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Du très bon contenu encore une fois, même si je trouve qu'ils auraient facilement pu meubler davantage (leur set ne devait pas dépasser la petite 1h40 au Donington Park), d'autant plus qu'il y manque toujours des brûlots tels que le sulfurique "Supernaut", un peu de légèreté façon "Planet Caravan" ou "Laguna Sunrise" et évidemment "Bassically" en intro de "N.I.B." (qui avait pourtant été jouée à leur reformation en 2005 il me semble, à vérifier sur le live "Reunion", j'en mettrai pas ma main à couper).Ils avaient joué quasiment la même chose au Download, à l'exception près que "Tomorrow's Dream" remplaçait "Electric Funeral" :
Et j'en profite pour confirmer ce que redoutaient certains vis-à-vis du jeu de Tommy Clufetos :01) Black Sabbath
02) The Wizard
03) Beyond the Wall of Sleep
04) N.I.B.
05) Into the Void
06) Under the Sun
07) Snowblind
08) Luke's Wall / War Pigs
09) Sweet Leaf
10) Symptom of the Universe / Drum Solo
11) Iron Man
12) Fairies Wear Boots / Jack the Stripper
13) Tomorrow's Dream
14) Dirty Women
15) Children of the Grave
Rappel :
16) Paranoid
C'est pas sa technique qui pose problème, puisque manifestement ça joue et ça cogne dur, mais peut-être un peu trop justement.
Sa frappe est trop lourde pour qu'on ne ressente pas l'absence du toucher jazzy mieux aéré (aérien même par moments serais-je tenté de dire) de Ward, et c'est bien cette émotion qui fait cruellement défaut sur certains titres.
Bon, je chipote, puisque l'amateur lambda accordera clairement le plus clair de son attention au jeu d'Iommi, aux éructations nasillardes d'Ozzy et la fondation rythmique de Geezer, mais tout de même, ça passe pas non plus inaperçu.
Vous remarquerez qu'Ozzy est tout particulièrement flippant sur cette photo :
