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Clawfinger
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Pour une tournée, SVP postez toutes les dates européennes disponibles dans le topic + la période ou quelques dates dans le titre du topic.
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painkillerqueen
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arf ... aucune date française 
C'est bien dommage : ce groupe en live est une vraie tuerie
C'est bien dommage : ce groupe en live est une vraie tuerie
hevydevy a écrit :Epica ou la grâce et la puissance divine d'un métal wagnérien grandiloquent : la voix de la sublime mezzo-soprano Simone Simons, les orchestrations épiques démesurées et les chœurs spectaculaires sur fond de métal violent et élégant à la fois sont réunis pour former un des tous meilleurs groupes de métal gothique à chant féminin actuel.
Rien à voir mais ta signature est énOOOOrme
J'en pleure de rire ... mais d'où sors tu cette prose pas piquée des hannetons ?
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guardianofsteel
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Oh je sens la date en Suisse! 
Thrashos dans la voiture au Rock Am Bach pendant la tempête a écrit :Putain on va crever coincé là-dedans comme un hérisson dans un pot de Mc Fleury
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Souflette
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La date du Fri-Son ?
Ouais pk pas, sauf que je connais absolument pas Clawfinger et qu'en janvier c'est un peu la préiode pré-exas.
Ouais pk pas, sauf que je connais absolument pas Clawfinger et qu'en janvier c'est un peu la préiode pré-exas.
If you’re not into pipeau, you are not my friend
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guardianofsteel
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C'est ce qu'on peut appeler du bon-néo
Thrashos dans la voiture au Rock Am Bach pendant la tempête a écrit :Putain on va crever coincé là-dedans comme un hérisson dans un pot de Mc Fleury
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Gandalf
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Oh que oui !Theli a écrit :arf ... aucune date française
C'est bien dommage : ce groupe en live est une vraie tuerie
Bon, c'etait y a 12 ans, mais ce fut une sacrée premiere partie au Moulin !
Depuis je sais pas ce que c'est devenu, mais leur premier album etait "in your face".
C'etait pas vraiment du néo d'ailleurs avant.
GANDALF 
"Seize the day or die regretting the time you lost
It's empty and cold without you here, too many people to ache over"
"Seize the day or die regretting the time you lost
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Mout Mout
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J'aurais pas dit ca comme ça....c'est quand même un groupe qui a plus de dix ans de vie....et malheureusement depuis A whole lot of Nothing ca a vachement perdu au niveau qualité...guardianoftheblinddragon a écrit :C'est ce qu'on peut appeler du bon-néo
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guardianofsteel
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30/04 : Strasbourg , festival artefact
Thrashos dans la voiture au Rock Am Bach pendant la tempête a écrit :Putain on va crever coincé là-dedans comme un hérisson dans un pot de Mc Fleury
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guardianofsteel
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Commençant à être habitué aux prestations du Claw, je savais parfaitement à quoi m'attendre ce soir. Pourtant cette fois, les choses seront un peu différentes. Arrivée au Rockhal de Esch au Luxembourg alors que les portes sont déjà ouvertes et à peine une cinquantaine de personnes à l'intérieur. Au final, environ 300 personnes viendront "subir" cette soirée.
Celle-ci commence avec un groupe inconnu au bataillon : TREEKILLAZ" . Et bien il y a des découvertes dont on se passerai bien! Venu de Suisse, ce groupe indéscriptible pratique une soupe qui l'est tout autant. Son pourri, charisme de mouette, chansons qui ne ressemblent à rien, les 50 minutes qui leurs sont attribuées sont un véritable calvaire, surplombé par des commentaires inutiles et interminables qui n'arrangent rien. C'est un fait, tout le monde aurait préféré être ailleurs, mais le public sympathique se contente d'applaudir poliment les Suisses. On respire enfin quand les lumières se rallument.
