://www.myspace.com/maladaptivemetal
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- Gandalf
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Mwarf !the fab a écrit :Je trouve que le terme "charisme" est souvent galvaudé sur ce forum ( et ailleurs). Si Steeve Lee en avait (paix à son âme) que dire de Tyler, de Dave lee Roth ou de Bon Scott?
Pour l'avoir vu 2 fois on stage, j'estime que c'était la CFA du charisme ce type.
On a pas la même vision du charisme alors...
Ceux que tu cites sont evidemment hautement charismatiques

GANDALF 
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Et de toute façon Bruce Lee sautait plus haut que Steve Lee si vraiment on doit comparer.
(peut être moins que Tommy Lee ceci dit)
(peut être moins que Tommy Lee ceci dit)
mimimimimimimimi
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- the fab
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Bon Scott ne sautait pas partout que je sache. Mais je suis d'accord avec toi, nous ne donnons effectivement pas le même sens au terme "charisme".Gandalf a écrit :Mwarf !the fab a écrit :Je trouve que le terme "charisme" est souvent galvaudé sur ce forum ( et ailleurs). Si Steeve Lee en avait (paix à son âme) que dire de Tyler, de Dave lee Roth ou de Bon Scott?
Pour l'avoir vu 2 fois on stage, j'estime que c'était la CFA du charisme ce type.
On a pas la même vision du charisme alors...
Ceux que tu cites sont evidemment hautement charismatiquesMais on est pas obligé de sauter dans tous les sens ou faire des tonnes pour avoir du charisme. ça peut être, comme dans le cas de Lee, juste de degager quelque chose par sa presence et son allant, le petit truc en plus du commun des frontmen.
Y'a une différence ( un gouffre) entre dégager quelque chose et séduire, influencer, voire fasciner les autres par son discours, son attitude, son tempérament, ses actions ( dixit Wiki).
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- Psyko Killer
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Déjà vu 2 fois cette année, et vu vos commentaires les concerts sont bons aussi cet automne. Il y a donc de plus en plus de chances que je me retrouve à Lausanne, à la maison de Nic, ça peut être fort sympa! 

Prochains concerts: Pyrenean Warriors Opean Air / Rising Fest / Iron Maiden 2021? (Goteborg-Paris-Zurich-Stuttgart-Barcelone) 

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Ils m'avaient carrément botté au Elles-Fesses, et même si on pourra toujours trouver à redire à Maeder qu'il n'a pas forcément une présence écrasante, j'avais trouvé qu'il occupait bien la scène et qu'il meublait sans difficulté entre les morceaux.
D'ailleurs pour ça que j'en serai à la Cigale Dimanche soir.
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When you're this gig, they call you...
...But you can't find the time
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- Psyko Killer
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Ouai sympa au Hellfest mais rien a voir avec le concert 1 mois plus tard à St-Julien. Il s'était déjà bien métamorphosé, très bon frontman. Donc d'ici décembre et une tournée complète dans les jambes il y a moyen qu'il se soit beaucoup amélioré. 

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- Defender of the Olympia
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Les Melunais d'INCRY (Hard Rock chanté en Français) assureront la première partie ce soir.
À tout l'heure jeunes fous !
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Très bien ce petit concert !
La première partie était franchement anecdotique, d'autant plus que les textes faiblards ne permettaient pas aux opportunités lyriques offertes par le français, lorsqu'utilisé judicieusement et à bon escient, de briller, à défaut de resplendir.
Soulignons une attitude lourdingue un brin péquenaud du chanteur à vouloir intempestivement apostropher la salle, bref on aura vite fait de faire l'impasse.
Quant aux paysages et massifs sonores du Saint Gotthard, on ne trouvera pas grand chose à redire aux Lombards, les musiciens tous en forme exhibant ouvertement leur plaisir manifeste de jouer et d'être là, peut-être même un peu trop d'ailleurs en ce qui concernait Leo Leoni, dont la descente de la bouteille de Jack Daniel's a rapidement montré ses effets tout au long de la soirée.
Malgré un chapeau branchouille que je trouverai toujours autant du plus mauvais effet, Maeder faisait de beaux efforts pour s'imposer scéniquement parlant, quand bien même la facilité de ses échanges en français portait le discours à un rapport ami-ami artificiel mais néanmoins honnête.
Quoiqu'il en soit, on ne pourra pas nier son chant habité, en témoignent ses jolies mimiques faciales lorsqu'il allait chercher les aigus (mais je me moque pas, on a tous nos grimaces plus ou moins ridicules quand on joue d'un instrument de toute façon).
