Je laisse ici la set-list parler d'elle-même, en précisant qu'il y avait, bien évidemment, le back-drop de Holy Diver en fond :
Tarot woman
Sign of the southern cross
One night in the city
Stand up and shout
Holy diver
Gypsy
Drum solo
Caught in the middle
Don't talk to strangers
Straight through the heart
Invisible
Rainbow in the dark
Shame on the night
Guitar solo
Keyboard solo
Guitar solo
Shame on the night (continued)
Holy diver
Gates of Babylon
Heaven and hell
1. encore:
Man on the silver mountain
Long live rock'n'roll
2. encore:
We rock
Que dire de plus, si ce n'est que c'était absolument fabuleux

Des quelques commentaires que j'ai brièvement lus sur le forum du site officiel de Dio, il s'agissait là d'un de ses meilleurs concerts. Pour ma part, c'est la troisième fois que je voyais Dio, et c'est devenue ma préférée. L'ambiance était là, survoltée, le groupe hyper enthousiaste. Dio n'a eu de cesse de remercier le public, il a chanté avec la classe légendaire (et avérée) qu'on lui connait, en variant les intonations pour plus d'émotions. Doug Aldricht est un vrai poseur mais il apporte un vrai souffle d'énergie, Rudy Sarzo menant très bien le rythme également, Simon Wright avait une frappe puissante (mais bon c'était un poil trop fidèle à l'album, et son solo un brin chiant), et enfin Scott Warren, le claviériste, a fait preuve de son talent de claviériste unijambiste équilibriste. Il jouait sur un pied en en changeant de temps en temps

Et dernier personnage essentiel : le public ! Impossible de ne pas l'entendre chanter à l'unisson sur du Dio, du Rainbow ou du Black Sabbath. Et il n'y avait pas que des vieux !! Un audacieux a même tenter (sans doute un pari) de poser avec Dio mais la sécurité l'a rapidement expédier. Enfin je pense que Dio a du avoir peur un moment parce qu'on aurait dit qu'il était mal à l'aise.
Enfin bref, tout s'est bien passé, le groupe a finalement joué un peu plus de deux heures (enfin je crois) sans relacher l'ambiance, et c'est passé trop vite, ce qui est en général bon signe.
Sans oublier l'éternelle conclusion : Dio Rullz
