DIO - 22/10/05 - Astoria in London
Posté : 26 oct. 2005, 14:45
Ouverture des portes prévue à 18h30. Mon ami et moi arrivons à 18h pour constater l'énorme file devant la salle, sold-out - soit environ 1600 personnes. Mais les anglais savent très bien faire la queue et tout le monde rentre gentiement et prend possession de la salle, fort sympathique avec un étage. On trouve une table près d'une balustrade, nickel pour voir (sauf quand d'autres viendront se planter entre la balustrade à laquelle était accolée notre table et une autre légèrement en contre-bas.). Bref, le concert doit durer 2h de 19h30 à 21h30. Pourtant, le show débute à 19h avec , après les trois premiers titres, comme introduction à l'album Holy Diver, une parodie de présentation à la Star Wars hilarante. En gros on pouvait lire que pour contrer l'invasion du disco, Holy Diver avait des arguments de taille. Puis Dio racontait une sorte d'histoire en mélangant les titres de Holy Diver en leur donnant une suite logique et les premières notes se firent entendre.
Je laisse ici la set-list parler d'elle-même, en précisant qu'il y avait, bien évidemment, le back-drop de Holy Diver en fond :
Tarot woman
Sign of the southern cross
One night in the city
Stand up and shout
Holy diver
Gypsy
Drum solo
Caught in the middle
Don't talk to strangers
Straight through the heart
Invisible
Rainbow in the dark
Shame on the night
Guitar solo
Keyboard solo
Guitar solo
Shame on the night (continued)
Holy diver
Gates of Babylon
Heaven and hell
1. encore:
Man on the silver mountain
Long live rock'n'roll
2. encore:
We rock
Que dire de plus, si ce n'est que c'était absolument fabuleux
Des quelques commentaires que j'ai brièvement lus sur le forum du site officiel de Dio, il s'agissait là d'un de ses meilleurs concerts. Pour ma part, c'est la troisième fois que je voyais Dio, et c'est devenue ma préférée. L'ambiance était là, survoltée, le groupe hyper enthousiaste. Dio n'a eu de cesse de remercier le public, il a chanté avec la classe légendaire (et avérée) qu'on lui connait, en variant les intonations pour plus d'émotions. Doug Aldricht est un vrai poseur mais il apporte un vrai souffle d'énergie, Rudy Sarzo menant très bien le rythme également, Simon Wright avait une frappe puissante (mais bon c'était un poil trop fidèle à l'album, et son solo un brin chiant), et enfin Scott Warren, le claviériste, a fait preuve de son talent de claviériste unijambiste équilibriste. Il jouait sur un pied en en changeant de temps en temps
.
Et dernier personnage essentiel : le public ! Impossible de ne pas l'entendre chanter à l'unisson sur du Dio, du Rainbow ou du Black Sabbath. Et il n'y avait pas que des vieux !! Un audacieux a même tenter (sans doute un pari) de poser avec Dio mais la sécurité l'a rapidement expédier. Enfin je pense que Dio a du avoir peur un moment parce qu'on aurait dit qu'il était mal à l'aise.
Enfin bref, tout s'est bien passé, le groupe a finalement joué un peu plus de deux heures (enfin je crois) sans relacher l'ambiance, et c'est passé trop vite, ce qui est en général bon signe.
Sans oublier l'éternelle conclusion : Dio Rullz
Je laisse ici la set-list parler d'elle-même, en précisant qu'il y avait, bien évidemment, le back-drop de Holy Diver en fond :
Tarot woman
Sign of the southern cross
One night in the city
Stand up and shout
Holy diver
Gypsy
Drum solo
Caught in the middle
Don't talk to strangers
Straight through the heart
Invisible
Rainbow in the dark
Shame on the night
Guitar solo
Keyboard solo
Guitar solo
Shame on the night (continued)
Holy diver
Gates of Babylon
Heaven and hell
1. encore:
Man on the silver mountain
Long live rock'n'roll
2. encore:
We rock
Que dire de plus, si ce n'est que c'était absolument fabuleux

Des quelques commentaires que j'ai brièvement lus sur le forum du site officiel de Dio, il s'agissait là d'un de ses meilleurs concerts. Pour ma part, c'est la troisième fois que je voyais Dio, et c'est devenue ma préférée. L'ambiance était là, survoltée, le groupe hyper enthousiaste. Dio n'a eu de cesse de remercier le public, il a chanté avec la classe légendaire (et avérée) qu'on lui connait, en variant les intonations pour plus d'émotions. Doug Aldricht est un vrai poseur mais il apporte un vrai souffle d'énergie, Rudy Sarzo menant très bien le rythme également, Simon Wright avait une frappe puissante (mais bon c'était un poil trop fidèle à l'album, et son solo un brin chiant), et enfin Scott Warren, le claviériste, a fait preuve de son talent de claviériste unijambiste équilibriste. Il jouait sur un pied en en changeant de temps en temps

Et dernier personnage essentiel : le public ! Impossible de ne pas l'entendre chanter à l'unisson sur du Dio, du Rainbow ou du Black Sabbath. Et il n'y avait pas que des vieux !! Un audacieux a même tenter (sans doute un pari) de poser avec Dio mais la sécurité l'a rapidement expédier. Enfin je pense que Dio a du avoir peur un moment parce qu'on aurait dit qu'il était mal à l'aise.
Enfin bref, tout s'est bien passé, le groupe a finalement joué un peu plus de deux heures (enfin je crois) sans relacher l'ambiance, et c'est passé trop vite, ce qui est en général bon signe.
Sans oublier l'éternelle conclusion : Dio Rullz