Là où le séquencement des morceaux conférait un bon rythme à l'ensemble, on ne coupera malheureusement pas au sempiternel et ennuyeux solo de batterie de Hena Habegger, ni original, ni entraînant, mais qui aura le mérite de ne pas s'être non plus éternisé outre-mesure (encore que les 5 grosses minutes de carnaval percussionniste se sont faites sentir passer).
Soulignons au passage un son tout à fait correct toute la durée des 2h de jeu, et voilà de quoi goupiller une soirée réussie.
On regrettera simplement que la fosse de la Cigale était un champ de blé dont le souffle de la fougue n'aura que trop peu balayé la tristesse sépulcrale des cimes blondes.
En tout cas ça m'a fait plaisir de tailler la bavette avec Yacine, Gandalf et DG.
La première partie était franchement anecdotique, d'autant plus que les textes faiblards ne permettaient pas aux opportunités lyriques offertes par le français, lorsqu'utilisé judicieusement et à bon escient, de briller, à défaut de resplendir.
Soulignons une attitude lourdingue un brin péquenaud du chanteur à vouloir intempestivement apostropher la salle, bref on aura vite fait de faire l'impasse.
Quant aux paysages et massifs sonores du Saint Gotthard, on ne trouvera pas grand chose à redire aux Lombards, les musiciens tous en forme exhibant ouvertement leur plaisir manifeste de jouer et d'être là, peut-être même un peu trop d'ailleurs en ce qui concernait Leo Leoni, dont la descente de la bouteille de Jack Daniel's a rapidement montré ses effets tout au long de la soirée.
Malgré un chapeau branchouille que je trouverai toujours autant du plus mauvais effet, Maeder faisait de beaux efforts pour s'imposer scéniquement parlant, quand bien même la facilité de ses échanges en français portait le discours à un rapport ami-ami artificiel mais néanmoins honnête.
Quoiqu'il en soit, on ne pourra pas nier son chant habité, en témoignent ses jolies mimiques faciales lorsqu'il allait chercher les aigus (mais je me moque pas, on a tous nos grimaces plus ou moins ridicules quand on joue d'un instrument de toute façon).
Là où le séquencement des morceaux conférait un bon rythme à l'ensemble, on ne coupera malheureusement pas au sempiternel et ennuyeux solo de batterie de Hena Habegger, ni original, ni entraînant, mais qui aura le mérite de ne pas s'être non plus éternisé outre-mesure (encore que les 5 grosses minutes de carnaval percussionniste se sont faites sentir passer).
Soulignons au passage un son tout à fait correct toute la durée des 2h de jeu, et voilà de quoi goupiller une soirée réussie.
On regrettera simplement que la fosse de la Cigale était un champ de blé dont le souffle de la fougue n'aura que trop peu balayé la tristesse sépulcrale des cimes blondes.
En tout cas ça m'a fait plaisir de tailler la bavette avec Yacine, Gandalf et DG.

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- Gandalf
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Content de t'avoir rencontré aussi mon cher Lax ! En esperant une plus longue causette pour bientôt
Allez mon cr, qui se rapproche de celui de Chacal.
Etant inconditionnel de Lee c'etait vraiment dur pour moi. Il y a donc une part d'objectif et une de subjectif dans mon cr.
Gotthard à Paris le 21/10/12
"Après la mort précoce de leur emblématique chanteur il y a deux ans, les autres membres de Gotthard ont décidé de poursuivre l'aventure. C'est tout à leur honneur, surtout qu'avec des albums en moyenne très bon depuis 20 ans, ils ont encore de jolies choses à proposer. La preuve avec leur dernier album en date "Firebirth", qui, s'il n'atteint pas le sommet des meilleurs opus du combo, reste un bon effort.
Bien sur, le problème essentiel ne vient pas d'une panne eventuelle de composition, mais bel et bien de trouver un vocaliste qui puisse soutenir, même de loin, la comparaison avec feu Steve Lee. Car ce dernier est tout simplement irremplacable, pas plus pas moins. A mon sens il avait un charisme incroyable, une prestance live, et par dessus tout une voix fantastique, doublée d'un pouvoir emotionnel rare. Dur dur dans ces conditions de lui succéder...
Si je retournais voir ce groupe cher à mon coeur en ce week end parisien très rock (Slash la veille avait en effet enflammé le Zénith !), c'etait pour réentendre des morceaux hard imparables, tout en esperant ne pas être trop déçu par le petit nouveau.