A ce moment, la seule chose qu'on attend c'est qu'elles se rééteignent. C'est que la pression commence à monter, parce que ce qu'on veut nous, c'est du putain de CLAWFINGER. Il ne faut guère plus de 3 secondes pour nous combler. Après une courte intro, la bande à Zak débarque sur "What we've got is what you're getting". De son treillis vêtu, le sieur frêle montre rapidement la signification du mot "leader". Frontman pour excellence, il explose dès les 1er morceaux, issus de leur dernier opus "Hate Yourself With Style", dont le morceau du même nom arrive tout de suite après. Solidement épaulé par un son d'une puissance colossal, le groupe prouve définitivement qu'il est avant tout une machine de scène. C'est que chez les CLAWFINGER, il ne faut pas chercher les solos interminables ; ce qu'on aime chez eux c'est ces énormes riffs et ce chant rappé d'une efficacité terrassante. Et quoi de mieux pour ça que de retourner plus de 15 ans en arrière se prendre un "Two Sides" orgasmique? S'en suivent 2 titres de l'album précédent bien comme il faut : gras et efficaces à l'intard du puissant "World Domination". Pourtant même si c'est bien bon, tout cela à un peu le goût d'un échauffement. Il faut dire qu'il a fallu un peu de temps au public pour se mettre dans le bain, n'ayant pas eu de groupe pour se chauffer avant. Il en est de même pour le groupe, qui a grand renfort de refrains mélodiques issus de HYWS, provoque le déclic de la chansonette ("Dirty Lies"), celui du pogo et du headbanging forcené. Et dès "Money, Power, Glory" on assiste à du gros Clawfinger. Du très gros même. Perché sur ses retours de scène, Zak ne manque pas une occasion d'arranguer la foule, descendant dans le photo pit pour donner son micro sur les refrains.
"Nothing Going On" transforme la fosse en cours de jeu, lorsque le groupe demande à tout le monde de jumper, corde vocal en sursis, le refrain est repris en choeur par tous. Bien même que ce que tout le monde attend n'est pas encore arrivé, on s'éclate comme peu, et ce n'est pas bien difficile. Après les nombreuses demande de The Truth, Zak répond "pas encore, on garde les classiques pour la fin". C'est que nous on les aime ces morceaux de presque 20 ans d'âge qui ont bercé notre périple métallique. Alors on prend son mal en patience devant ces interprétations énormes des petits nouveaux comme "Breakout". Quand "Catch Me" débarque, c'est l'explosion. Zak descend dans le pogo pendant l'instrumental et fais passer le micro de bouche en bouche sur les "You can't Catch me, try to catch me if you can...". Dément! Et que dire de cet enchainement "Rosegroove / Nigger". Voilà 16 &ns que les Claws ont sortis ce single et il continue à nous botter le cul. L'ambiance est de plus en plus énorme, calquant parfaitement une prestation d'un niveau impressionnant. Et pas seulement musicalement. Ce qui rend ce concert si exceptionnel ce sont les zicos eux-même. Jamais vu de mémoire un groupe si fairplay. Ils prennent le temps de discuter avec chaque personne qui leur adresse la parole entre les morceaux, n'arrêtent pas de distribuer des bouteilles d'eau quand quelqu'un leur demande. Après qu'une fille se soit faite prier de ranger son appareil photo par la sécu, André descend dans le pit en jouant et part demander au mec de la sécurité de la laisser prendre des photos. Ce même André, après un stage diving donnera sa standing ovation au service de sécurité qui ne manque pas de se faire remercier par le groupe pour son bon travail et leur sympathie. Même quand Zak s'amuse sur le crâne d'un des mecs de la sécu, celui-ci rentre dans le jeu, bluffé par la sympathie des musiciens. Lorsque Zak demande qui a acheté le nouvel album, une bonne partie de la salle se manifeste. Lorsqu'il demande ensuite "sincèrement, qui l'a téléchargé?", le bonhomme répond juste "aucun problème, mais si vous ne l'acheterez pas, prenez au moins un t-shirt à la fin". Les blagues tombent par pelle, que ce soit Bard, Jocke, Henka, André ou Zak. Les CLAWFINGER sont magistraux. Après 20 ans, pas un centimètre de cheville qui a enflé. Et scèniquement ça se sent. Une énergie débordante et un plaisir d'être là qui se voit à 30 bornes. André n'en fini plus de tourner sur lui même en headbangant, tout en jouant, à un tel point qu'on prend peur pour lui. Après un puissant "Burn in Hell" vient le dernier morceau, dédicassé à une audience peu nombreuse certes, mais remarquable : "Biggest and the Best", énorme hit, est la cerise sur le gateau.
Retour 2 minutes plus tard avec le futur single "Without a Case", mais surtout le retour innatendu de l'excellent "Tomorrow". A la fin de ce dernier, 2/3 gaillard hurlent quelque chose que Zak ne comprend pas. Il fait alors passer le micro jusqu'à un d'eux qui lui dit "Hey Zak! Give me the truth motherfucker!". Voeux éxaucé une seconde après quand l'énorme riff balancé en pature fait l'effet d'une bombe. Inimaginable! A l'annonce du dernier morceau, Jocke entame le "Final Countdown" d'Europe (se sont passé le mot ou quoi?) avec un sample de kazoo!!! Zak joue le jeu et faitr mine de s'en aller, appuyé d'un "Thank you. Good Night", avant d'ordoner à tout le monde de se lacher une dernière fois. Chose qu'on ne manquera pas de faire dès les premières notes annoncées par la mélodie enfantine "When I grow up, there will be a day, when everybody have to do what I say...". Hymne du groupe par excellence depuis 15 ans, "Do What I Say" est repris dans toutes les gorges, et bien 5 minutes après que le morceau soit bouclé. Visiblement touché par cet accueil chaleureux, CLAWFINGER n'en fini plus de remercier ses fans qui lui sont fidèles et comblés par un set phénoménal à la set-list de rêve, et qui le lui rend bien d'ailleurs.