C'est donc dans une Cigale bien garnie que nous nous retrouvons avec ma DG, pour d'abord subir une horrible première partie, Incry. Désolé les mecs, mais j'ai pas pu tenir plus de quatre titres cet espèce de hard, parfois traversé par un bon riff, mais plombé par des paroles en français sans saveur, et des cassures rythmiques incessantes mettant en avant la voix soutenue par la basse. Je n'ai pas du tout aimé qui plus est la manière de chanter, ni les simagrées du vocaliste. Repli fissa au bar donc, pour plutôt parler de glam et des US avec Yacine.
Après une attente un peu longuette dans la chaleur locale, les lumières s'eteignent enfin et nous voyons débouler les helvètes sur l'excellent "Dream on", intelligement réintégré dans la playlist.
Evidemment, tous les regards sont rivés sur le jeune remplacant de Steve Lee, et au début tout se passe bien.
Sans faire preuve d'une indulgence mal placée, je le trouve bon chanteur, d'un entrain non feint, et assez à l'aise sur les planches. Il est content d'être là et assure le show, malgré la pression. Les zicos sont à fond derrière lui, on ne sent pas de malaise mais au contraire une bonne cohésion et une bonne ambiance rigolarde. Le fait qu'en plus ce soit un suisse francophone est un plus chez nous, car il multiplie les interventions entre les titres, avec parfois un peu de "niaiserie", mais c'est bien sympa tout de même.
Pendant près d'une heure quarante cinq il ne va pas s'economiser pour donner le meilleur aux fans présents, qui en retour lui reserve un excellent accueil, dès l'intro. Quoi qu'il arrive, il s'est déjà fait accepter, et les commentaires que j'ai pu entendre à la sortie du live sont majoritairement positif.
Seulement, pour moi, il y a un tel coté affectif avec ce combo, et plus encore avec Lee, que malgré tous ces points positifs que je relate avec plaisir et honneteté, je ne suis pas rentré dans le concert. Et je ne peux que trouver Nic Maeder bien en dessous de Lee, malgré une tessiture semblable.
Ca s'est remarqué dès le quatrième titre, "Top of the world", où il a zappé les vocaux finaux, trop hauts pour lui. même chose sur "Anytime, Anywhere". Pire, il a eu de petits problemes de justesse sur "Sister moon" et "Mountain Mama", pour carrément massacrer "Lift U up".
Bien sur, le groupe a adapté la setlist aux limites vocales de son nouveau frontman, mais il est certains classiques obligatoires, et parfois ca casse. Ca on peut le comprendre malgré tout. Par contre, qu'il ait du mal sur certaines chansons du dernier album sur lequel il chante, c'est plus curieux. De ce fait, sur "The story's over" ou "Give me real", on pouvait ressentir sa souffrance à la fin de chacune. Et cette souffrance s'exprime par une constante crispation de tout son visage tout au long du show, quasiment à chaque morceau lorsqu'il faut pousser ou monter un peu haut.
Du coup, aucun extrait de "Need to believe" (je le voyais mal chanter "Shangri La"...), pas de "The oscar goes to you", de "Let it be", ni de ballades à part celle du dernier opus, et "One life one soul" qu'il interpretera seulement accompagné du clavier, avec un grand respect... mais sans la puissance emotionnelle qui sied à un tel titre. Et c'est bien là que le bât blesse véritablement chez moi: ok il n'a pas le charisme de Lee, ca on s'en doutait, mais il n'a pas non plus ce feeling incroyable que véhiculait Lee dans son organe, touchant à en pleurer et à vous redresser les poils...
Ca malheureusement, ca ne se travaille pas. De ce fait, pas de "Heaven", de "Need to believe", de "Falling", de "The call" ou de "I'm on my way". Ni ce soir là, ni je pense dans l'avenir.
Ca a l'avantage pour certains de proposer une prestation globalement plus hard, moins entrecoupée de moments calmes. Malheureusement on a toujours droit au solo de batterie inutile et aux soli de gratte un peu plus interessants mais pas transcendants non plus. De plus, comme c'etait l'anniversaire de Freddy, on a eu droit à plusieurs "happy birthday" de la part du public, puis de Léo, de plus en plus beurré au fil de la soirée ! Ce qui etait plutôt fun lorsqu'il a fait son pitre avec le vocodeur, et le fait qu'il ne voulait plus partir, même après le morceau (soit disant) supplémentaire, "Mighty Quinn". Le fond de la bouteille de Jack, neuve au début, peut attester de sa descente. même s'il ne fut pas le seul à se rincer la luette.