Et dire que certains croyent encore que Korn a inventé le néo-métal, et n'ont même jamais entendu "Nigger"... Quel concert les aïeux!
Set-List Clawfinger :
Intro
What We've Got is What You're Getting
Hate Yourself With Styla
Two Sides
Recipe for Hate
World Domination
Dirty Lies
Money, Power, Glory
Nothing Going On
The Faggot in You
Breakout
Catch Me
Rosegroove
Nigger
Right to Rape
Burn in Hell
Biggest & the Best
- - - - - - - - - - - - - - - -
Without a Case
Tomorrow
The Truth
Do What I Say
Par ailleurs, plein de dates française de prévu sur leur site
Celle-ci commence avec un groupe inconnu au bataillon : TREEKILLAZ" . Et bien il y a des découvertes dont on se passerai bien! Venu de Suisse, ce groupe indéscriptible pratique une soupe qui l'est tout autant. Son pourri, charisme de mouette, chansons qui ne ressemblent à rien, les 50 minutes qui leurs sont attribuées sont un véritable calvaire, surplombé par des commentaires inutiles et interminables qui n'arrangent rien. C'est un fait, tout le monde aurait préféré être ailleurs, mais le public sympathique se contente d'applaudir poliment les Suisses. On respire enfin quand les lumières se rallument.
A ce moment, la seule chose qu'on attend c'est qu'elles se rééteignent. C'est que la pression commence à monter, parce que ce qu'on veut nous, c'est du putain de CLAWFINGER. Il ne faut guère plus de 3 secondes pour nous combler. Après une courte intro, la bande à Zak débarque sur "What we've got is what you're getting". De son treillis vêtu, le sieur frêle montre rapidement la signification du mot "leader". Frontman pour excellence, il explose dès les 1er morceaux, issus de leur dernier opus "Hate Yourself With Style", dont le morceau du même nom arrive tout de suite après. Solidement épaulé par un son d'une puissance colossal, le groupe prouve définitivement qu'il est avant tout une machine de scène. C'est que chez les CLAWFINGER, il ne faut pas chercher les solos interminables ; ce qu'on aime chez eux c'est ces énormes riffs et ce chant rappé d'une efficacité terrassante. Et quoi de mieux pour ça que de retourner plus de 15 ans en arrière se prendre un "Two Sides" orgasmique? S'en suivent 2 titres de l'album précédent bien comme il faut : gras et efficaces à l'intard du puissant "World Domination". Pourtant même si c'est bien bon, tout cela à un peu le goût d'un échauffement. Il faut dire qu'il a fallu un peu de temps au public pour se mettre dans le bain, n'ayant pas eu de groupe pour se chauffer avant. Il en est de même pour le groupe, qui a grand renfort de refrains mélodiques issus de HYWS, provoque le déclic de la chansonette ("Dirty Lies"), celui du pogo et du headbanging forcené. Et dès "Money, Power, Glory" on assiste à du gros Clawfinger. Du très gros même. Perché sur ses retours de scène, Zak ne manque pas une occasion d'arranguer la foule, descendant dans le photo pit pour donner son micro sur les refrains.