C'est donc dans une vraie bonne ambiance, et dans la salle, et sur les planches, que les helvètes nous ont proposé un set pechu, avec quelques classiques qui ont fait jumper l'assistance, le retour surprise de "Fist in your face", et des chansons de "Firebirth" qui, même si un peu nombreuses à mon goût, passent haut la main l'epreuve du live, genre "Starlight" et ses Toutouyoutou ou "Right on".
même si je ne suis pas sur de retourner les voir un jour, l'absence de Lee creant un triste gouffre irremédiable pour moi, je pense qu'ils doivent continuer dans cette voie plus rock, en tenant compte de la palette vocale moindre de Maeder mais aussi de ses capacités propres; Léoni et les autres ayant encore beaucoup de bonnes choses à proposer aux fans de Hard rock, j'en suis certain.
Setlist (je pense complete)
Dream On
Gone Too Far
Starlight
Top Of The World
Remember It's Me
Sister Moon
Fight
Hush
One Life, One Soul
Shine
The Story's Over
Fist In Your Face
Give Me Real
Right on
Mountain Mama
Lift U Up
Rappel 1 :
Master Of Illusion
Anytime Anywhere
Rappel 2
Mighty Queen
Gandalf


Allez mon cr, qui se rapproche de celui de Chacal.
Etant inconditionnel de Lee c'etait vraiment dur pour moi. Il y a donc une part d'objectif et une de subjectif dans mon cr.
Gotthard à Paris le 21/10/12
"Après la mort précoce de leur emblématique chanteur il y a deux ans, les autres membres de Gotthard ont décidé de poursuivre l'aventure. C'est tout à leur honneur, surtout qu'avec des albums en moyenne très bon depuis 20 ans, ils ont encore de jolies choses à proposer. La preuve avec leur dernier album en date "Firebirth", qui, s'il n'atteint pas le sommet des meilleurs opus du combo, reste un bon effort.
Bien sur, le problème essentiel ne vient pas d'une panne eventuelle de composition, mais bel et bien de trouver un vocaliste qui puisse soutenir, même de loin, la comparaison avec feu Steve Lee. Car ce dernier est tout simplement irremplacable, pas plus pas moins. A mon sens il avait un charisme incroyable, une prestance live, et par dessus tout une voix fantastique, doublée d'un pouvoir emotionnel rare. Dur dur dans ces conditions de lui succéder...
Si je retournais voir ce groupe cher à mon coeur en ce week end parisien très rock (Slash la veille avait en effet enflammé le Zénith !), c'etait pour réentendre des morceaux hard imparables, tout en esperant ne pas être trop déçu par le petit nouveau.
C'est donc dans une Cigale bien garnie que nous nous retrouvons avec ma DG, pour d'abord subir une horrible première partie, Incry. Désolé les mecs, mais j'ai pas pu tenir plus de quatre titres cet espèce de hard, parfois traversé par un bon riff, mais plombé par des paroles en français sans saveur, et des cassures rythmiques incessantes mettant en avant la voix soutenue par la basse. Je n'ai pas du tout aimé qui plus est la manière de chanter, ni les simagrées du vocaliste. Repli fissa au bar donc, pour plutôt parler de glam et des US avec Yacine.
Après une attente un peu longuette dans la chaleur locale, les lumières s'eteignent enfin et nous voyons débouler les helvètes sur l'excellent "Dream on", intelligement réintégré dans la playlist.
Evidemment, tous les regards sont rivés sur le jeune remplacant de Steve Lee, et au début tout se passe bien.
Sans faire preuve d'une indulgence mal placée, je le trouve bon chanteur, d'un entrain non feint, et assez à l'aise sur les planches. Il est content d'être là et assure le show, malgré la pression. Les zicos sont à fond derrière lui, on ne sent pas de malaise mais au contraire une bonne cohésion et une bonne ambiance rigolarde. Le fait qu'en plus ce soit un suisse francophone est un plus chez nous, car il multiplie les interventions entre les titres, avec parfois un peu de "niaiserie", mais c'est bien sympa tout de même.
Pendant près d'une heure quarante cinq il ne va pas s'economiser pour donner le meilleur aux fans présents, qui en retour lui reserve un excellent accueil, dès l'intro. Quoi qu'il arrive, il s'est déjà fait accepter, et les commentaires que j'ai pu entendre à la sortie du live sont majoritairement positif.