"Nothing Going On" transforme la fosse en cours de jeu, lorsque le groupe demande à tout le monde de jumper, corde vocal en sursis, le refrain est repris en choeur par tous. Bien même que ce que tout le monde attend n'est pas encore arrivé, on s'éclate comme peu, et ce n'est pas bien difficile. Après les nombreuses demande de The Truth, Zak répond "pas encore, on garde les classiques pour la fin". C'est que nous on les aime ces morceaux de presque 20 ans d'âge qui ont bercé notre périple métallique. Alors on prend son mal en patience devant ces interprétations énormes des petits nouveaux comme "Breakout". Quand "Catch Me" débarque, c'est l'explosion. Zak descend dans le pogo pendant l'instrumental et fais passer le micro de bouche en bouche sur les "You can't Catch me, try to catch me if you can...". Dément! Et que dire de cet enchainement "Rosegroove / Nigger". Voilà 16 &ns que les Claws ont sortis ce single et il continue à nous botter le cul. L'ambiance est de plus en plus énorme, calquant parfaitement une prestation d'un niveau impressionnant. Et pas seulement musicalement. Ce qui rend ce concert si exceptionnel ce sont les zicos eux-même. Jamais vu de mémoire un groupe si fairplay. Ils prennent le temps de discuter avec chaque personne qui leur adresse la parole entre les morceaux, n'arrêtent pas de distribuer des bouteilles d'eau quand quelqu'un leur demande. Après qu'une fille se soit faite prier de ranger son appareil photo par la sécu, André descend dans le pit en jouant et part demander au mec de la sécurité de la laisser prendre des photos. Ce même André, après un stage diving donnera sa standing ovation au service de sécurité qui ne manque pas de se faire remercier par le groupe pour son bon travail et leur sympathie. Même quand Zak s'amuse sur le crâne d'un des mecs de la sécu, celui-ci rentre dans le jeu, bluffé par la sympathie des musiciens. Lorsque Zak demande qui a acheté le nouvel album, une bonne partie de la salle se manifeste. Lorsqu'il demande ensuite "sincèrement, qui l'a téléchargé?", le bonhomme répond juste "aucun problème, mais si vous ne l'acheterez pas, prenez au moins un t-shirt à la fin". Les blagues tombent par pelle, que ce soit Bard, Jocke, Henka, André ou Zak. Les CLAWFINGER sont magistraux. Après 20 ans, pas un centimètre de cheville qui a enflé. Et scèniquement ça se sent. Une énergie débordante et un plaisir d'être là qui se voit à 30 bornes. André n'en fini plus de tourner sur lui même en headbangant, tout en jouant, à un tel point qu'on prend peur pour lui. Après un puissant "Burn in Hell" vient le dernier morceau, dédicassé à une audience peu nombreuse certes, mais remarquable : "Biggest and the Best", énorme hit, est la cerise sur le gateau.
Retour 2 minutes plus tard avec le futur single "Without a Case", mais surtout le retour innatendu de l'excellent "Tomorrow". A la fin de ce dernier, 2/3 gaillard hurlent quelque chose que Zak ne comprend pas. Il fait alors passer le micro jusqu'à un d'eux qui lui dit "Hey Zak! Give me the truth motherfucker!". Voeux éxaucé une seconde après quand l'énorme riff balancé en pature fait l'effet d'une bombe. Inimaginable! A l'annonce du dernier morceau, Jocke entame le "Final Countdown" d'Europe (se sont passé le mot ou quoi?) avec un sample de kazoo!!! Zak joue le jeu et faitr mine de s'en aller, appuyé d'un "Thank you. Good Night", avant d'ordoner à tout le monde de se lacher une dernière fois. Chose qu'on ne manquera pas de faire dès les premières notes annoncées par la mélodie enfantine "When I grow up, there will be a day, when everybody have to do what I say...". Hymne du groupe par excellence depuis 15 ans, "Do What I Say" est repris dans toutes les gorges, et bien 5 minutes après que le morceau soit bouclé. Visiblement touché par cet accueil chaleureux, CLAWFINGER n'en fini plus de remercier ses fans qui lui sont fidèles et comblés par un set phénoménal à la set-list de rêve, et qui le lui rend bien d'ailleurs.
Et dire que certains croyent encore que Korn a inventé le néo-métal, et n'ont même jamais entendu "Nigger"... Quel concert les aïeux!
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Intro
What We've Got is What You're Getting
Hate Yourself With Styla
Two Sides
Recipe for Hate
World Domination
Dirty Lies
Money, Power, Glory
Nothing Going On
The Faggot in You
Breakout
Catch Me
Rosegroove
Nigger
Right to Rape
Burn in Hell
Biggest & the Best
- - - - - - - - - - - - - - - -
Without a Case
Tomorrow
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Euh, je veux pas faire le rabat joie pinailleur, mais ils se sont formés en 90 en gros et premier album en 93 (je sais, j'ecoutais et je les ai vu sur leur premiere tournée d'alors avec Anthraxguardianoftheblinddragon a écrit : C'est que nous on les aime ces morceaux de presque 20 ans d'âge qui ont bercé notre périple métallique.
). Donc le 20 ans d'age est encore loin Sinon excellent cr, ca me ferait plaisir de les revoir, même si on est pas accro sur album, en live ils degagent une hargne terrible !
GANDALF
"Seize the day or die regretting the time you lost
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