Seulement, pour moi, il y a un tel coté affectif avec ce combo, et plus encore avec Lee, que malgré tous ces points positifs que je relate avec plaisir et honneteté, je ne suis pas rentré dans le concert. Et je ne peux que trouver Nic Maeder bien en dessous de Lee, malgré une tessiture semblable.
Ca s'est remarqué dès le quatrième titre, "Top of the world", où il a zappé les vocaux finaux, trop hauts pour lui. même chose sur "Anytime, Anywhere". Pire, il a eu de petits problemes de justesse sur "Sister moon" et "Mountain Mama", pour carrément massacrer "Lift U up".
Bien sur, le groupe a adapté la setlist aux limites vocales de son nouveau frontman, mais il est certains classiques obligatoires, et parfois ca casse. Ca on peut le comprendre malgré tout. Par contre, qu'il ait du mal sur certaines chansons du dernier album sur lequel il chante, c'est plus curieux. De ce fait, sur "The story's over" ou "Give me real", on pouvait ressentir sa souffrance à la fin de chacune. Et cette souffrance s'exprime par une constante crispation de tout son visage tout au long du show, quasiment à chaque morceau lorsqu'il faut pousser ou monter un peu haut.
Du coup, aucun extrait de "Need to believe" (je le voyais mal chanter "Shangri La"...), pas de "The oscar goes to you", de "Let it be", ni de ballades à part celle du dernier opus, et "One life one soul" qu'il interpretera seulement accompagné du clavier, avec un grand respect... mais sans la puissance emotionnelle qui sied à un tel titre. Et c'est bien là que le bât blesse véritablement chez moi: ok il n'a pas le charisme de Lee, ca on s'en doutait, mais il n'a pas non plus ce feeling incroyable que véhiculait Lee dans son organe, touchant à en pleurer et à vous redresser les poils...
Ca malheureusement, ca ne se travaille pas. De ce fait, pas de "Heaven", de "Need to believe", de "Falling", de "The call" ou de "I'm on my way". Ni ce soir là, ni je pense dans l'avenir.
Ca a l'avantage pour certains de proposer une prestation globalement plus hard, moins entrecoupée de moments calmes. Malheureusement on a toujours droit au solo de batterie inutile et aux soli de gratte un peu plus interessants mais pas transcendants non plus. De plus, comme c'etait l'anniversaire de Freddy, on a eu droit à plusieurs "happy birthday" de la part du public, puis de Léo, de plus en plus beurré au fil de la soirée ! Ce qui etait plutôt fun lorsqu'il a fait son pitre avec le vocodeur, et le fait qu'il ne voulait plus partir, même après le morceau (soit disant) supplémentaire, "Mighty Quinn". Le fond de la bouteille de Jack, neuve au début, peut attester de sa descente. même s'il ne fut pas le seul à se rincer la luette.
C'est donc dans une vraie bonne ambiance, et dans la salle, et sur les planches, que les helvètes nous ont proposé un set pechu, avec quelques classiques qui ont fait jumper l'assistance, le retour surprise de "Fist in your face", et des chansons de "Firebirth" qui, même si un peu nombreuses à mon goût, passent haut la main l'epreuve du live, genre "Starlight" et ses Toutouyoutou ou "Right on".
même si je ne suis pas sur de retourner les voir un jour, l'absence de Lee creant un triste gouffre irremédiable pour moi, je pense qu'ils doivent continuer dans cette voie plus rock, en tenant compte de la palette vocale moindre de Maeder mais aussi de ses capacités propres; Léoni et les autres ayant encore beaucoup de bonnes choses à proposer aux fans de Hard rock, j'en suis certain.
Setlist (je pense complete)
Dream On
Gone Too Far
Starlight
Top Of The World
Remember It's Me
Sister Moon
Fight
Hush
One Life, One Soul
Shine
The Story's Over
Fist In Your Face
Give Me Real
Right on
Mountain Mama
Lift U Up
Rappel 1 :
Master Of Illusion
Anytime Anywhere
Rappel 2
Mighty Queen
Gandalf
GANDALF 
"Seize the day or die regretting the time you lost
It's empty and cold without you here, too many people to ache over"

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C'est mon passage préféré de la disco de Gotthard .... du coup bien la loose quand à Lyon je ne l'ai pas entendu faire d'envoler dans les aigus!Gandalf a écrit : Ca s'est remarqué dès le quatrième titre, "Top of the world", où il a zappé les vocaux finaux, trop hauts pour lui

Sinon ce chanteur est top

